Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!

[Gogol]

Qu'est-ce que c'est niais !
Tu es pénalisé parce que tu as trop dépensé...donc parce que tu as du fric...
et la sanction est ? du fric ! 2000 euros ! Une misère...

Les américains ont tt compris...
Vive le salary cap !

[Aurel2568]

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid0tsq8w1rGFyA9ZZLW4GEJk31WCtj8yYZSf7jbgfcSWPxYnThsLbo1iur5jsaLWox2l&id=100057169371501

Le communiqué du SOPCC

[Poil de carotte]

Les voilà éliminé de la course au top 5 (sauf appel de leur part)

Ca n'est pas refleté au classement... pour le moment

Ça ne serait tarder car leur appel a déjà été rejeté et ils ont accepté les décisions (cf communiquer officiel du club relayer par AuRel juste au-dessus)

[68bass]

Qu'est-ce que c'est niais !
Tu es pénalisé parce que tu as trop dépensé...donc parce que tu as du fric...
et la sanction est ? du fric ! 2000 euros ! Une misère...

je pense que ce n'est pas parce qu'il ont trop dépensé mais parce qu'ils ne mettent pas en fond propre 10 % de leur budget afin de pérenniser leur club; La mesure a été suspendue pendant les années covid mais de nouveau d'actualité en 2021/2022.

[Gogol]

Ca n'est pas refleté au classement... pour le moment

Ça ne serait tarder car leur appel a déjà été rejeté et ils ont accepté les décisions (cf communiquer officiel du club relayer par AuRel juste au-dessus)

Donc l'actuel leader du classement domicile serait au final en poule basse pour le moment...
Ouch!

Pont qui pleure !
Feurs qui rit!

[Poil de carotte]

Je crois me souvenir qu'en cas d'égalité l'équipe qui a des pénalités est d'office derrière.
Quelqu'un peut il me confirmer ?

[Aurel2568]

Je pense pareil

[Poil de carotte]

Je pense pareil

Les grands esprits se rencontrent 🤪🤪

[Gogol]

Je crois me souvenir qu'en cas d'égalité l'équipe qui a des pénalités est d'office derrière.
Quelqu'un peut il me confirmer ?

C'est aussi ce que je pense d'où mon post précédent...

[Poil de carotte]

Je crois me souvenir qu'en cas d'égalité l'équipe qui a des pénalités est d'office derrière.
Quelqu'un peut il me confirmer ?

C'est aussi ce que je pense d'où mon post précédent...

Alors Cergy rie aussi 🤪🤪🤪
C'est actualisé sur la FFBB. Il donne Pont devant Feurs et Cergy pour l'instant

[Gogol]

C'est aussi ce que je pense d'où mon post précédent...

Alors Cergy rie aussi 🤪🤪🤪
C'est actualisé sur la FFBB. Il donne Pont devant Feurs et Cergy pour l'instant

Au moment de mon post, c'est Feurs qui était 11ème.
Cergy 1oème, n'était pas concerné par la poule basse, d'un cheveu, c'est vrai.

Si on regarde bien, le -3 apparait dans la colonne I(nit) et pas dans la colonne P(énalités) ... Ca sent la subtilité de règlement !

[soeurette]

dans la presse ce matin...

BASKEt-BALL
• Laurent Minnig quitte le Mulhouse Pfastatt BA
Laurent Minnig ne sera plus l’entraîneur du Mulhouse Pfastatt BA (N3) la saison prochaine. Le Mulhousien était arrivé à la tête de l’équipe alors que celle-ci était en Prénationale, à l’aube de l’exercice 2017-2018.

[soeurette]

et un autre article !

[Poil de carotte]

Je ne sais pas si vous avez vu mais il y a un article dans notre PQR sur le club des supporters du VMA.
Avant de dire des choses que je regretterai pourriez vous me confirmer que le Kop 2001 a déjà eu les honneurs de notre quotidien ?🤪🤪🤪

[soeurette]

euh... il y a fort fort longtemps alors...

[Gogol]

Ici

[Al One]

Grand Format : La Mulhousienne Lauriane Dolt, pionnière dans le basket professionnel masculin : « Je ne cherche pas à être un exemple »
Propos recueillis par Sandrine PAYS / Jérôme GIL - 04.05.2023 / L'Alsace


L’Alsacienne Lauriane Dolt, coach du Mulhouse Basket Agglomération (NM1), fait figure d’exception dans un monde du basket-ball professionnel quasi exclusivement masculin.

