Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Randy (6 points - 3 Rebonds - 1 passe pour 7 d'eval.) a gagné son premier match de la CBC avec la sélection des Iles Vierges Britanniques: 99-63 contre la Guyane.
Suite ce soir contre La Barbade.
Suite ce soir contre La Barbade.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Nouvelle victoire de Randy et des IVB!
81-77 contre la Barbade!
L'Ami Randy? 19 points et 10 rebonds pour 23 d'Eval!
Meilleur marqueur de son équipe, meilleur rebondeur et meilleure eval du match!
Yeah!
Dernier match cette nuit contre les Iles Vierges (US) qui a aussi 2 victoires.
81-77 contre la Barbade!
L'Ami Randy? 19 points et 10 rebonds pour 23 d'Eval!
Meilleur marqueur de son équipe, meilleur rebondeur et meilleure eval du match!
Yeah!
Dernier match cette nuit contre les Iles Vierges (US) qui a aussi 2 victoires.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Severe defaite des IVB contre les IV: 89 à 60, seulement 6 points et 3 rebonds pour Randy.
Ils sont malgré cela qualifiés pour les 1/2 contre les Bahamas, cette nuit.
Ils sont malgré cela qualifiés pour les 1/2 contre les Bahamas, cette nuit.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Nouvelle defaite des IVB 65-84 contre les Bahamas, malgré les 7 pnts les 7 rebonds de Randy...
Dernier match contre les IV (US) pour la medaile de bronze.
La finale se jouera entre Cuba et les Bahamas.
Dernier match contre les IV (US) pour la medaile de bronze.
La finale se jouera entre Cuba et les Bahamas.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Les Bahamas finissent champions et les IVB 4ème.
11 pnts et 6 rebonds pour Randy et une défaite 102-68 contre les IV.
11 pnts et 6 rebonds pour Randy et une défaite 102-68 contre les IV.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
(Dans la rubrique Qui châtie bien, aime-bien? , participons nous-aussi au petit hommage rendu à une figure que nous connaissons bien...)
L'Alsace - 22/01/2015 - Sandrine Pays
Marion siffle les garçons
Depuis septembre dernier, la basketteuse haut-rhinoise de 23 ans Marion Ortis peut arbitrer en Nationale 1 masculine, une tâche dont elle s’acquitte avec le plus grand sérieux tout en rêvant de siffler un jour au niveau international.
Marion Ortis a vite compris qu’elle préférait arbitrer plutôt que jouer. « Ça me permettait de rester 40 minutes sur le terrain, ce qui n’aurait jamais été envisageable autrement » , sourit-elle en se rappelant ses premiers pas sifflet en bouche. Licenciée au BC Berrwiller/Staffelfelden, elle était âgée d’une quinzaine d’années et avait répondu à l’appel de son club, qui cherchait alors des volontaires pour les matches des équipes de jeunes. « J’ai tout de suite accroché. J’ai continué par choix et par plaisir. »
Jusqu’à présent auteur d’un sans-faute dans l’obtention de ses diplômes, la Kingersheimoise fait aujourd’hui partie de la quarantaine d’hommes et de femmes en noir officiant en Nationale 1 masculine (NM1) et en ligue professionnelle (LFB). Elle ne compte toutefois pas s’arrêter en si bon chemin. « J’aimerais aller le plus loin possible, au niveau international pourquoi pas » , confie cette jeune femme de 23 ans, appelée la saison passée sur 70 matches - soit 20 de plus que la moyenne. « Ce n’est pas facile. De nombreux paramètres entrent en ligne de compte : il y a beaucoup de candidats et peu d’élus » , résume-t-elle, consciente d’avoir sans doute à patienter encore un moment avant de passer à l’échelon supérieur, la Pro B.
Six évaluations en cours de saison
En attendant, elle sera évaluée à six reprises au cours de la saison par des observateurs envoyés par la Fédération. « Ces contrôles donnent lieu à des notes qui sont ensuite additionnées les unes aux autres afin d’établir une moyenne propre à chaque arbitre » , explique-t-elle. « Nous sommes prévenus juste avant le coup d’envoi. Après le match, nous avons droit à un petit débriefing et, le cas échéant, à des pistes de travail. Mais nous ne connaissons pas la note qui nous a été attribuée. Pour l’instant, je suis déjà passée sur le gril à trois reprises et cela s’est dans l’ensemble bien passé. Savoir que je vais être jugée ne me pose aucun problème, j’arrive à en faire abstraction tout comme je le fais du public. »
Marion Ortis prépare chaque rencontre avec le plus grand soin : « Je m’entraîne toujours à Berrwiller, même si je ne joue plus. Je cours régulièrement aussi. Et bien sûr, j’étudie chaque équipe, histoire de toutes bien les connaître. Le jour J, j’aime bien m’isoler deux ou trois heures avant le coup d’envoi, me mettre dans ma bulle et me concentrer sur mon sujet. J’utilise aussi beaucoup les vidéos qui nous sont automatiquement fournies après chaque match, afin d’analyser mon comportement dans les moindres détails et travailler sur l’un ou l’autre point en prévision du match suivant. »
« Un peu plus de respect »
Appelée le plus souvent pour arbitrer des matches féminins, la Haut-Rhinoise a malgré tout déjà sifflé six rencontres en NM1 depuis le début du championnat. La première d’entre elles le 1er novembre dernier, dans le Vaucluse, entre Grand Avignon Sorgues et la JA Vichy. « À ce niveau, les joueurs sont beaucoup plus rapides. La vitesse d’exécution des gestes n’a rien à voir avec ce que j’avais connu jusqu’à présent. Du coup, j’ai moins de temps de réflexion et de réaction : l’analyse de la situation doit être plus rapide et le coup de sifflet partir beaucoup plus vite. »
La jeune femme, qui change de binôme tous les week-ends, a été bien accueillie par les joueurs, avec lesquels elle n’a jusqu’à présent pas eu le moindre problème. « J’ai l’impression qu’ils ont un peu plus de respect pour l’arbitre quand c’est une femme… tout en ayant une certaine appréhension justement parce qu’il y a une femme sur le terrain ! Dans l’ensemble, tout se passe très bien. Avec les entraîneurs aussi : de toute façon, quand ils disent quelque chose, ils ont souvent raison. » Mais Marion Ortis met tout de suite les points sur les i. « Le premier coup de sifflet est très important parce qu’il conditionne la suite des débats en posant les limites à ne pas dépasser, et parce qu’il indique si celui ou celle qui l’a donné sera à la hauteur ou pas… »
Malgré tous ses efforts, la Kingersheimoise sait qu’elle commet des erreurs. « Je me trompe chaque week-end » , remarque-t-elle avec franchise. « En général, je m’en rends compte tout de suite et je reconnais ma faute. Je n’ai pas la prétention d’être infaillible ! »
L'Alsace - 22/01/2015 - Sandrine Pays
Marion siffle les garçons
Depuis septembre dernier, la basketteuse haut-rhinoise de 23 ans Marion Ortis peut arbitrer en Nationale 1 masculine, une tâche dont elle s’acquitte avec le plus grand sérieux tout en rêvant de siffler un jour au niveau international.
