Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
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The Clown- All Star
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Le Cerbere- 5 majeur
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Excellent, c'est ça !!
je trouve quand même qu'il y a du favoritisme par ici ...
je dis ça, je dis rien... mais quand même !!!
je trouve quand même qu'il y a du favoritisme par ici ...
je dis ça, je dis rien... mais quand même !!!
soeurette- 5 majeur
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Quel favoritisme....?? La mauvaise foi féminine quand même.... Je trouve l'équilibre parfait...
Bonne fêtes à tous..
Bonne fêtes à tous..
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N'importe quoi vaut souvent mieux que rien du tout, et réciproquement, de même que quiconque n'est pas souvent quelqu'un, et inversement..
manyago66- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Un vrai chouette cadeau dans l'esprit des Fêtes:
Thib' en forme avec le moral + Elodie qui a tjrs sa pêche d'enfer...
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Quel Bonheur que d'avoir revu Élodie et Thibaut Blanqué et partagé ce moment fort convivial en leur compagnie !
http://www.kop2001.com/index.php/fr/six-homme/autres/a-16-17/199-let-s-go-elo-thibaut
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The Clown- All Star
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Vous vous souvenez?
Vous vous souvenez du 9/11/2103?
2'30, -12 et Bibi qui nous signe un final de fou pour arracher la victoire de 2 points au WOSB...
Bien sûr, vous vous souvenez!
Même si on n'a pas les images vidéo, le souvenir est vivace dans nos mémoires...
Et bien ce record vient d'être battu! Si!
http://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/En-ncaa-une-equipe-remonte-14-points-dans-la-derniere-minute-et-gagne-en-prolongation/767112
Comme la grippe, la March Madness a de l'avance cette année!
Vous vous souvenez du 9/11/2103?
2'30, -12 et Bibi qui nous signe un final de fou pour arracher la victoire de 2 points au WOSB...
Bien sûr, vous vous souvenez!
Même si on n'a pas les images vidéo, le souvenir est vivace dans nos mémoires...
Et bien ce record vient d'être battu! Si!
http://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/En-ncaa-une-equipe-remonte-14-points-dans-la-derniere-minute-et-gagne-en-prolongation/767112
Comme la grippe, la March Madness a de l'avance cette année!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Incroyable !
La même chose samedi soir du côté de Lyon !
La même chose samedi soir du côté de Lyon !
The Clown- All Star
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
L'Alsace du jour (21/05/2017)
Humeur
par Marc Wilb
Inexcusable
Les dernières journées de championnat sont parfois sujettes à un immense suspense, le dénouement ne survenant alors que dans les tout derniers instants.
En la matière, on a été servis vendredi soir, quand Troyes puis Amiens éjectaient dans les derniers instants Lens et Brest du podium de Ligue 2.
En Pro B de basket, sport où tout ne se joue pas toujours dans le money-time, le dénouement de la saison a été tout aussi invraisemblable avant-hier. Roanne, déjà maintenu et assuré de participer aux play-offs d’accession grâce à sa victoire à la Leaders Cup, recevait SaintChamond, obligé de l’emporter pour arracher son maintien. Dans ce derby, les Roannais ont compté 22 points d’avance à 12 minutes de la fin, avant d’encaisser un invraisemblable 22-2 en quelques minutes puis de s’incliner en prolongation.
Saint-Chamond a donc assuré son maintien, provoquant la relégation de Saint-Quentin. Mais c’est l’entraîneur de Roanne, Laurent Pluvy, qui a semblé le plus affecté par ce scénario, reconnaissant sans fioriture que son équipe avait « faussé le championnat ». « Je veux m’excuser auprès des deux équipes reléguées, Saint-Quentin et Boulogne, a-t-il commenté après la rencontre. Leur relégation est de notre responsabilité. C’est la première fois que j’ai ce sentiment-là de pleine responsabilité. On a faussé le truc, il faut le dire clairement. J’ai du mal à me regarder dans une glace. Ce n’est pas un sentiment de honte mais de mal-être. Les garçons ont deux jours pour se regarder, deux jours avant d’attaquer les play-offs ».