Lauriane Dolt : « Je ne cherche pas à être un exemple »

L’Alsacienne Lauriane Dolt, coach du Mulhouse Basket Agglomération (Nationale 1 masculine), voudrait que ses compétences soient mises en avant plutôt que son statut de femme dans un milieu d’hommes, un sujet qu’elle est fatiguée d’avoir à évoquer sans cesse.

Lauriane Dolt, pourquoi vous êtes-vous orientée vers le coaching ?
Mon papa était entraîneur. Il coachait l’US Baldenheim, un club de football évoluant au niveau départemental. J’ai par ailleurs vite compris - à ce moment-là, j’étais cadette et je jouais en NF2 à l’US Wittenheim - que je ne deviendrai jamais une basketteuse pro. Me tourner vers le coaching est devenu une évidence.

Vous avez jusqu’à présent toujours entraîné des équipes masculines. Est-ce le fruit du hasard ou une volonté délibérée ?
Au départ, c’est le fruit du hasard. Quand j’étais à la SIG, j’intervenais sur toutes les catégories d’âge. J’ai commencé à entraîner les benjamins et les cadets, pour la simple et bonne raison qu’ils n’avaient pas de coach à ce moment-là, alors que l’encadrement des féminines était en place depuis des années. Plus tard, j’ai intégré le centre de formation de la SIG, où je me suis occupée des cadets France puis des Espoirs. Tout s’est enchaîné de façon naturelle. Je me sens bien dans le basket masculin. Je n’ai jamais cherché à aller dans le basket féminin. Je n’ai jamais eu la moindre proposition non plus. Sans doute parce que je suis étiquetée ‘‘coach de garçons’’.

Vous sentez-vous l’âme d’une pionnière ou exercez-vous simplement votre passion dans un milieu masculin ?
J’exerce simplement ma passion dans un milieu masculin, mais on me dit souvent que je suis une pionnière. Un certain nombre de personnes voudraient d’ailleurs que je communique davantage sur mon parcours, que je le mette en avant sur les réseaux sociaux, mais je n’ai pas l’âme d’une féministe et je n’en ressens ni l’envie, ni le besoin. Je fais mon petit bonhomme de chemin sans rien demander à personne et cela me convient parfaitement.

On parle souvent de vous en mettant justement en avant votre statut de femme dans un monde d’hommes. Ne préféreriez-vous pas que l’on évoque avant tout votre statut d’entraîneure ?
Si, bien sûr que si ! Il y a quelques années, quand on venait me parler de mon statut de femme dans un monde d’hommes, je comprenais. Mais aujourd’hui, j’avoue que ça me fatigue d’évoquer ce thème systématiquement ou presque. Je suis dans le basket depuis une quinzaine d’années, j’aimerais qu’on parle en priorité de mon travail de coach.

Une femme a-t-elle une approche différente du coaching qu’un homme ou la façon d’entraîner est-elle avant tout liée à la personnalité de celle ou celui qui coache ?
C’est un grand débat, mais pour moi, ce n’est pas parce qu’on est une femme qu’on entraîne mieux ou moins bien. Ce qui fait la différence, c’est la personnalité du coach. Je prends un seul exemple, celui de Gregg Popovich (Ndlr : l’un des plus grands coaches de l’histoire de la NBA). Ses joueurs ont tous un immense respect pour lui notamment parce qu’il les a aidés, comme ils le disent, ‘’à devenir des hommes’’. Or jusqu’à preuve du contraire, Gregg Popovich est lui-même un homme ! Une femme est souvent perçue avant tout - et parfois exclusivement, ce qui est très réducteur - comme une mère, avec tout ce que cela sous-entend, l’écoute, la tolérance, la bienveillance… Or un homme peut très bien avoir ces qualités et cette sensibilité.

Avez-vous la sensation d’avoir ouvert des portes pour les générations futures ?
Je l’espère, mais je ne suis pas très optimiste. Non seulement il n’y a pratiquement pas de femme à la tête d’équipes professionnelles, mais en plus, il n’y en a pas dans les formations diplômantes. Je n’ai aucune explication à ces deux phénomènes. Personne n’en a. Nous avons essayé d’en trouver avec la FEP (Fédération des entraîneurs professionnels), sans succès.