Marion Ortis a vite compris qu’elle préférait arbitrer plutôt que jouer. « Ça me permettait de rester 40 minutes sur le terrain, ce qui n’aurait jamais été envisageable autrement » , sourit-elle en se rappelant ses premiers pas sifflet en bouche. Licenciée au BC Berrwiller/Staffelfelden, elle était âgée d’une quinzaine d’années et avait répondu à l’appel de son club, qui cherchait alors des volontaires pour les matches des équipes de jeunes. « J’ai tout de suite accroché. J’ai continué par choix et par plaisir. »
Jusqu’à présent auteur d’un sans-faute dans l’obtention de ses diplômes, la Kingersheimoise fait aujourd’hui partie de la quarantaine d’hommes et de femmes en noir officiant en Nationale 1 masculine (NM1) et en ligue professionnelle (LFB). Elle ne compte toutefois pas s’arrêter en si bon chemin. « J’aimerais aller le plus loin possible, au niveau international pourquoi pas » , confie cette jeune femme de 23 ans, appelée la saison passée sur 70 matches - soit 20 de plus que la moyenne. « Ce n’est pas facile. De nombreux paramètres entrent en ligne de compte : il y a beaucoup de candidats et peu d’élus » , résume-t-elle, consciente d’avoir sans doute à patienter encore un moment avant de passer à l’échelon supérieur, la Pro B.
Six évaluations en cours de saison
En attendant, elle sera évaluée à six reprises au cours de la saison par des observateurs envoyés par la Fédération. « Ces contrôles donnent lieu à des notes qui sont ensuite additionnées les unes aux autres afin d’établir une moyenne propre à chaque arbitre » , explique-t-elle. « Nous sommes prévenus juste avant le coup d’envoi. Après le match, nous avons droit à un petit débriefing et, le cas échéant, à des pistes de travail. Mais nous ne connaissons pas la note qui nous a été attribuée. Pour l’instant, je suis déjà passée sur le gril à trois reprises et cela s’est dans l’ensemble bien passé. Savoir que je vais être jugée ne me pose aucun problème, j’arrive à en faire abstraction tout comme je le fais du public. »
Marion Ortis prépare chaque rencontre avec le plus grand soin : « Je m’entraîne toujours à Berrwiller, même si je ne joue plus. Je cours régulièrement aussi. Et bien sûr, j’étudie chaque équipe, histoire de toutes bien les connaître. Le jour J, j’aime bien m’isoler deux ou trois heures avant le coup d’envoi, me mettre dans ma bulle et me concentrer sur mon sujet. J’utilise aussi beaucoup les vidéos qui nous sont automatiquement fournies après chaque match, afin d’analyser mon comportement dans les moindres détails et travailler sur l’un ou l’autre point en prévision du match suivant. »
« Un peu plus de respect »
Appelée le plus souvent pour arbitrer des matches féminins, la Haut-Rhinoise a malgré tout déjà sifflé six rencontres en NM1 depuis le début du championnat. La première d’entre elles le 1er novembre dernier, dans le Vaucluse, entre Grand Avignon Sorgues et la JA Vichy. « À ce niveau, les joueurs sont beaucoup plus rapides. La vitesse d’exécution des gestes n’a rien à voir avec ce que j’avais connu jusqu’à présent. Du coup, j’ai moins de temps de réflexion et de réaction : l’analyse de la situation doit être plus rapide et le coup de sifflet partir beaucoup plus vite. »
La jeune femme, qui change de binôme tous les week-ends, a été bien accueillie par les joueurs, avec lesquels elle n’a jusqu’à présent pas eu le moindre problème. « J’ai l’impression qu’ils ont un peu plus de respect pour l’arbitre quand c’est une femme… tout en ayant une certaine appréhension justement parce qu’il y a une femme sur le terrain ! Dans l’ensemble, tout se passe très bien. Avec les entraîneurs aussi : de toute façon, quand ils disent quelque chose, ils ont souvent raison. » Mais Marion Ortis met tout de suite les points sur les i. « Le premier coup de sifflet est très important parce qu’il conditionne la suite des débats en posant les limites à ne pas dépasser, et parce qu’il indique si celui ou celle qui l’a donné sera à la hauteur ou pas… »
Malgré tous ses efforts, la Kingersheimoise sait qu’elle commet des erreurs. « Je me trompe chaque week-end » , remarque-t-elle avec franchise. « En général, je m’en rends compte tout de suite et je reconnais ma faute. Je n’ai pas la prétention d’être infaillible ! »
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
soeurette a écrit:je ne sais pas trop où l'écrire,
HAPPY BIRTHDAY Philou !!
