Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!

[Gogol]

Christian Monschau rebondit au Portel
Licencié du SLUC Nancy il y a quelques semaines, le Mulhousien Christian Monschau va retrouver l'élite du basket français. Il a été nommé cet après-midi entraîneur du Portel.
L'Alsace

Christian Monschau retrouve l'élite du basket français avec Le Portel.
Le 6 janvier dernier, Christian Monschau était débarqué du SLUC Nancy, qu'il était chargé de faire remonter en Jeep Elite.

Ce mardi, le Mulhousien a été nommé à la tête du Portel, lanterne rouge de Jeep Elite. Il y remplace Jacky Perigois (un ancien de la SIG), qui avait succédé début décembre à Eric Girard (autre ancien de la SIG), devenu manager général du club du Pas-de-Calais après s'être mis en retrait de l'équipe. Perigois n'a remporté aucun des sept matches qu'il a dirigé.

La tâche de Christian Monschau (frère de Jean-Luc, entraîneur de Mulhouse-Pfastatt) semble impossible. Il va tenter de maintenir sa nouvelle équipe au plus haut niveau du basket français, mais elle n'a gagné que trois rencontres depuis le début de la saison. Et elle compte trois victoires de retard sur le premier non-relégable.

Christian Monschau, 61 ans, dirigera son premier match ce vendredi à domicile face à Cholet. Il tentera déjà de mettre fin à une série de neuf défaites consécutives.

Une piste se referme...

[Poil de carotte]

Une piste pour quand ? JLM arrête en fin de saison ?
En plus on ne sait pas pour combien de temps CM a signé. Peut être 6 mois?

[Gogol]

Je n'ai aucune idée de quand JLM arrêtera, mais je sais qu'il ne rajeunit pas....

[Gogol]

Unis pour la Guinée
Le pivot du Mulhouse Pfastatt BA Daouda Condé et l’arrière-ailier du CSSL Rixheim Willyams Sako se sont retrouvés il y a quelques jours au Cameroun au sein de l’équipe de Guinée, qui tente de se qualifier pour la CAN 2021.
Par Sandrine PAYS - Le 03/03/2020 - L'Alsace

Le premier, 27 ans, pivot, 2,04 m, porte le maillot du Mulhouse Pfastatt BA en N1. Le second, 25 ans, arrière-ailier, 1,91 m, défend les couleurs du CSSL Rixheim en N3. S’ils évoluent dans deux championnats différents, Daouda Condé et Willyams Sako se sont retrouvés dans la même équipe, celle de la Guinée, il y a quelques jours à Yaoundé, au Cameroun, à l’occasion de la phase aller des qualifications pour la CAN 2021 organisée au Rwanda.

« Jouer pour son pays, c’est quelque chose de spécial, et je suis d’autant plus heureux de pouvoir le faire que je ne pensais pas en arriver là un jour, moi qui ai démarré le basket assez tard, à 17 ans », sourit Daouda. « Nous sommes tous sur la même longueur d’onde, unis par l’amour de notre pays, et nous nous entendons par ailleurs très bien », renchérit Willyams.

« Un gros temps de jeu, des responsabilités »
Les deux compères et leurs coéquipiers ont perdu leurs trois matches - face à la Côte d’Ivoire (50-58), le Cameroun (59-90) et la Guinée Équatoriale (75-82) - mais n’ont en revanche perdu ni leur bonne humeur, ni leur optimisme. « Nous n’étions pas au complet. Nous n’avions pas de vrai meneur, ce qui nous a coûté cher - il manquait une pièce au puzzle », précise Daouda.

« J’ai endossé le rôle de meneur, alors que je n’évolue pas à ce poste habituellement », complète Willyams. « J’ai eu un gros temps de jeu, des responsabilités, et je me suis frotté à des adversaires d’un très bon niveau, comme par exemple l’Ivoirien Bryan Pamba et le Camerounais Gédéon Pitard, qui sont en Pro B. » « Quoi qu’il en soit, nous avons encore toutes nos chances, même si nous ne sommes plus maîtres de notre destin », renchérissent-ils de concert en pensant à la phase retour de ces mêmes qualifications, prévue dans un an en Côte d’Ivoire.