Vous êtes justement l’une des ambassadrices de la FEP qui œuvre, entre autres, pour la féminisation et la mixité dans le sport. Ses actions ont-elles fait avancer les choses ?
Nous avions mené deux actions fortes avec Roxana Maracineanu lorsqu’elle était encore ministre des Sports, axées sur l’accessibilité et l’acceptation des femmes dans le sport de haut niveau. La première consistait à faire comprendre que la maternité ne doit pas être un frein dans la carrière d’une joueuse, même lorsqu’elle a un contrat pluriannuel, comme c’est souvent le cas. La seconde, qu’il faut aider les joueuses qui veulent devenir maman, les rassurer et leur expliquer qu’elles ne seront pas exclues de leur équipe sous prétexte qu’elles veulent un bébé. C’est bien beau de s’extasier devant les femmes qui donnent la vie, encore faut-il leur permettre de le faire dans de bonnes conditions, quel que soit leur métier. Les handballeuses ont été des précurseurs dans ce domaine (Ndlr : le 15 mars 2021, le handball français a signé une convention collective qui garantit notamment aux pros qu’elles ne perdront plus un centime en cas d’arrêt pour grossesse). Un guide, intitulé « Sport de haut niveau et maternité, c’est possible », a vu le jour en février 2022. Il faut continuer à sensibiliser les présidents et dirigeants de club.

L’an dernier, durant votre grossesse et votre congé maternité, vous a-t-on reproché votre absence ?
Non, jamais. J’ai eu beaucoup de chance, j’ai été soutenue par un président et des joueurs hypercompréhensifs.

Comment votre statut de maman est-il perçu aujourd’hui ?
Très bien. À tel point que je passe désormais au second plan ! On me demande tout le temps des nouvelles de mon fils (Ndlr : Léno, né le 5 mars 2022). Les gens sont bienveillants, contents pour moi et parfois même fiers.

Avez-vous déjà entendu des remarques déplacées, de spectateurs, d’entraîneurs ou de joueurs, parce que vous êtes une femme ?
Je sais que certains entraîneurs utilisent le fait que je suis une femme pour essayer de gonfler l’ego de leurs joueurs, en mode ‘‘on ne va pas perdre contre une gonzesse’’. C’est un argument un peu facile, mais ça ne me dérange pas plus que ça. J’ai déjà entendu des critiques venant du public, mais je n’y prête pas attention et je ne réagis pas.

Avez-vous le sentiment d’être un exemple pour des femmes tentées par le coaching ?
Je ne cherche pas à être un exemple. Je fais ce que je fais parce que j’aime ça, pour mon bien-être. Je suis convaincue que si on fait les choses pour les autres, on se trompe. Et puis ce n’est pas parce que je vais réussir que les autres filles vont réussir aussi. Et inversement, ce n’est pas parce que je vais me planter qu’elles vont se planter aussi. Si je peux donner des idées à d’autres femmes, tant mieux, et si je peux les accompagner dans un projet similaire, je le ferai avec plaisir. Je suis toujours prête à partager mon expérience avec celles qui ont envie d’en discuter avec moi.

C’est pour cela que vous avez rejoint le Global Women in Basketball Coaching Network* ?
Exactement. Il m’apporte une ouverture d’esprit en me permettant d’échanger et de partager avec d’autres femmes qui font le même métier que moi et viennent du monde entier. Nous sommes toutes confrontées aux mêmes situations, mais les mentalités n’ont souvent rien à voir d’un endroit à l’autre. C’est très intéressant et enrichissant. J’ai parfois besoin de réponses, ou de soutien, et je sais que je peux les trouver auprès de ces femmes. Nous menons diverses actions. Nous organisions par exemple des tables rondes et nous traitons de nombreux sujets, qu’ils soient en lien, ou pas, avec le sport.

*Un réseau international d’entraîneures de basket-ball fondé par la coach Liz Mills, première femme à avoir conduit une sélection masculine à une compétition continentale (le Kenya lors de l’Afrobasket 2021).

Les mentalités évoluent-elles ?
Oui… en façade ! Cela dit, je ne pourrai réellement répondre à cette question que le jour où je me retrouverai sur le marché du travail (Ndlr : Lauriane Dolt est en contrat avec le MBA jusqu’en juin 2024) !

Avez-vous l’impression de devoir faire davantage vos preuves que vos collègues masculins ?
Non. C’est Antoine Linarès, le président du club, qui est venu me chercher. Je n’ai pas eu à me vendre pour obtenir le poste. Si je suis restée une saison sans contrat (Ndlr : en 2020-2021), c’est parce que je ne savais pas, à ce moment-là, ce que je voulais faire, ni sur quel projet me lancer. Je manque de recul pour répondre à cette question, je suis encore trop jeune dans le métier.