Profite bien de ta journée, vieille branche !!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Al One a écrit:soeurette a écrit:je ne sais pas trop où l'écrire,
HAPPY BIRTHDAY Philou !!
Profite bien de ta journée, vieille branche !!
Ah bon ?,et une de plus !, l'essentiel est de participer !!!, Happy Birthday Philou
Le Cerbere- 5 majeur
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Matt Gamberoni, un Mulhousien en NCAA
Formé au FC Mulhouse, l’intérieur Matt Gamberoni est parti tenter sa chance aux États-Unis il y a trois ans. Aujourd’hui, il porte le maillot de l’université de Trevecca Nazarene en NCAA, le championnat universitaire nord-américain, et ne changerait de vie pour rien au monde.
par Sandrine Pays, L'Alsace.fr
« Quand j’ai commencé à jouer au basket, j’étais vraiment nul. Je ne savais pas quoi faire sur un terrain. J’étais juste plus grand que les autres. » Matt Gamberoni se souvient parfaitement de ses débuts sous les paniers, fruits du hasard le plus complet. « Un jour, j’avais onze ans, j’ai regardé un match de NBA à la télé chez ma grand-mère et j’ai découvert Shaquille O’Neal : il était grand, costaud, et m’a beaucoup impressionné. Le lendemain, je suis allé m’amuser au Gay Lussac. Alain Hemmerlin, du FCM, m’a repéré et m’a proposé de venir m’entraîner avec le club : j’y suis allé, sans trop savoir à quoi m’attendre, et j’ai bien aimé. Du coup, j’ai continué, même si je n’étais pas vraiment doué » , explique le Mulhousien, jusqu’alors adepte du judo.
Le garçon persévère. Et ne tarde pas à rejoindre, « à la surprise générale » , la section sportive du collège Pierre Pfimlin, à Brunstatt. « J’ai pu y entrer grâce à Leila Mahalaine, qui y entraînait et à qui je dois beaucoup : contrairement à d’autres coaches, elle m’a toujours encouragé et poussé à aller de l’avant, me répétant sans cesse que j’allais devenir meilleur que tout le monde. Je ne l’ai jamais oublié » , poursuit le jeune homme, désormais âgé de 24 ans.
Mississippi, Texas, Floride, Tennessee
Après avoir porté le maillot du FCM en benjamins, minimes France et cadets France, Matt Gamberoni est passé par le centre de formation d’Orléans avant de tenter sa chance aux États-Unis. Il rejoint une « preparatory school » à Jackson, au Mississippi, dans l’espoir de se faire remarquer par une université. L’expérience s’étant révélée infructueuse, il rentre en France quelques mois plus tard. Il défend alors les couleurs des espoirs du CSP Limoges durant une saison avant de refaire ses valises pour rejoindre l’Espagne et le club de Caceres.
Mais il n’a pas abandonné l’idée de retraverser l’Atlantique et n’hésite pas lorsqu’une nouvelle opportunité de réaliser son rêve se présente, en juillet 2012. « J’étais à l’aéroport de Zurich, pour retourner en Espagne, lorsque j’ai eu un coup de fil m’annonçant que j’étais pris au Kilgore College, au Texas, pour jouer en NJCAA. J’étais sur le point de signer un contrat pro, mais j’ai préféré laisser tomber pour repartir aux États-Unis. »
L’imposant joueur (2,05 m pour 120 kg) trouve tout de suite ses marques. « Nous avons fait un très bon championnat, avec 27 victoires pour six défaites » , résume-t-il, précisant aussi qu’il a été classé « dans les 25 meilleurs intérieurs des États-Unis à ce niveau de compétition ». Il poursuit sa route à l’université de Barry, à Miami, en Floride, où il fait ses premiers pas en NCAA, puis à celle de Trevecca Nazarene, à Nashville, au Tennessee, où il s’est installé l’été dernier. « J’y ai rencontré des gens formidables et j’y vis des moments inoubliables, sur et en dehors du terrain » , s’enthousiasme le Haut-Rhinois.
Et s’il donne pour l’instant la priorité au basket, il n’en néglige pas pour autant ses études. « Dans un an, si tout se passe bien, je serai titulaire d’un Bachelor - l’équivalent d’un bac + 3 - en exercice scientifique. Plus tard, j’aimerais travailler dans la réadaptation cardiaque. »
« Être le meilleur possible »
En attendant, Matt Gamberoni a visiblement trouvé le style de vie qui lui convient et qu’il n’échangerait pour rien au monde, même s’il prend toujours plaisir à revenir à Mulhouse pour y voir sa famille et ses amis. « Aux États-Unis, si on veut s’en sortir, on s’en sort toujours. Peu importe d’où on vient. Là-bas, j’ai tout ce dont je pouvais rêver. Je m’entraîne plus d’une vingtaine d’heures par semaine. Je travaille avec le coach de l’équipe et avec d’autres coaches encore. J’habite à deux minutes du gymnase et de sa salle de musculation, qui restent ouverts tout le temps : j’ai les clés et je peux y aller quand je veux, même la nuit ! Je suis aussi suivi par un préparateur physique, un kiné, un nutritionniste et même un psychologue du sport. Le but du jeu, c’est d’être le meilleur possible, aussi bien physiquement que mentalement » , commente l’Alsacien. Celui-ci a par ailleurs un petit boulot d’une dizaine d’heures hebdomadaires, afin de gagner un peu d’argent. « Je ne suis pas payé pour jouer, mais je ne débourse pas un cent pour mes études, qui sont entièrement prises en charge. »
Le jeune homme n’envisage pas de rester éternellement aux États-Unis. Mais pour l’instant, il profite de chaque instant sans bouder son plaisir. « Chaque jour, lorsque je me lève, je suis content, parce que je sais que je vais passer une bonne journée. J’adore mes études, j’adore mon sport. Je suis conscient de la chance que j’ai. »
Formé au FC Mulhouse, l’intérieur Matt Gamberoni est parti tenter sa chance aux États-Unis il y a trois ans. Aujourd’hui, il porte le maillot de l’université de Trevecca Nazarene en NCAA, le championnat universitaire nord-américain, et ne changerait de vie pour rien au monde.