Une telle sortie est suffisamment rare pour être soulignée et tout à l’honneur de Laurent Pluvy. Dès demain, lui et ses joueurs seront en mode play-offs. Mais ceux de Saint-Quentin et de Boulogne, eux, devront panser leurs plaies et préparer la Nationale 1. Les excuses du coach roannais, aussi louables soient-elles, n’atténueront pas leur peine.
BISOUS
Humeur
par Marc Wilb
Inexcusable
Les dernières journées de championnat sont parfois sujettes à un immense suspense, le dénouement ne survenant alors que dans les tout derniers instants.
En la matière, on a été servis vendredi soir, quand Troyes puis Amiens éjectaient dans les derniers instants Lens et Brest du podium de Ligue 2.
En Pro B de basket, sport où tout ne se joue pas toujours dans le money-time, le dénouement de la saison a été tout aussi invraisemblable avant-hier. Roanne, déjà maintenu et assuré de participer aux play-offs d’accession grâce à sa victoire à la Leaders Cup, recevait SaintChamond, obligé de l’emporter pour arracher son maintien. Dans ce derby, les Roannais ont compté 22 points d’avance à 12 minutes de la fin, avant d’encaisser un invraisemblable 22-2 en quelques minutes puis de s’incliner en prolongation.
Saint-Chamond a donc assuré son maintien, provoquant la relégation de Saint-Quentin. Mais c’est l’entraîneur de Roanne, Laurent Pluvy, qui a semblé le plus affecté par ce scénario, reconnaissant sans fioriture que son équipe avait « faussé le championnat ». « Je veux m’excuser auprès des deux équipes reléguées, Saint-Quentin et Boulogne, a-t-il commenté après la rencontre. Leur relégation est de notre responsabilité. C’est la première fois que j’ai ce sentiment-là de pleine responsabilité. On a faussé le truc, il faut le dire clairement. J’ai du mal à me regarder dans une glace. Ce n’est pas un sentiment de honte mais de mal-être. Les garçons ont deux jours pour se regarder, deux jours avant d’attaquer les play-offs ».
Une telle sortie est suffisamment rare pour être soulignée et tout à l’honneur de Laurent Pluvy. Dès demain, lui et ses joueurs seront en mode play-offs. Mais ceux de Saint-Quentin et de Boulogne, eux, devront panser leurs plaies et préparer la Nationale 1. Les excuses du coach roannais, aussi louables soient-elles, n’atténueront pas leur peine.
BISOUS
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Le gendarme Zuttion en progrès
Troisièmes l’an dernier, le Mulhousien Jean-Pierre Zuttion et l’équipe de France masculine de la gendarmerie qu’il entraîne ont cette fois pris la deuxième place du championnat de France militaire, organisé il y a un mois à Brest.
par Sandrine Pays / LAlsace.fr
Entraîneur de l’équipe de France masculine de la gendarmerie depuis novembre 2015, Jean-Pierre Zuttion n’a qu’un objectif : remporter le championnat de France militaire face à l’armée de l’air, de terre et à la marine. Déçu de la troisième place décrochée l’an dernier à Issy-les-Moulineaux, il s’était juré de faire mieux il y a un mois à Brest. « J’ai gardé l’essentiel de l’effectif, douze joueurs évoluant en Nationale 3, Prénationale ou Régionale 2, et organisé deux stages de cinq jours chacun qui se sont très bien passés et nous ont permis de mettre le collectif et les bases de notre jeu en place » , explique le Mulhousien de 46 ans. « Cette fois, je savais à quoi m’attendre, puisque je connaissais les forces en présence. »
Celui qui est désormais l’assistant de Cédric Garnier au CSSL Rixheim après avoir longtemps été celui de Jamel Benabid au FCM a abordé la compétition avec le statut d’outsider, d’autant qu’il a dû se passer de quatre joueurs, indisponibles, pour diverses raisons, durant les trois jours de compétition. « L’équipe a manqué de rotation et de fraîcheur physique, mais elle a fait preuve d’un bel état d’esprit, s’est montrée pleine de bonne volonté et a respecté les consignes. »