Lorsque vous étiez adjointe en Pro A aux côtés de Vincent Collet, aviez-vous votre mot à dire ? Et est-ce qu’on vous écoutait ?
Oui et oui. Je regardais beaucoup de matches, j’étais responsable de la vidéo, j’avais une certaine connaissance de nombreuses équipes. J’étais écoutée et entendue.

La FIBA ou la FFBB devraient-elles être plus directives et imposer, par exemple, un quota de femmes coaches ?
Surtout pas, ce serait une grave erreur. Et je ne suis pas la seule à le penser, Valérie Garnier (Ndlr : ex-coach des Bleues) est du même avis. D’autant que ce n’est pas parce qu’il y aura des quotas qu’il y aura davantage de femmes coaches. Ce n’est pas en obligeant les clubs à engager des femmes qu’on réglera le problème. En décembre dernier, on m’a proposé le poste d’entraîneure nationale pour les filles, mais on a glissé une histoire de quotas dans l’argumentaire. Ça m’a mis en colère, parce que ça veut dire qu’on ne vient pas me chercher pour mes compétences, mais pour respecter des quotas.

Dans combien de temps verra-t-on une femme à la tête d’un club en Élite ou en Euroligue ?
On en est encore loin… Il y a de plus en plus de femmes coach adjointes en NBA. En revanche, il n’y en a pas une seule en Euroligue et il n’y en a qu’une seule en Ligue des champions (Ndlr : Gaëlle Bouzin, à Ostende). J’espère qu’il y aura bientôt une femme coach en Élite. Et j’espère que ce sera une Française ! Valérie (Garnier) est toujours en course pour monter en Pro B. Et moi aussi !

Ce genre de discrimination est-il plus spécifique au sport, un domaine dans lequel les femmes ont dû se battre pour ne serait-ce qu’obtenir le droit de pratiquer, ou est-il semblable à ce qui se passe dans la vie en général ?
On voit ce genre de discrimination partout et tous les jours. J’interviens parfois dans des entreprises, pour raconter mon parcours et mon expérience de vie. À chaque fois, je me rends compte que je ne suis pas un cas isolé. Toutes les femmes sont logées à la même enseigne. Tout le monde s’extasie devant une femme qui donne la vie, mais d’un autre côté, quand elle est absente de son travail, beaucoup le lui reprochent, parce qu’elle n’est pas productive. Je me répète, j’ai vraiment eu beaucoup de chance. Toute une organisation s’est mise en place autour de moi pendant mon absence. C’est en cela que j’aimerais être un exemple. Pour montrer que c’est possible !

______________________

Le chiffre
0
C’est le nombre de femmes coach en Élite et en Pro B. Elles sont deux en Nationale masculine 1, Lauriane Dolt, au Mulhouse Basket Agglomération, et Valérie Garnier, au Tours Métropole Basket (depuis décembre 2022).

______________________

Bio express
■ Née le 11 janvier 1983 à Sélestat.
■ Joueuse (intérieure) à la SSC Ohnenheim (benjamines, Dép.), au RC Strasbourg (minimes, Région puis France), à l’US Wittenheim (NF2), au Sélestat BC (NF2), à la SIG féminine (NF2).
■ Titulaire d’un BE 2e degré.
■ Son parcours de coach
2008-2017 : coach du centre de formation de la SIG. 2008 à 2011 : coach des cadets de la SIG. 2011 à 2017 : coach des Espoirs de la SIG (titrés en 2015) et en parallèle assistante d’Henrik Dettmann puis de Vincent Collet chez les pros (Élite) en 2016-2017. 2017-2018 : assistante de Vincent Collet chez les pros (Élite). 2018 à 2020 : coach des Espoirs de la SIG. 2019-2020 : assistante de Frédéric Crapez, coach des U18 France.
■ Depuis la saison 2021- 2022 : coach du Mulhouse BA (NM1).
■ Élue coach de l’année Espoirs en 2015 puis en 2020.