par Sandrine Pays, L'Alsace.fr
« Quand j’ai commencé à jouer au basket, j’étais vraiment nul. Je ne savais pas quoi faire sur un terrain. J’étais juste plus grand que les autres. » Matt Gamberoni se souvient parfaitement de ses débuts sous les paniers, fruits du hasard le plus complet. « Un jour, j’avais onze ans, j’ai regardé un match de NBA à la télé chez ma grand-mère et j’ai découvert Shaquille O’Neal : il était grand, costaud, et m’a beaucoup impressionné. Le lendemain, je suis allé m’amuser au Gay Lussac. Alain Hemmerlin, du FCM, m’a repéré et m’a proposé de venir m’entraîner avec le club : j’y suis allé, sans trop savoir à quoi m’attendre, et j’ai bien aimé. Du coup, j’ai continué, même si je n’étais pas vraiment doué » , explique le Mulhousien, jusqu’alors adepte du judo.
Le garçon persévère. Et ne tarde pas à rejoindre, « à la surprise générale » , la section sportive du collège Pierre Pfimlin, à Brunstatt. « J’ai pu y entrer grâce à Leila Mahalaine, qui y entraînait et à qui je dois beaucoup : contrairement à d’autres coaches, elle m’a toujours encouragé et poussé à aller de l’avant, me répétant sans cesse que j’allais devenir meilleur que tout le monde. Je ne l’ai jamais oublié » , poursuit le jeune homme, désormais âgé de 24 ans.
Mississippi, Texas, Floride, Tennessee
Après avoir porté le maillot du FCM en benjamins, minimes France et cadets France, Matt Gamberoni est passé par le centre de formation d’Orléans avant de tenter sa chance aux États-Unis. Il rejoint une « preparatory school » à Jackson, au Mississippi, dans l’espoir de se faire remarquer par une université. L’expérience s’étant révélée infructueuse, il rentre en France quelques mois plus tard. Il défend alors les couleurs des espoirs du CSP Limoges durant une saison avant de refaire ses valises pour rejoindre l’Espagne et le club de Caceres.
Mais il n’a pas abandonné l’idée de retraverser l’Atlantique et n’hésite pas lorsqu’une nouvelle opportunité de réaliser son rêve se présente, en juillet 2012. « J’étais à l’aéroport de Zurich, pour retourner en Espagne, lorsque j’ai eu un coup de fil m’annonçant que j’étais pris au Kilgore College, au Texas, pour jouer en NJCAA. J’étais sur le point de signer un contrat pro, mais j’ai préféré laisser tomber pour repartir aux États-Unis. »
L’imposant joueur (2,05 m pour 120 kg) trouve tout de suite ses marques. « Nous avons fait un très bon championnat, avec 27 victoires pour six défaites » , résume-t-il, précisant aussi qu’il a été classé « dans les 25 meilleurs intérieurs des États-Unis à ce niveau de compétition ». Il poursuit sa route à l’université de Barry, à Miami, en Floride, où il fait ses premiers pas en NCAA, puis à celle de Trevecca Nazarene, à Nashville, au Tennessee, où il s’est installé l’été dernier. « J’y ai rencontré des gens formidables et j’y vis des moments inoubliables, sur et en dehors du terrain » , s’enthousiasme le Haut-Rhinois.
Et s’il donne pour l’instant la priorité au basket, il n’en néglige pas pour autant ses études. « Dans un an, si tout se passe bien, je serai titulaire d’un Bachelor - l’équivalent d’un bac + 3 - en exercice scientifique. Plus tard, j’aimerais travailler dans la réadaptation cardiaque. »
« Être le meilleur possible »
En attendant, Matt Gamberoni a visiblement trouvé le style de vie qui lui convient et qu’il n’échangerait pour rien au monde, même s’il prend toujours plaisir à revenir à Mulhouse pour y voir sa famille et ses amis. « Aux États-Unis, si on veut s’en sortir, on s’en sort toujours. Peu importe d’où on vient. Là-bas, j’ai tout ce dont je pouvais rêver. Je m’entraîne plus d’une vingtaine d’heures par semaine. Je travaille avec le coach de l’équipe et avec d’autres coaches encore. J’habite à deux minutes du gymnase et de sa salle de musculation, qui restent ouverts tout le temps : j’ai les clés et je peux y aller quand je veux, même la nuit ! Je suis aussi suivi par un préparateur physique, un kiné, un nutritionniste et même un psychologue du sport. Le but du jeu, c’est d’être le meilleur possible, aussi bien physiquement que mentalement » , commente l’Alsacien. Celui-ci a par ailleurs un petit boulot d’une dizaine d’heures hebdomadaires, afin de gagner un peu d’argent. « Je ne suis pas payé pour jouer, mais je ne débourse pas un cent pour mes études, qui sont entièrement prises en charge. »
Le jeune homme n’envisage pas de rester éternellement aux États-Unis. Mais pour l’instant, il profite de chaque instant sans bouder son plaisir. « Chaque jour, lorsque je me lève, je suis content, parce que je sais que je vais passer une bonne journée. J’adore mes études, j’adore mon sport. Je suis conscient de la chance que j’ai. »
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j'ai retrouvé mon petit coin !
hello un bonjour a vous tous de la part de Marie- France ! peut être mal placez ?