Les troupes de « JPZ » ont démarré ce championnat de France militaire pied au plancher et remporté leurs trois premiers matches. Elles ont tout d’abord dominé l’armée de l’air (74-41). « Nous étions sur un petit nuage. Adroits et bien en place en défense. » Elles n’ont ensuite laissé aucune chance à la marine, tenante du titre (97-33). « Nous avons créé la surprise. Nous étions dans nos standards des deux côtés du terrain. Nous avons empêché nos adversaires de marquer tout en étant nous-mêmes d’une adresse insolente. Ils ont perdu pied et lâché prise, ce qui explique l’écart final. »
« Nous pouvons être fiers de nous »
Elles sont enfin venues à bout de l’armée de terre (75-52). « Cette rencontre face au favori a été la plus dure de toutes, la plus aboutie aussi en ce qui nous concerne. Mais j’ai commis une erreur. J’ai voulu garder un écart conséquent au coup de sifflet final - nous devions gagner avec plus de 18 points pour éviter d’affronter à nouveau l’armée de terre, cette fois en finale - et j’ai trop tiré sur la corde » , commente le coach, privé de deux joueurs supplémentaires, blessés, pour son quatrième et dernier match, face à l’armée de l’air, finalement perdu 68-80. « Nous avons tout de suite été en difficulté. Nous n’avons pas mis nos shoots, nous n’étions pas dans les temps sur le repli défensif. Nous n’avons jamais été aux commandes. Nous avons tenté un dernier baroud d’honneur, mais nous n’avons pas tenu la distance. »
Jean-Pierre Zuttion et ses protégés ont donc terminé sur la deuxième marche du podium. « Nous pouvons être fiers de nous, parce que nous avons montré de belles choses et gagné le respect des autres équipes… Mais je suis malgré tout déçu et frustré ! »
L’Alsacien n’a toutefois pas dit son dernier mot. Il vient de signer pour deux saisons supplémentaires à la tête de l’équipe de France masculine de la gendarmerie et compte bien rafler le championnat de France militaire. « Il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué » , avance-t-il, prudent, avant de retrouver son optimisme habituel. « Nous étions troisièmes en 2016, deuxièmes en 2017… La logique voudrait donc que nous soyons premiers en 2018 ! »
Troisièmes l’an dernier, le Mulhousien Jean-Pierre Zuttion et l’équipe de France masculine de la gendarmerie qu’il entraîne ont cette fois pris la deuxième place du championnat de France militaire, organisé il y a un mois à Brest.
par Sandrine Pays / LAlsace.fr
Entraîneur de l’équipe de France masculine de la gendarmerie depuis novembre 2015, Jean-Pierre Zuttion n’a qu’un objectif : remporter le championnat de France militaire face à l’armée de l’air, de terre et à la marine. Déçu de la troisième place décrochée l’an dernier à Issy-les-Moulineaux, il s’était juré de faire mieux il y a un mois à Brest. « J’ai gardé l’essentiel de l’effectif, douze joueurs évoluant en Nationale 3, Prénationale ou Régionale 2, et organisé deux stages de cinq jours chacun qui se sont très bien passés et nous ont permis de mettre le collectif et les bases de notre jeu en place » , explique le Mulhousien de 46 ans. « Cette fois, je savais à quoi m’attendre, puisque je connaissais les forces en présence. »
Celui qui est désormais l’assistant de Cédric Garnier au CSSL Rixheim après avoir longtemps été celui de Jamel Benabid au FCM a abordé la compétition avec le statut d’outsider, d’autant qu’il a dû se passer de quatre joueurs, indisponibles, pour diverses raisons, durant les trois jours de compétition. « L’équipe a manqué de rotation et de fraîcheur physique, mais elle a fait preuve d’un bel état d’esprit, s’est montrée pleine de bonne volonté et a respecté les consignes. »