Tous deux s’accordent aussi pour reconnaître que la Guinée est encore loin des meilleures équipes nationales africaines. « Nous sommes une équipe en devenir », s’amuse le pivot, en rappelant au passage que la Guinée a pris part à la CAN 2017 en Tunisie et au Sénégal - il était d’ailleurs lui-même du voyage. « Nous nous débrouillons avec les moyens du bord. Ce qui est encourageant, c’est que nous nous améliorons d’un rendez-vous à l’autre, que nous disposons au fur et à mesure d’un budget un peu plus important - même s’il reste encore limité - et d’une meilleure organisation. »

« Tu peux péter les plombs à tout moment »
« Nous sommes une petite équipe, mais nous avons un gros potentiel », souligne l’arrière-ailier avant d’enchaîner sur le jeu bien spécifique des équipes africaines. « Il n’a rien à voir avec le jeu pratiqué en France. C’est presque un autre sport tellement il est intense », rigole-t-il. « C’est physique de la première à la dernière minute et ça cogne de partout. Il faut vraiment avoir les nerfs solides, parce que tu peux péter les plombs à tout moment. D’autant que les arbitres ne sifflent pratiquement jamais. Du coup, tout le monde fait ce qu’il veut. J’ai souvent attendu des coups de sifflet… qui ne sont jamais venus ! », complète le joueur du MPBA.

Daouda Condé et Willyams Sako, qui n’en sont pas à leur première sélection, sont également unanimes pour affirmer que l’expérience a une nouvelle fois été très enrichissante. « J’apprends toujours des choses. Et j’ai l’impression que je progresse. Lorsque je suis revenu de ma première sélection avec la Guinée, en 2015, je me sentais beaucoup plus à l’aise dans mes baskets et j’ai fait une super fin de saison avec Cognac », confie le premier. « J’ai gagné en assurance, en expérience et en motivation », assure le second.

Les deux amis vont désormais se concentrer sur leur championnat respectif avant de se retrouver en février 2021. Avec un seul et même objectif : décrocher leur billet pour la CAN.

[68bass]

Au faite Jérémie Bichard est aussi free agent

Bibiche à Gries, les aficionados pourront aller le voir ..

[soeurette]

Au faite Jérémie Bichard est aussi free agent

Bibiche à Gries, les aficionados pourront aller le voir ..

source ??

[68bass]

https://amp.ouest-france.fr/sport/basket/basket-le-capitaine-de-l-etoile-angers-basket-jeremy-bichard-vers-la-pro-b-6816702?__twitter_impression=true

[soeurette]

Merci !

[Gogol]

Et il a demandé de liker la page du BCGO...

[Aurel2568]

Et il a demandé de liker la page du BCGO...

Pareil pour moi

[68bass]

Au faite Jérémie Bichard est aussi free agent

Bibiche à Gries, les aficionados pourront aller le voir ..

et bien ,c'est pas encore signé !

[Gogol]

En attendant le money time…
Jérôme Kupferlé, le meneur de l’ASL Dessenheim, vient de vivre des moments particuliers en tant qu’infirmier au sein du service de réanimation de l’hôpital Emile-Muller de Mulhouse. À l’approche du déconfinement, prévu lundi, il sait aussi qu’on n’en a pas terminé avec l’épidémie de coronavirus.
Par Julien-Thomas WILL - L'Alsace

Le basketteur comprend l’analogie, l’infirmier la réfute. Pour Jérôme Kupferlé, on ne peut pas parler de match entre le personnel soignant et le Covid-19. « Au basket, dans le pire des cas, on perd et on revient à l’entraînement avec encore plus de motivation, énonce le meneur de jeu de l’ASL Dessenheim en Nationale 3. En réanimation, ce n’est pas la même chose. L’enjeu y est plus important. Une vie humaine en dépend. »

Lucide, le Rustenhartois n’en admet pas moins que son sport lui a permis une meilleure gestion de ses émotions, « de rester calme peu importent les situations ». Les occasions de craquer ces deux derniers mois au sein du service de réanimation de l’hôpital Emile-Muller à Mulhouse l’étaient tout autant. Car « personne n’était préparé » à prendre de plein fouet cette première vague de l’épidémie de coronavirus.