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Supkop- Rookie
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
supkop comment va tu ?
notre super manie
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NOTRE FIDELITE, NOTRE FOI NE CONNAISSENT PAS LA DEFAITE
Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Message de Supkop, deplacé par Al One
Supkop a écrit:hello , j'ai un message a vous passez de la part de Marie-France , de
Gravelines ............" elle passe le bonjour a tous LES KOPS , voila c'est fait
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Une photo prise lors du dernier match amical de Blois contre la Charité, sponsorisée par
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
pff snif on a perdu un bon joueurs là
quand je vois le nombre blessés qu'on a maintenant aïe aïe avec godin, mourad, anthony ça fait beaucoup là
quand je vois le nombre blessés qu'on a maintenant aïe aïe avec godin, mourad, anthony ça fait beaucoup là
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NOTRE FIDELITE, NOTRE FOI NE CONNAISSENT PAS LA DEFAITE
Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Zuttion monte en grade
L’assistant de Jamel Benabid est le nouvel entraîneur de l’équipe de France masculine de la gendarmerie. Il a officiellement pris ses fonctions la semaine dernière à Paris, où il a fait la connaissance de ses troupes lors d’un stage de trois jours.
par Sandrine Pays, LAlsace.fr
Lorsqu’il a été contacté par la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), qui voulait savoir s’il était prêt à devenir le nouvel entraîneur de l’équipe de France masculine de la gendarmerie, Jean-Pierre Zuttion n’a pas hésité un seul instant : il s’est empressé de refuser la proposition qui lui était faite. « Entre ma famille, mon travail et le FCM, je n’ai pas une minute à moi et je ne voyais pas comment caser cette occupation supplémentaire dans mon emploi du temps » , confie l’intéressé, adjudant-chef adjoint au commandant de la brigade motorisée de Mulhouse.
Seulement voilà : chassez le naturel, il revient au galop. « JPZ », tombé sur un interlocuteur tout aussi passionné que lui et visiblement très convaincant, a fini par changer d’avis. « Au bout du compte, je ne pouvais plus refuser ! » , lâche-t-il, bien évidemment ravi d’avoir dit oui. « Je vais m’arranger : je n’aurai pas tant de boulot que ça… »
L’Alsacien a fait la connaissance de son équipe la semaine passée lors d’un stage de trois jours à Paris. « L’objectif était de prendre connaissance des forces en présence et de mettre en place des systèmes de jeu. » Et le courant est visiblement tout de suite passé. « Je dispose d’un effectif de 12 joueurs qui viennent de toute la France et ont un niveau de jeu très disparate, qui va de la Promotion d’excellence à la N2. Mais ils ont tous adhéré à mon mode de fonctionnement et de travail et ont donné le meilleur d’eux-mêmes, ce qui m’a fait très plaisir. »
L’assistant assisté
Les gendarmes ont profité de l’occasion pour disputer un match amical, qu’ils ont perdu, face aux U16 de l’Insep. « Cette défaite est anecdotique , commente l’entraîneur. L’important, c’est que mes joueurs ont essayé de bien faire. Ils n’ont tout simplement pas tenu le coup face à des petits jeunes fougueux qui s’entraînent deux fois par jour ! »
Jean-Pierre Zuttion, assistant « depuis 12 ans » de Jamel Benabid au FCM (N1), a été confronté à une situation inédite pour lui : il a à son tour eu un assistant. « Je n’ai pas l’habitude, ça m’a fait bizarre , rigole-t-il. Heureusement, je suis tombé sur un gars super sympa : la mayonnaise a pris direct ! »
Le Mulhousien de 44 ans a maintenant plusieurs semaines devant lui pour préparer le prochain regroupement, prévu début février en Bretagne, où il retrouvera ses protégés durant une semaine. « J’ai fait filmer la rencontre face à l’Insep et j’en ai déjà sorti les points positifs et les points négatifs sur lesquels nous allons travailler. » Fidèle à lui-même, « JPZ » n’a pas l’intention de ménager ses efforts et compte bien relever le défi qu’il s’est lancé : remporter le championnat de France militaire dont la deuxième édition, organisée en avril prochain à Issy-les-Moulineaux, regroupera les équipes de l’armée de l’air et de terre, de la marine et de la gendarmerie. « Sans vouloir être prétentieux, je suis sûr que nous pouvons avoir le dernier mot , martèle un « JPZ » infatigable, à l’enthousiasme inaltérable. L’équipe de France féminine de la gendarmerie a gagné cette année. Nous, nous voulons gagner l’année prochaine ! »
L’assistant de Jamel Benabid est le nouvel entraîneur de l’équipe de France masculine de la gendarmerie. Il a officiellement pris ses fonctions la semaine dernière à Paris, où il a fait la connaissance de ses troupes lors d’un stage de trois jours.
par Sandrine Pays, LAlsace.fr
Lorsqu’il a été contacté par la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), qui voulait savoir s’il était prêt à devenir le nouvel entraîneur de l’équipe de France masculine de la gendarmerie, Jean-Pierre Zuttion n’a pas hésité un seul instant : il s’est empressé de refuser la proposition qui lui était faite. « Entre ma famille, mon travail et le FCM, je n’ai pas une minute à moi et je ne voyais pas comment caser cette occupation supplémentaire dans mon emploi du temps » , confie l’intéressé, adjudant-chef adjoint au commandant de la brigade motorisée de Mulhouse.