Les troupes de « JPZ » ont démarré ce championnat de France militaire pied au plancher et remporté leurs trois premiers matches. Elles ont tout d’abord dominé l’armée de l’air (74-41). « Nous étions sur un petit nuage. Adroits et bien en place en défense. » Elles n’ont ensuite laissé aucune chance à la marine, tenante du titre (97-33). « Nous avons créé la surprise. Nous étions dans nos standards des deux côtés du terrain. Nous avons empêché nos adversaires de marquer tout en étant nous-mêmes d’une adresse insolente. Ils ont perdu pied et lâché prise, ce qui explique l’écart final. »
« Nous pouvons être fiers de nous »
Elles sont enfin venues à bout de l’armée de terre (75-52). « Cette rencontre face au favori a été la plus dure de toutes, la plus aboutie aussi en ce qui nous concerne. Mais j’ai commis une erreur. J’ai voulu garder un écart conséquent au coup de sifflet final - nous devions gagner avec plus de 18 points pour éviter d’affronter à nouveau l’armée de terre, cette fois en finale - et j’ai trop tiré sur la corde » , commente le coach, privé de deux joueurs supplémentaires, blessés, pour son quatrième et dernier match, face à l’armée de l’air, finalement perdu 68-80. « Nous avons tout de suite été en difficulté. Nous n’avons pas mis nos shoots, nous n’étions pas dans les temps sur le repli défensif. Nous n’avons jamais été aux commandes. Nous avons tenté un dernier baroud d’honneur, mais nous n’avons pas tenu la distance. »
Jean-Pierre Zuttion et ses protégés ont donc terminé sur la deuxième marche du podium. « Nous pouvons être fiers de nous, parce que nous avons montré de belles choses et gagné le respect des autres équipes… Mais je suis malgré tout déçu et frustré ! »
L’Alsacien n’a toutefois pas dit son dernier mot. Il vient de signer pour deux saisons supplémentaires à la tête de l’équipe de France masculine de la gendarmerie et compte bien rafler le championnat de France militaire. « Il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué » , avance-t-il, prudent, avant de retrouver son optimisme habituel. « Nous étions troisièmes en 2016, deuxièmes en 2017… La logique voudrait donc que nous soyons premiers en 2018 ! »
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
On parle du Basket Mulhousien sur l'Equipe.fr
Kobe Bryant et sa courte vie française à Mulhouse
Kobe Bryant sera de passage en France ce week-end (21 et 22 octobre), vingt-cinq ans après y avoir vécu, pendant quelques mois, à Mulhouse. Récit d'une partie méconnue de sa carrière.
Avant de devenir l'un des plus grands joueurs de l'histoire, Kobe Bryant a grandi en Europe, en Italie, et en France le temps de quelques mois. (NBA/Getty Images)
À la fin de l'été 1991, Chris Singleton, coach du FC Mulhouse, cherche à boucler son recrutement pour la nouvelle saison. A la recherche d'un joueur d'expérience capable de cadrer son jeune effectif, il jette son dévolu sur Joe Bryant, un ailier américain de 36 ans et père de famille qui, après avoir lancé sa carrière en NBA, l'avait poursuivie dans le championnat italien, à Rieti, Reggio de Calabre, Reggio Emilia, puis Pistoia. «C'était un monument, se souvient l'ancien international tricolore Jimmy Vérove, équipier de Bryant père au FCM. Il était déjà usé mais tu voyais que ça avait été un très grand joueur, un peu le Magic Johnson de l'Europe.»
«Je pense que je l'aurais adopté»
Pour ce court intermède alsacien, le dernier de sa carrière, Joe «Jellybean» Bryant s'installe à l'Espace Squash 3000, non loin de l'actuel Palais des Sports, avec sa femme Pamela, ses deux filles, Sharia et Shaya, et son plus jeune garçon : Kobe, alors âgé de douze ans. Durant ses six mois de vie française, la future superstar des Los Angeles Lakers vit au rythme des entraînements du club. Scolarisé à l'école internationale de Bâle, à 45 minutes de route, il rejoint son père chaque soir, et enchaîne les shoots dans un coin du gymnase. «Il provoquait sans cesse les équipiers de son père pour tenter de les affronter en un-contre-un, relate Singleton, aujourd'hui consultant pour beIN Sports. Il était déjà très mature. On voyait déjà qu'il avait le feu.»
