Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!

[soeurette]

Kymany Houinsou, formé à Mulhouse et Pfastatt, en vacances en Alsace...

[Esclave]

Soeurette avec un joueur de l'équipe des...COUGARS !

[Poil de carotte]

Soeurette avec un joueur de l'équipe des...COUGARS !

Après Chris S. sacré soirée

[the voice]

Fred s'est également fait un nouvel ami, Cap'tain America

[the voice]

Cap'tain America siffle aujourd'hui

[Esclave]

Cap'tain America siffle aujourd'hui

ah bon ? Il n'a pas cardio/fitness ?

[the voice]

La LNB lui a fourni une dispense. Il est en mission.

[Gogol]

Sans club, le meneur de jeu strasbourgeois Ludovic Beyhurst en salle d’attente à Mulhouse
Après une première expérience à l’étranger, au Monténégro, le meneur de jeu strasbourgeois Ludovic Beyhurst se retrouve sans club à quelques semaines de la reprise des championnats. Pour l’heure, il s’entraîne avec le Mulhouse BA (N1), en espérant avoir bientôt une opportunité en Pro B.
Sandrine PAYS - 01.09.2023 / L'Alsace

Ludovic Beyhurst s’entraîne depuis plusieurs jours déjà avec le Mulhouse BA. Parce que sa copine habite à Wittenheim, mais aussi parce qu’il connaît la coach Lauriane Dolt et son assistant Terrick Nerome depuis de longues années pour les avoir côtoyés lorsqu’il faisait partie des Espoirs de la SIG.

Le meneur de jeu n’envisage cependant pas de défendre les couleurs du MBA en Nationale 1. « J’espère signer un contrat avec un club de Pro B », confie-t-il. « Ou de Pro A si l’opportunité se présente. »

« J’ai la chance d’être bien entouré »
Pour le moment, le Strasbourgeois de 24 ans ne voit rien venir. Et comme il le reconnaît, il se retrouve dans une situation difficile à vivre. « Ce n’est pas évident de voir les autres joueurs préparer le prochain championnat et ça ne l’est pas davantage de devoir répondre à ceux qui vous demandent pourquoi vous êtes sans club », reconnaît-il en toute franchise.

« J’ai la chance d’être bien entouré, d’avoir ma famille, ma copine et mes amis ainsi qu’un préparateur physique et un psychologue du sport autour de moi, de pouvoir prendre du recul et d’être patient. J’ai la chance aussi de pouvoir m’entraîner avec une équipe au sein de laquelle je me sens bien, de retrouver des automatismes avec des coéquipiers et de garder le rythme, d’être ainsi prêt à reprendre la compétition dès que j’aurai une proposition. Ça m’évite de tourner en rond et de passer mon temps à me poser des questions. J’attendrai le temps qu’il faudra. Jusqu’à ce que j’aie une offre qui me corresponde, suffisamment de certitudes pour pouvoir me dire que le projet tient la route et que le coach tient à m’avoir dans son effectif. S’il le faut, si je n’ai pas le choix, j’irai à l’étranger. Comme Alexandre Gavrilovic (Ndlr : après avoir défendu les couleurs des Belges de Mons-Hainaut, l’intérieur alsacien d’origine serbe va défendre celles des Monténégrins du KK Mornar Bar en Ligue Adriatique). »

« J’ai retrouvé une liberté dans mon jeu qui m’a fait le plus grand bien »
« Je ne suis pas le seul dans ce cas », reprend l’ancien pensionnaire de l’Insep, désireux de parler d’un sujet parfois considéré comme « tabou » alors que « n’importe quel joueur ou presque peut se retrouver confronté à ce cas de figure ». « Je trouve dommage par exemple que les Mets 92 engagent deux meneurs américains (Ndlr : Jordan Theodore et Grant Sherfield) alors que plusieurs meneurs français sont encore sur le marché, comme Rudy Demahis-Ballou, Malela Mutuale, Medhi-Sofian Ngouama, Nathan De Sousa ou encore Ray Ona Embo. »