Seulement voilà : chassez le naturel, il revient au galop. « JPZ », tombé sur un interlocuteur tout aussi passionné que lui et visiblement très convaincant, a fini par changer d’avis. « Au bout du compte, je ne pouvais plus refuser ! » , lâche-t-il, bien évidemment ravi d’avoir dit oui. « Je vais m’arranger : je n’aurai pas tant de boulot que ça… »
L’Alsacien a fait la connaissance de son équipe la semaine passée lors d’un stage de trois jours à Paris. « L’objectif était de prendre connaissance des forces en présence et de mettre en place des systèmes de jeu. » Et le courant est visiblement tout de suite passé. « Je dispose d’un effectif de 12 joueurs qui viennent de toute la France et ont un niveau de jeu très disparate, qui va de la Promotion d’excellence à la N2. Mais ils ont tous adhéré à mon mode de fonctionnement et de travail et ont donné le meilleur d’eux-mêmes, ce qui m’a fait très plaisir. »
L’assistant assisté
Les gendarmes ont profité de l’occasion pour disputer un match amical, qu’ils ont perdu, face aux U16 de l’Insep. « Cette défaite est anecdotique , commente l’entraîneur. L’important, c’est que mes joueurs ont essayé de bien faire. Ils n’ont tout simplement pas tenu le coup face à des petits jeunes fougueux qui s’entraînent deux fois par jour ! »
Jean-Pierre Zuttion, assistant « depuis 12 ans » de Jamel Benabid au FCM (N1), a été confronté à une situation inédite pour lui : il a à son tour eu un assistant. « Je n’ai pas l’habitude, ça m’a fait bizarre , rigole-t-il. Heureusement, je suis tombé sur un gars super sympa : la mayonnaise a pris direct ! »
Le Mulhousien de 44 ans a maintenant plusieurs semaines devant lui pour préparer le prochain regroupement, prévu début février en Bretagne, où il retrouvera ses protégés durant une semaine. « J’ai fait filmer la rencontre face à l’Insep et j’en ai déjà sorti les points positifs et les points négatifs sur lesquels nous allons travailler. » Fidèle à lui-même, « JPZ » n’a pas l’intention de ménager ses efforts et compte bien relever le défi qu’il s’est lancé : remporter le championnat de France militaire dont la deuxième édition, organisée en avril prochain à Issy-les-Moulineaux, regroupera les équipes de l’armée de l’air et de terre, de la marine et de la gendarmerie. « Sans vouloir être prétentieux, je suis sûr que nous pouvons avoir le dernier mot , martèle un « JPZ » infatigable, à l’enthousiasme inaltérable. L’équipe de France féminine de la gendarmerie a gagné cette année. Nous, nous voulons gagner l’année prochaine ! »
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Felicitations à notre JPZ!
Qqch me dit que si les gendarmes basketteurs sont entre de bonnes mains, ils ne vont pas rigoler tous les jours non plus!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Bravo
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ganesh- All Star
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Un petit tour du côté de la 2...
« La reconstruction se fera à petits pas »
Les joueurs du FC Mulhouse II sont derniers de la Prénationale sans la moindre victoire à leur actif, mais Hadi Jacques Benmesbah, leur entraîneur, reste optimiste malgré tout.
L'Alsace.fr
À l’aube de la 8e journée de Prénationale, les joueurs du FCM II sont englués dans les profondeurs du classement (14es et derniers de la classe sans la moindre victoire). L’entraîneur Hadi Jacques Benmesbah, qui était à la tête des prénationaux d’Hirtzfelden la saison dernière, a été plébiscité par le club mulhousien pour prendre les rênes de l’équipe II. Il reste lucide.
Comment vivez-vous cette situation ?
Bien qu’ayant été informé des difficultés que traversait le FCM, je me suis engagé à apporter mon soutien technique alors qu’à ma grande surprise, tous les joueurs de l’équipe II de la saison passée n’ont pas souhaité rester au club. J’ai dû composer avec des joueurs venus d’autres horizons, avec le renfort aléatoire de certains cadets de France… La reconstruction se fera à petits pas. Il faut savoir reculer pour mieux sauter. On aurait voulu couler le club qu’on n’aurait pas fait mieux !
Comment se passe le championnat ?
Nous n’avons aucune victoire à notre actif et notre position n’est guère enviable. Nous subissons à chaque rencontre face à des adversaires bien mieux armés que nous et les résultats parlent d’eux-mêmes. Chaque week-end est un calvaire, nous n’avons pas encore trouvé une cohérence de jeu et ce n’est pas facile à gérer. Je le répète, cette situation a été provoquée par certains démissionnaires. Nous accueillons Illfurth ce samedi (18 h 30) et nous nous battrons jusqu’au bout.
Le maintien reste-t-il envisageable ?
Le maintien est difficile à entrevoir et si nous l’obtenons, ce serait un exploit. Je reste malgré tout confiant dans l’engagement de l’équipe, qui est courageuse et volontaire. Les joueurs s’investissent aux entraînements et se battent chaque week-end, malheureusement à armes inégales comme je le disais précédemment. Quelle que soit l’issue de cette saison, il faut d’ores et déjà penser à reconstruire vers une équipe plus compétitive. Je terminerai en rappelant que les chiens aboient et la caravane passe… quand même.
« La reconstruction se fera à petits pas »
Les joueurs du FC Mulhouse II sont derniers de la Prénationale sans la moindre victoire à leur actif, mais Hadi Jacques Benmesbah, leur entraîneur, reste optimiste malgré tout.
L'Alsace.fr
À l’aube de la 8e journée de Prénationale, les joueurs du FCM II sont englués dans les profondeurs du classement (14es et derniers de la classe sans la moindre victoire). L’entraîneur Hadi Jacques Benmesbah, qui était à la tête des prénationaux d’Hirtzfelden la saison dernière, a été plébiscité par le club mulhousien pour prendre les rênes de l’équipe II. Il reste lucide.