«C'est une chose d'affronter les gamins de ton âge, mais moi, je voulais me frotter aux hommes, aux vrais, nous raconte Bryant. Les équipiers de mon père ne me prenaient jamais au sérieux. Ça me rendait fou.» Installé dans le même hôtel que la famille américaine, Vérove, qui n'avait que 20 ans à l'époque, ramène parfois Kobe en voiture, après l'entraînement. «Le gamin restait avec moi, raconte-t-il. Comme je n'avais que ça à faire et que j'étais aussi un peu fou, on faisait du shoot, du un-contre-un, quelques exercices physiques. Il vivait par le ballon. C'était un acharné du jeu. Je l'adorais, ça aurait pu être mon petit frère. Si son père était resté toute la saison, je pense que je l'aurais adopté (rires).»
«C'est le petit de Mulhouse. Il est devenu monstrueux»
Après onze rencontres, Bryant senior est écarté par les dirigeants du FCM. Il est hors de forme. «Je ne dis pas qu'il s'est comporté comme une star, mais les entraînements du matin, ça n'était pas son truc, regrette Singleton. Il n'avait pas vraiment pris le championnat français au sérieux.» Avec Kobe dans ses bagages, il rentre aux États-Unis et s'installe dans la banlieue de Philadelphie pour y coacher l'équipe féminine d'une école du quartier. Cinq ans plus tard, son fiston sera drafté en NBA, sans passer par la case université.
«Je m'en souviens encore, assure Vérove. J'étais en train de monter un panier de basket pour mon fils, je fais une pause, j'achète L'Equipe et là je vois "Kobe Bryant drafté par les Lakers". D'un coup je fais le lien. C'est le petit de Mulhouse. Je m'empresse de voir un match et là – wow – je me rends compte que le gamin est devenu monstrueux.» En vingt saisons aux Lakers, il remportera cinq bagues de champion, un titre de MVP, et deviendra le troisième meilleur marqueur de l'histoire de la NBA – devant Michael Jordan. «On aurait peut-être dû prendre une option sur lui jusqu'à l'âge de 30 ans, ironise Patrick Schlegel, ancien assistant du FCM. On a manqué de flair.»
Kobe Bryant et sa courte vie française à Mulhouse
Kobe Bryant sera de passage en France ce week-end (21 et 22 octobre), vingt-cinq ans après y avoir vécu, pendant quelques mois, à Mulhouse. Récit d'une partie méconnue de sa carrière.
Avant de devenir l'un des plus grands joueurs de l'histoire, Kobe Bryant a grandi en Europe, en Italie, et en France le temps de quelques mois. (NBA/Getty Images)
À la fin de l'été 1991, Chris Singleton, coach du FC Mulhouse, cherche à boucler son recrutement pour la nouvelle saison. A la recherche d'un joueur d'expérience capable de cadrer son jeune effectif, il jette son dévolu sur Joe Bryant, un ailier américain de 36 ans et père de famille qui, après avoir lancé sa carrière en NBA, l'avait poursuivie dans le championnat italien, à Rieti, Reggio de Calabre, Reggio Emilia, puis Pistoia. «C'était un monument, se souvient l'ancien international tricolore Jimmy Vérove, équipier de Bryant père au FCM. Il était déjà usé mais tu voyais que ça avait été un très grand joueur, un peu le Magic Johnson de l'Europe.»
«Je pense que je l'aurais adopté»
Pour ce court intermède alsacien, le dernier de sa carrière, Joe «Jellybean» Bryant s'installe à l'Espace Squash 3000, non loin de l'actuel Palais des Sports, avec sa femme Pamela, ses deux filles, Sharia et Shaya, et son plus jeune garçon : Kobe, alors âgé de douze ans. Durant ses six mois de vie française, la future superstar des Los Angeles Lakers vit au rythme des entraînements du club. Scolarisé à l'école internationale de Bâle, à 45 minutes de route, il rejoint son père chaque soir, et enchaîne les shoots dans un coin du gymnase. «Il provoquait sans cesse les équipiers de son père pour tenter de les affronter en un-contre-un, relate Singleton, aujourd'hui consultant pour beIN Sports. Il était déjà très mature. On voyait déjà qu'il avait le feu.»