Ludovic Beyhurst est d’autant plus « frustré » de se retrouver sur la touche qu’il estime s’en être très bien sorti sous le maillot du KK Podgorica, au Monténégro, où il a évolué en Ligue Adriatique 2, « un championnat équivalent à la Pro B », de fin novembre 2022 à fin avril 2023. « J’ai terminé deuxième meilleur passeur et deuxième meilleur intercepteur, mais les entraîneurs français n’accordent visiblement aucune importance à ce que j’ai fait là-bas. »

Lui-même juge « très positive » cette première expérience à l’étranger. « Quand Nebojsa Bogavac m’a contacté, je n’ai pas hésité un seul instant. Je l’avais rencontré à la SIG et je savais que je pouvais lui faire confiance. Et j’ai eu raison de le rejoindre », assure le joueur. Celui-ci avait alors demandé à Antibes (Pro B), où il effectuait une pige de quelques mois, de le libérer six semaines avant la fin de son contrat afin de « vivre une nouvelle aventure ».

« Je ne l’ai pas regretté un seul instant », poursuit-il. « J’avais le statut d’étranger et donc plus de responsabilités que je n’en avais en tant que Français en France. Nebojsa m’a accordé toute sa confiance et j’ai retrouvé une liberté dans mon jeu qui m’a fait le plus grand bien. Lorsque j’ai rejoint l’équipe, elle était 13e de la Ligue Adriatique 2. À la fin de la saison, nous étions 2es. »

« J’aurais aimé rester à Reims »
S’il a apprécié le club et ses infrastructures, le jeune Alsacien a aussi pris plaisir à « découvrir une nouvelle culture » et à « profiter d’un cadre de vie idyllique ». À tel point que le Monténégro est devenu son « pays de cœur ».

« J’aurais volontiers prolongé mon contrat. Le club me l’avait d’ailleurs proposé, mais Nebojsa s’en allait et j’ai préféré m’en aller aussi. J’ai reçu une offre d’une équipe croate, mais je n’ai pas donné suite, faute de garanties. »

Le champion de France de Pro B (avec le SLUC Nancy en 2022) est donc rentré en Alsace. Avec l’espoir de trouver un nouveau club. « J’aurais aimé rester à Reims (Ndlr : en 2022, il avait enchaîné les piges, à Nancy, Champagne Basket et Antibes), mais cela ne s’est pas fait pour diverses raisons. C’est dommage, parce que j’avais l’impression d’y être à ma place et de pouvoir y être performant. »

Si le temps lui paraît parfois bien long, Ludovic Beyhurst reste confiant. « J’ai hâte de retrouver une situation stable. » Le plus tôt sera le mieux.

[floofy_68]

Ok, ça doit sûrement être un bon joueur mais je le trouve un peu trop sûr de lui. Il y a peut-être une raison pour qu'il soit '' sur la touche '' comme d'autres joueurs. Je ne suis pas trop fan de ce genre de personne qui se vante. Le mec ne veut pas jouer en N1, mais si tu as que ça ? Tu fais quoi ?

[Le Cerbere]

Ludovic, le gamin m'avait ébloui en finale region a l époque avec geispo face au Fcm. En -15, je crois.
Il avait perdu, mais sa classe sautait aux yeux, il etait clairement au dessus du lot, le Fcm avait remporté le titre grace a son collectif, et un grand gaillard hors norme.
Mais Ludo, avait marqué énormément, et distribuait comme un Dieu, a 15 ans !!! C etait beau a voir.
Et déjà dans la salle leo lagrange de Wittenheim, me semble t il.
flo c est pas de l arrogance, c est de l assurance, il connait son potentiel.

[Le Cerbere]

Si on pouvait seulement trouver un sponsor pour lui, monter un projet avec lui, viser plus haut grace a lui....

[Esclave]

Si on pouvait seulement trouver un sponsor pour lui, monter un projet avec lui, viser plus haut grace a lui....

Tu aurais pu lui parler...hier soir, il était assis tout près de toi.

Arrête, serieux, j ai meme pas vu !!