______________________

« Il me manquait quelque chose lorsque je rentrais chez moi le soir »
Il y a quelques années, alors qu’elle était coach-assistante de Vincent Collet à la SIG, Lauriane Dolt avait déclaré lors d’une interview : « J’aurai réalisé mon rêve lorsque je serai femme, coach et maman. »

« Lorsque j’avais dit ça, j’étais encore célibataire », se souvient l’Alsacienne. « J’ai grandi dans un cadre familial idéal, avec beaucoup de tontons et de tatas, beaucoup de cousins et de cousines, toujours beaucoup d’enfants. A ce moment-là, j’étais épanouie dans mon travail, mais pas à côté. Or je ne sacrifierai jamais la vie de famille pour le travail. J’ai besoin des deux, c’est, pour moi, une question d’équilibre. Pour devenir coach, j’ai dû faire des concessions, mais au moment où je les ai faites, cela n’en était pas. Toujours est-il qu’il me manquait quelque chose lorsque je rentrais chez moi le soir.

Quand j’ai rencontré mon compagnon, j’ai franchi une étape supplémentaire vers l’épanouissement. Mais quand j’ai appris que je n’avais presque aucune chance de tomber enceinte naturellement, que j’ai vu mon rêve de devenir maman s’éloigner, j’ai pris un gros coup sur la tête. Cela a été très dur à vivre, d’autant que j’ai toujours voulu avoir cinq enfants. Aujourd’hui, j’ai un enfant, et je suis la plus heureuse des femmes. Mais toutes les femmes n’ont pas les mêmes aspirations. Certaines ne souhaitent pas devenir mère et se consacrent à leur vie professionnelle. Je respecte leur choix. Chaque femme a ses propres rêves. L’important est qu’elles puissent les réaliser. »

[Le Cerbere]

Merci pour la mise en ligne de l article.

[Le Cerbere]

Mon avis sur LD.
A Mulhouse, On a pas les moyens de ne faire que le buzz.

Elle a ete choisie pour ces compétences avant tout.
Elle prouve, depuis 2 saisons, par les resultats tous sont potentiel de grande coache.

Pu...n Lauriane, ton contrat n'est pas fini que je ne soihaite qu une chose, que tu restes a Mulhouse, et te donner les moyens pour monter plus haut avec le MBA.

[68bass]

Mon avis sur LD.
A Mulhouse, On a pas les moyens de ne faire que le buzz.

Elle a ete choisie pour ces compétences avant tout.
Elle prouve, depuis 2 saisons, par les resultats tous sont potentiel de grande coache.

Pu...n Lauriane, ton contrat n'est pas fini que je ne soihaite qu une chose, que tu restes a Mulhouse, et te donner les moyens pour monter plus haut avec le MBA.

je n'ai pas compris la double négation ...mais tu m'expliqueras ce soir

[soeurette]

[soeurette]

nos deux gendarmes préférés !!

et BON ANNIVERSAIRE ALEX !!

[Gogol]

L’ancien coach Jean-Luc Monschau raconte les 100 premières années du basket à Mulhouse
L’ancien coach alsacien Jean-Luc Monschau a décidé de se lancer dans l’écriture d’un livre relatant les 100 premières années du basket à Mulhouse, puisant dans ses souvenirs de spectateur, joueur et entraîneur pour l’enrichir de nombreuses anecdotes inédites.
Recueilli par Sandrine PAYS - 18.05.2023 / L'Alsace

Double champion de France de Pro A, vainqueur du Tournoi des As, de la Semaine des As, champion de France de Pro B, Jean-Luc Monschau entraînait encore le Mulhouse BA (N1) lors de la saison 2020-2021. S’il n’est plus au bord des terrains, il s’intéresse toujours autant au basket-ball et a décidé de consacrer un livre, et aussi un site internet, à l’histoire de cette discipline dans sa ville natale, Mulhouse.

Jean-Luc Monschau, comment avez-vous eu l’idée d’écrire un livre sur les 100 premières années du basket à Mulhouse ?
En 2013, quand j’ai pris ma retraite, après 27 ans dans le monde du basket professionnel, je suis revenu chez moi, à Pfastatt, et j’ai commencé à suivre les matches de l’ASSM Pfastatt et du FC Mulhouse. J’étais souvent interpellé par des gens qui, lorsqu’ils me voyaient, évoquaient le MBC des années 80, celui des coupes d’Europe. Lorsque je leur demandais s’ils se souvenaient de ce qu’il s’était passé dans les années 50 ou 60, rares étaient ceux à me répondre par l’affirmative, à connaître, par exemple, Christian Baltzer, l’ancien international qui, par ses performances, mais aussi sa prestance et sa modestie, est pourtant une icône du sport français. En discutant avec les uns et les autres, je me suis aussi rendu compte que personne, ou presque, ne se rappelait des années 20 et 30 alors que c’est justement à cette époque que le basket mulhousien a accumulé dix titres de champion de France - précisément entre 1924 et 1937, avec un doublé masculin et féminin en 1937. Aujourd’hui, qui sait encore qu’André Tondeur a accumulé neuf titres, sept avec le Foyer alsacien de Mulhouse (FAM), deux avec le Cercle athlétique de Mulhouse (CAM) - seul Richard Dacoury a fait aussi bien ? Ou que Jeanne Garnier est devenue championne du monde à Londres en 1934 après la victoire de la France en finale face aux États-Unis ?