Comment vivez-vous cette situation ?
Bien qu’ayant été informé des difficultés que traversait le FCM, je me suis engagé à apporter mon soutien technique alors qu’à ma grande surprise, tous les joueurs de l’équipe II de la saison passée n’ont pas souhaité rester au club. J’ai dû composer avec des joueurs venus d’autres horizons, avec le renfort aléatoire de certains cadets de France… La reconstruction se fera à petits pas. Il faut savoir reculer pour mieux sauter. On aurait voulu couler le club qu’on n’aurait pas fait mieux !
Comment se passe le championnat ?
Nous n’avons aucune victoire à notre actif et notre position n’est guère enviable. Nous subissons à chaque rencontre face à des adversaires bien mieux armés que nous et les résultats parlent d’eux-mêmes. Chaque week-end est un calvaire, nous n’avons pas encore trouvé une cohérence de jeu et ce n’est pas facile à gérer. Je le répète, cette situation a été provoquée par certains démissionnaires. Nous accueillons Illfurth ce samedi (18 h 30) et nous nous battrons jusqu’au bout.
Le maintien reste-t-il envisageable ?
Le maintien est difficile à entrevoir et si nous l’obtenons, ce serait un exploit. Je reste malgré tout confiant dans l’engagement de l’équipe, qui est courageuse et volontaire. Les joueurs s’investissent aux entraînements et se battent chaque week-end, malheureusement à armes inégales comme je le disais précédemment. Quelle que soit l’issue de cette saison, il faut d’ores et déjà penser à reconstruire vers une équipe plus compétitive. Je terminerai en rappelant que les chiens aboient et la caravane passe… quand même.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Pour ma part, il n'y a aucun doute sur le retour en excellence régional la saison prochaine. Pour le reste, chacun voit midi à sa porte.
the voice- Sophomore
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
La tribu d’Aladin se porte bien
Les cadets de FC Mulhouse engagés en U18 élite semblent sur la bonne voie pour décrocher leur qualification en poule haute, l’objectif fixé par leur entraîneur, Aladin Amdouni, qui rêve déjà d’un titre de champion de France.
par Sandrine Pays, LAlsace.fr
Aladin Amdouni, l’entraîneur des cadets du FC Mulhouse engagés en U18 élite, le plus haut niveau français dans cette catégorie d’âge, est pour l’instant satisfait du parcours de ses troupes : avec quatre victoires et trois défaites, les Mulhousiens, troisièmes de la poule H à trois matches de la fin de la première phase, ont encore toutes leurs chances d’atteindre leur objectif, qui est de se qualifier pour la poule haute. « Nous sommes l’une des huit équipes - sur 48 - à ne pas disposer d’un centre de formation agréé puisque le club n’est ni en Pro A ni en Pro B. Sur le papier, nous sommes donc moins forts que nos adversaires. Sur le terrain, en revanche, c’est une autre histoire » , sourit le Parisien d’origine, salarié à temps plein au FCM depuis maintenant quatre ans.
Ce titulaire d’un BE 1er degré est confiant en l’avenir. « Rien n’est fait. Nous avons encore besoin d’une ou deux victoires - en fonction des autres résultats - que nous sommes parfaitement capables de décrocher » , martèle-t-il en rappelant qu’un rendez-vous très important attend son groupe dimanche (14 h 30) à la salle annexe du Palais des sports face à l’ASVEL, seule formation, avec la JL Bourg (qui l’a battu à deux reprises), à avoir pris le dessus sur le FCM jusqu’à présent. « Quoi qu’il en soit, je n’envisage même pas que nous puissions rater le coche et nous retrouver en poule basse ! »
L’ancien joueur s’est d’ailleurs d’ores et déjà fixé un nouvel objectif : devenir champion de France. « Autant ne pas faire dans la demi-mesure ! Nous devons faire preuve d’ambition pour ne pas devenir apathiques » , lâche-t-il avec conviction.
« Un grand frère »
Aladin Amdouni a une totale confiance en ses 13 protégés, « qui donnent tout et travaillent dur » et dont il est très proche. « J’ai 26 ans, ils ont entre 15 et 17 ans : j’ai souvent l’impression d’être davantage un grand frère qu’un coach, même si c’est moi qui commande une fois qu’ils sont sur le terrain ! Avant de constituer une équipe, je veux former une famille : c’est indispensable pour moi qui fonctionne à l’affectif. Nous sommes une petite tribu, c’est ce qui fait notre force. » L’entraîneur sait aussi qu’il dispose de jeunes, faisant pour la plupart d’entre eux partie de la section sportive du lycée Schweitzer, au potentiel prometteur. « Nous avons une très belle paire d’arrières (Marius Chambre et Arnaud Halbwachs), des ailiers athlétiques (Alou Traoré et William Wembo) et une raquette (Axel Dalmazir et Silver Dracon) suffisamment solide pour répondre au défi physique imposé par nos adversaires. Tous ces cadres sont par ailleurs secondés par des joueurs plus jeunes qui ne demandent qu’à mordre le parquet ! »
Et qui sont plus motivés que jamais en sachant qu’ils auront peut-être un jour leur place en équipe une. « Jamel Benabid fait désormais davantage appel aux cadets, avant tout pour les entraînements mais aussi pour certains matches. C’est une bonne chose parce que les heureux élus progressent plus vite au niveau de l’intensité et de la lecture de jeu. »
Seule ombre au tableau : les uns et les autres manquent encore forcément d’expérience, ce qui peut leur jouer des tours. « L’engagement total et l’euphorie prennent souvent le dessus sur la réflexion et la lucidité » , commente Aladin Amdouni, « mais d’un autre côté nous permettent aussi d’être combatifs, de gagner des matches et d’être les trouble-fête de notre poule. »
Effectif : Mathieu Bertrand, Marius Chambre, Axel Dalmazir, Amara Diané, Silver Dracon, Cyriaque Foucart, Arnaud Halbwachs, Mathieu Illuminati, Robin Schlegel, Alou Traoré, Yannick Votrelle, Thomas Walian, William Wembo. Entraîneur : Aladin Amdouni, assisté de Carlos Martins.