[Gogol]

Mulhouse : des coureurs pour les okapis, les singes et les zèbres
Quatre courses caritatives étaient organisées ce dimanche au parc zoologique et botanique de Mulhouse… Quatre courses pour soutenir les programmes de conservation des animaux dans leurs milieux naturels.
Alain CHEVAL - 25.09.2023 / L'Alsace

Ne parlez plus de « Sport au zoo » mais des « Foulées animales » ! Petits (parfois très petits, le plus jeune n’avait que 4 ans) et grands sportifs ont une fois de plus répondu à l’appel de la forêt, ce dimanche, pour une journée dédiée au sport… mais pas que. Cela fait maintenant cinq ans que l’équipe de la direction du zoo de Mulhouse organise ces courses, plus précisément quatre courses caritatives au profit des programmes de conservation des espèces menacées : la Titi Run (500 mètres), l’Okapi Run (1 500 mètres), la Zebra Run (5 000 mètres) et la Zebra Run + (15 km). Les « Foulées animales » ont été organisées en partenariat avec l’ASPTT Triathlon et Mulhouse Of Running.

Du sport en plein cœur du site
Au fil des éditions, les propositions se sont étoffées, même si l’essentiel reste le financement de ces fameux programmes de conservation. « Depuis le départ de cette aventure, nous avons pu récolter un peu plus de 5 000 €. C’est bien, même si nous espérons toujours faire plus. Pour cette nouvelle édition, nous avons enregistré un peu plus de 80 inscriptions. Notre objectif serait d’arriver à 200 participants. Cela viendra avec le temps. Ce qui est positif, c’est que les personnes qui viennent ici, surtout les plus jeunes, savent pourquoi ils courent. Ce sont eux, notre futur, et ce sont eux qui doivent être sensibilisés », explique Brice Lefaux, le directeur du parc.

Ce dimanche les amateurs de nature et de sport ont pu participer à ces trails dans le parc et participer à des découvertes sportives sur le pré des Wallaby. Ou comment s’initier au fitness, à l’escrime, au volley-ball, au handball et même au Pilate en présence de clubs représentatifs (le Volley Mulhouse Alsace – VMA-, les Loups de Mulhouse, l’ASPTT Handball Rixheim/Mulhouse, le Basket Mulhouse Agglomération – BMA-, le club d’escrime SG Guebwiller et La place Fitness.

Quand le sport soutient la conservation des espèces menacées
Comme chaque année, la totalité des recettes est reversée à des associations de conservation des espèces menacées. Cette année, le zoo mulhousien a choisi de soutenir l’Okapi Conservation Project (OCP) qui œuvre à la protection des okapis et de leur habitat en République démocratique du Congo. Le Parc zoologique et botanique de Mulhouse soutient financièrement ce projet depuis 2018 avec des dons annuels de 3 000 €.

Il y a aussi l’Action de conservation des primates d’Afrique de l’Ouest (WAPCA), un projet né en 2001 de l’association sur le sujet des zoos de Heidelberg, de Landau, du Parc zoologique et botanique de Mulhouse et du Zoological Society for the Conservation of Species and Populations. « Financée chaque année par plus de 30 parcs zoologiques et d’organisations de conservation, la WAPCA a pour objectif principal de protéger les primates menacés d’extinction dans la forêt pluviale ouest-africaine de Haute-Guinée. » Le Parc zoologique et botanique de Mulhouse soutient financièrement la WAPCA ainsi que le Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS) depuis plus de quinze ans, avec des dons annuels de 3 000 €.

Enfin, dernière action, le soutien au Grevy’s Zebra Trust (GZT), une ONG de conservation de la faune basée au Kenya depuis 2007. Sa mission principale est de conserver le zèbre de Grévy, en danger d’extinction, et son fragile habitat, en partenariat avec les communautés locales. Le Parc zoologique et botanique de Mulhouse soutient financièrement la conservation du zèbre de Grévy depuis treize ans avec des dons annuels de 1 500 €.

[Gogol]

Ce dimanche les amateurs de nature et de sport ont pu participer à ces trails dans le parc et participer à des découvertes sportives sur le pré des Wallaby. Ou comment s’initier au fitness, à l’escrime, au volley-ball, au handball et même au Pilate en présence de clubs représentatifs (le Volley Mulhouse Alsace – VMA-, les Loups de Mulhouse, l’ASPTT Handball Rixheim/Mulhouse, le Basket Mulhouse Agglomération – BMA-, le club d’escrime SG Guebwiller et La place Fitness.

C'est qui ceux-là ?

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