« Laisser un témoignage »
Vous voulez donc rendre hommage à tous ceux et toutes celles qui ont écrit l’histoire du basket à Mulhouse ?
Exactement. Pour éviter qu’ils ne sombrent dans l’oubli. Et pour laisser un témoignage aux personnes qui s’intéressent à l’histoire du basket à Mulhouse. J’ai rencontré un autre passionné, Jean-Laurent Soltner, qui avait lui-même entrepris des recherches sur nos glorieux anciens, comme j’aime à les appeler, et qui a accepté de partager avec moi ce travail de mémoire.

Depuis combien de temps travaillez-vous sur ce projet ?
Depuis un peu plus d’un an. Je passe des heures à la bibliothèque. Et je suis loin d’avoir fini !

Où et comment trouvez-vous les documents nécessaires à l’écriture de votre livre ?
Essentiellement dans les journaux de l’époque, mais aussi auprès des témoins du passé, des gardiens de la mémoire que j’arrive à contacter. Ils me transmettent souvent de nombreux documents, en particulier des photos. J’en ai déjà récupéré une centaine.

En l’état actuel de vos recherches, que retenez-vous avant tout ?
Les dix titres de champion de France - seuls Limoges et Villeurbanne ont fait mieux - que j’évoquais précédemment, dont trois d’affilée, en 1924, 1925 et 1926, puis quatre d’affilée en 1928, 1929, 1930 et 1931 qui sont tombés aux oubliettes. En juin 2022, quand Villeurbanne a remporté un troisième titre de suite (2019, 2021 et 2022), les commentateurs télé ont signalé que le « three-peat » avait déjà été réalisé par Villeurbanne (en 1955, 1956, 1957) et par Limoges (en 1983, 1984, 1985, puis en 1988, 1989, 1990), mais n’ont pas évoqué Mulhouse une seule fois alors qu’il a fait mieux ! Cet oubli justifie à lui seul de remettre l’histoire du basket mulhousien en lumière.

« L’histoire de ma famille est liée à celle du basket mulhousien »
Vous avez vous-même été impliqué dans le basket mulhousien durant de longues années : allez-vous apporter votre propre témoignage ?
J’ai une foule d’anecdotes en stock, en tant que spectateur, joueur et entraîneur. Savez-vous, par exemple, que Bob Cousy, star des Boston Celtics dans les années 50 et 60, a profité de son passage à Mulhouse, en 1962, alors qu’il était considéré comme le meilleur joueur au monde, pour revoir ses oncles à Lachapelle-sous-Rougemont, dont il était originaire ? J’ai d’autant plus de choses à raconter que l’histoire de ma famille est liée à celle du basket mulhousien : ma tante Marthe, née Feber, épouse Tschanz, faisait partie de l’équipe du CA Mulhouse championne de France féminine en 1937 et de mon côté, j’entraînais encore en 2021.

En plus d’écrire un livre, vous avez décidé de créer un site internet : pourquoi ?
Tout simplement parce que l’histoire ne s’arrête pas au bout de 100 ans. Et parce qu’il faut continuer à faire vivre la mémoire du basket à Mulhouse en utilisant les technologies modernes : un site internet, effectivement, mais aussi un compte Facebook et une chaîne Youtube qui permettront notamment de regarder des extraits de match ou des interviews. J’en profite pour lancer un appel à tous les détenteurs de documents divers et variés, d’histoires ou d’anecdotes à se manifester afin d’enrichir soit le livre, soit le site, soit les deux.

[Le Cerbere]

A quand la publication ?!!
Hâte de voir ça....

[Gogol]

Je ne savais pas du tt que Bob Cousy avait des origines de part chez nous...

Il faut savoir qu'il est l'une des véritables légendes de la NBA.
Le premier maillot retiré par les Celtics, c'est lui!

Si on se penche sur l'histoire et le palmarès exceptionnels de la franchise, ca vous place le bonhomme!

[Contenu sponsorisé]