«C'est une chose d'affronter les gamins de ton âge, mais moi, je voulais me frotter aux hommes, aux vrais, nous raconte Bryant. Les équipiers de mon père ne me prenaient jamais au sérieux. Ça me rendait fou.» Installé dans le même hôtel que la famille américaine, Vérove, qui n'avait que 20 ans à l'époque, ramène parfois Kobe en voiture, après l'entraînement. «Le gamin restait avec moi, raconte-t-il. Comme je n'avais que ça à faire et que j'étais aussi un peu fou, on faisait du shoot, du un-contre-un, quelques exercices physiques. Il vivait par le ballon. C'était un acharné du jeu. Je l'adorais, ça aurait pu être mon petit frère. Si son père était resté toute la saison, je pense que je l'aurais adopté (rires).»
«C'est le petit de Mulhouse. Il est devenu monstrueux»
Après onze rencontres, Bryant senior est écarté par les dirigeants du FCM. Il est hors de forme. «Je ne dis pas qu'il s'est comporté comme une star, mais les entraînements du matin, ça n'était pas son truc, regrette Singleton. Il n'avait pas vraiment pris le championnat français au sérieux.» Avec Kobe dans ses bagages, il rentre aux États-Unis et s'installe dans la banlieue de Philadelphie pour y coacher l'équipe féminine d'une école du quartier. Cinq ans plus tard, son fiston sera drafté en NBA, sans passer par la case université.
«Je m'en souviens encore, assure Vérove. J'étais en train de monter un panier de basket pour mon fils, je fais une pause, j'achète L'Equipe et là je vois "Kobe Bryant drafté par les Lakers". D'un coup je fais le lien. C'est le petit de Mulhouse. Je m'empresse de voir un match et là – wow – je me rends compte que le gamin est devenu monstrueux.» En vingt saisons aux Lakers, il remportera cinq bagues de champion, un titre de MVP, et deviendra le troisième meilleur marqueur de l'histoire de la NBA – devant Michael Jordan. «On aurait peut-être dû prendre une option sur lui jusqu'à l'âge de 30 ans, ironise Patrick Schlegel, ancien assistant du FCM. On a manqué de flair.»
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
C'est quoi la blague ?
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10joueurs sur la photo!floofy_68 a écrit:C'est quoi la blague ?
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Vous pouvez tjrs essayé de voter pour qq'un d'autre que l'ami Bibi...
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdC2qD_9TXQ8vyLgblwzDqTvab9vEAae_1Jfsg4atPrQXMC3g/viewform
... mais on m'a dit que les contrevenants seraient bannis à vie du Forum!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Malheureusement, le premier post de 2019 est une triste nouvelle.
Alain Bock (Bockala) nous a quitté.
Supporter de la première heure, il aura marqué à sa manière l'histoire du Kop 2001.
Nous présentons nos sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Alain Bock (Bockala) nous a quitté.
Supporter de la première heure, il aura marqué à sa manière l'histoire du Kop 2001.
Nous présentons nos sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Al One a écrit:Malheureusement, le premier post de 2019 est une triste nouvelle.
Alain Bock (Bockala) nous a quitté.
Supporter de la première heure, il aura marqué à sa manière l'histoire du Kop 2001.
Nous présentons nos sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Salut Bockala, repose en paix.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
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soeurette- 5 majeur
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Interdit de montée en N2, le FC Mulhouse va faire appel
Auditionné hier à Paris par la DNCG (Direction nationale de contrôle de gestion), le FC Mulhouse, champion de National 3 (groupe Grand Est), a appris aujourd'hui du gendarme financier du football français qu’il était interdit de montée en National 2.
Les dirigeants du club mulhousien affirment ne pas être inquiets et comptent bien évidemment faire appel de cette décision.
En l’état, c’est la réserve du Racing Strasbourg, 2e du championnat derrière le FCM, qui hériterait du ticket pour le N2.
P*tain, faut croire que c'est pas le sport, mais que c'est le nom qui porte malheur!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Gogol a écrit:Interdit de montée en N2, le FC Mulhouse va faire appel
Auditionné hier à Paris par la DNCG (Direction nationale de contrôle de gestion), le FC Mulhouse, champion de National 3 (groupe Grand Est), a appris aujourd'hui du gendarme financier du football français qu’il était interdit de montée en National 2.