Les cadets de FC Mulhouse engagés en U18 élite semblent sur la bonne voie pour décrocher leur qualification en poule haute, l’objectif fixé par leur entraîneur, Aladin Amdouni, qui rêve déjà d’un titre de champion de France.
par Sandrine Pays, LAlsace.fr
Aladin Amdouni, l’entraîneur des cadets du FC Mulhouse engagés en U18 élite, le plus haut niveau français dans cette catégorie d’âge, est pour l’instant satisfait du parcours de ses troupes : avec quatre victoires et trois défaites, les Mulhousiens, troisièmes de la poule H à trois matches de la fin de la première phase, ont encore toutes leurs chances d’atteindre leur objectif, qui est de se qualifier pour la poule haute. « Nous sommes l’une des huit équipes - sur 48 - à ne pas disposer d’un centre de formation agréé puisque le club n’est ni en Pro A ni en Pro B. Sur le papier, nous sommes donc moins forts que nos adversaires. Sur le terrain, en revanche, c’est une autre histoire » , sourit le Parisien d’origine, salarié à temps plein au FCM depuis maintenant quatre ans.
Ce titulaire d’un BE 1er degré est confiant en l’avenir. « Rien n’est fait. Nous avons encore besoin d’une ou deux victoires - en fonction des autres résultats - que nous sommes parfaitement capables de décrocher » , martèle-t-il en rappelant qu’un rendez-vous très important attend son groupe dimanche (14 h 30) à la salle annexe du Palais des sports face à l’ASVEL, seule formation, avec la JL Bourg (qui l’a battu à deux reprises), à avoir pris le dessus sur le FCM jusqu’à présent. « Quoi qu’il en soit, je n’envisage même pas que nous puissions rater le coche et nous retrouver en poule basse ! »
L’ancien joueur s’est d’ailleurs d’ores et déjà fixé un nouvel objectif : devenir champion de France. « Autant ne pas faire dans la demi-mesure ! Nous devons faire preuve d’ambition pour ne pas devenir apathiques » , lâche-t-il avec conviction.
« Un grand frère »
Aladin Amdouni a une totale confiance en ses 13 protégés, « qui donnent tout et travaillent dur » et dont il est très proche. « J’ai 26 ans, ils ont entre 15 et 17 ans : j’ai souvent l’impression d’être davantage un grand frère qu’un coach, même si c’est moi qui commande une fois qu’ils sont sur le terrain ! Avant de constituer une équipe, je veux former une famille : c’est indispensable pour moi qui fonctionne à l’affectif. Nous sommes une petite tribu, c’est ce qui fait notre force. » L’entraîneur sait aussi qu’il dispose de jeunes, faisant pour la plupart d’entre eux partie de la section sportive du lycée Schweitzer, au potentiel prometteur. « Nous avons une très belle paire d’arrières (Marius Chambre et Arnaud Halbwachs), des ailiers athlétiques (Alou Traoré et William Wembo) et une raquette (Axel Dalmazir et Silver Dracon) suffisamment solide pour répondre au défi physique imposé par nos adversaires. Tous ces cadres sont par ailleurs secondés par des joueurs plus jeunes qui ne demandent qu’à mordre le parquet ! »
Et qui sont plus motivés que jamais en sachant qu’ils auront peut-être un jour leur place en équipe une. « Jamel Benabid fait désormais davantage appel aux cadets, avant tout pour les entraînements mais aussi pour certains matches. C’est une bonne chose parce que les heureux élus progressent plus vite au niveau de l’intensité et de la lecture de jeu. »
Seule ombre au tableau : les uns et les autres manquent encore forcément d’expérience, ce qui peut leur jouer des tours. « L’engagement total et l’euphorie prennent souvent le dessus sur la réflexion et la lucidité » , commente Aladin Amdouni, « mais d’un autre côté nous permettent aussi d’être combatifs, de gagner des matches et d’être les trouble-fête de notre poule. »
Effectif : Mathieu Bertrand, Marius Chambre, Axel Dalmazir, Amara Diané, Silver Dracon, Cyriaque Foucart, Arnaud Halbwachs, Mathieu Illuminati, Robin Schlegel, Alou Traoré, Yannick Votrelle, Thomas Walian, William Wembo. Entraîneur : Aladin Amdouni, assisté de Carlos Martins.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
L'avenir du club est la!
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ganesh- All Star
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Localisation : Anfield Road
Occupation : Créateur d'ambiance
Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Je viens de découvrir 4 interviews de nos joueurs sur le site off'...
A lire absolument!
http://www.fcm-basket.fr/equipe-premiere-nm1/
A lire absolument!
http://www.fcm-basket.fr/equipe-premiere-nm1/
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Gogol a écrit:Je viens de découvrir 4 interviews de nos joueurs sur le site off'...
A lire absolument!
http://www.fcm-basket.fr/equipe-premiere-nm1/
Excellent !
Même le site Off retrouve de la vie !
The Clown- All Star
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Date d'inscription : 28/04/2012
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
oui mais sauf que deux personnes dans équipe officielles son plus là
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NOTRE FIDELITE, NOTRE FOI NE CONNAISSENT PAS LA DEFAITE
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