Les dirigeants du club mulhousien affirment ne pas être inquiets et comptent bien évidemment faire appel de cette décision.
En l’état, c’est la réserve du Racing Strasbourg, 2e du championnat derrière le FCM, qui hériterait du ticket pour le N2.
P*tain, faut croire que c'est pas le sport, mais que c'est le nom qui porte malheur!
Oh la vache, tellement d effort....
Le Cerbere- 5 majeur
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Gogol a écrit:Interdit de montée en N2, le FC Mulhouse va faire appel
Auditionné hier à Paris par la DNCG (Direction nationale de contrôle de gestion), le FC Mulhouse, champion de National 3 (groupe Grand Est), a appris aujourd'hui du gendarme financier du football français qu’il était interdit de montée en National 2.
Les dirigeants du club mulhousien affirment ne pas être inquiets et comptent bien évidemment faire appel de cette décision.
En l’état, c’est la réserve du Racing Strasbourg, 2e du championnat derrière le FCM, qui hériterait du ticket pour le N2.
P*tain, faut croire que c'est pas le sport, mais que c'est le nom qui porte malheur!
et bien sur le Racing monte
dans la foulée la DNCG relègue Sochaux , pffff
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Christian Monschau rebondit au Portel
Licencié du SLUC Nancy il y a quelques semaines, le Mulhousien Christian Monschau va retrouver l'élite du basket français. Il a été nommé cet après-midi entraîneur du Portel.
L'Alsace
Christian Monschau retrouve l'élite du basket français avec Le Portel.
Le 6 janvier dernier, Christian Monschau était débarqué du SLUC Nancy, qu'il était chargé de faire remonter en Jeep Elite.
Ce mardi, le Mulhousien a été nommé à la tête du Portel, lanterne rouge de Jeep Elite. Il y remplace Jacky Perigois (un ancien de la SIG), qui avait succédé début décembre à Eric Girard (autre ancien de la SIG), devenu manager général du club du Pas-de-Calais après s'être mis en retrait de l'équipe. Perigois n'a remporté aucun des sept matches qu'il a dirigé.
La tâche de Christian Monschau (frère de Jean-Luc, entraîneur de Mulhouse-Pfastatt) semble impossible. Il va tenter de maintenir sa nouvelle équipe au plus haut niveau du basket français, mais elle n'a gagné que trois rencontres depuis le début de la saison. Et elle compte trois victoires de retard sur le premier non-relégable.
Christian Monschau, 61 ans, dirigera son premier match ce vendredi à domicile face à Cholet. Il tentera déjà de mettre fin à une série de neuf défaites consécutives.
Licencié du SLUC Nancy il y a quelques semaines, le Mulhousien Christian Monschau va retrouver l'élite du basket français. Il a été nommé cet après-midi entraîneur du Portel.
L'Alsace
Christian Monschau retrouve l'élite du basket français avec Le Portel.
Le 6 janvier dernier, Christian Monschau était débarqué du SLUC Nancy, qu'il était chargé de faire remonter en Jeep Elite.
Ce mardi, le Mulhousien a été nommé à la tête du Portel, lanterne rouge de Jeep Elite. Il y remplace Jacky Perigois (un ancien de la SIG), qui avait succédé début décembre à Eric Girard (autre ancien de la SIG), devenu manager général du club du Pas-de-Calais après s'être mis en retrait de l'équipe. Perigois n'a remporté aucun des sept matches qu'il a dirigé.
La tâche de Christian Monschau (frère de Jean-Luc, entraîneur de Mulhouse-Pfastatt) semble impossible. Il va tenter de maintenir sa nouvelle équipe au plus haut niveau du basket français, mais elle n'a gagné que trois rencontres depuis le début de la saison. Et elle compte trois victoires de retard sur le premier non-relégable.
Christian Monschau, 61 ans, dirigera son premier match ce vendredi à domicile face à Cholet. Il tentera déjà de mettre fin à une série de neuf défaites consécutives.
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