L’impact a été violent. Et le tsunami a déferlé sur le groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud-Alsace (GHRMSA) qui a frôlé la submersion au moment le plus critique de la crise. Si les soins pratiqués en réanimation n’ont pas changé, c’est l’intensité et la longévité de cet épisode infectieux qui l’ont rendu extraordinaire.

« S’habituer à un décès, pour moi, c’est me déshumaniser »
« On s’attendait à l’arrivée du virus mais pas dans de telles proportions. Les longues journées se sont enchaînées. Les périodes d’accalmie dans le service ont totalement disparu, relate l’infirmier de 25 ans. Quand la fatigue s’est fait sentir, le soutien des personnes extérieures a été un réel coup de boost. »

Néanmoins, difficile d’encaisser sur la durée une telle charge émotionnelle. Sa semaine de vacances consacrée entièrement à la récupération lui en a fait prendre conscience. On ne s’habitue pas à la mort, encore moins à une si soudaine surmortalité. Comme on ne s’habitue pas à accompagner un patient jusqu’à un hélicoptère, qui le transférera en urgence vers un autre hôpital. Dans ces conditions, conserver sa rigueur professionnelle est primordial.

« S’habituer à un décès, pour moi, c’est me déshumaniser. Cela va à l’encontre de certaines de mes valeurs. Il faut du temps. Ce n’est pas possible de claquer des doigts et de passer à autre chose, concède Jérôme Kupferlé. L’objectif, c’était de faire en sorte que ces pensées difficiles ne viennent pas interférer avec mon travail. »

Deux mois après que le premier patient atteint du coronavirus a franchi le seuil de l’hôpital Emile-Muller, le service de réanimation n’a toujours pas retrouvé la situation, qui était la sienne avant l’épidémie. De nombreux lits y sont toujours occupés, le travail reste considérable. Le prochain horizon, c’est le 11 mai, date choisie par le gouvernement pour procéder à un déconfinement progressif.

Pour filer la métaphore sportive, la France va entrer dans le money time, ce temps qui décide du sort d’un match de basket-ball, qui décidera ici s’il est possible de vivre avec le virus et d’envisager petit à petit un retour à la normale. Les soignants, conscients des enjeux sanitaires d’une deuxième vague, ont appelé à continuer à respecter les mesures de distanciation sociale.

« Cette deuxième vague aura-t-elle lieu ? Avec quelle intensité ? »
« Je ne suis pas épidémiologiste, ni virologue, je n’ai pas d’avis arrêté sur le déconfinement. Surtout qu’on en apprend chaque jour sur le coronavirus, rappelle Jérôme Kupferlé. Le 11 mai, ça sera un test. Je ne m’attends pas à retrouver directement ma vie d’avant. Les choses doivent se faire progressivement et j’espère que nous continuerons à maintenir les gestes d’hygiène de base autant que possible. Je me questionne aussi sur cette deuxième vague dont on entend tellement parler. Aura-t-elle lieu ? Avec quelle intensité ? Il est normal de la craindre et d’y penser après ce que la région vient d’encaisser. Personnellement, je n’irai pas jusqu’à dire que j’ai peur d’attraper ce virus, mais j’y pense. Personne n’est à l’abri de développer une forme sévère de cette infection et j’en ai bien conscience. »

Face au Covid-19, il ne s’agit donc pas d’un match mais bien d’un combat. De tous les jours. De tous les instants.

[Gogol]

Je ne savais pas... Bravo, Jérôme.

Rappel : Le Kupf' était de l'aventure en N3 2010/11, quand l'équipe finit invaincue lors de la saison régulière...

[Gogol]

BASKET-BALL
Une idée de génie d’Aladin?
Aladin Amdouni, qui a notamment entraîné le FC Mulhouse en N2, s’apprête à relever un nouveau défi : il va ouvrir d’ici la fin de l’année un complexe dédié à la pratique du basket à Kingersheim. Car la demande est là, estime-t-il, aussi bien des clubs que des particuliers.
Par Sandrine PAYS - 19/06/2020 / L'Alsace.fr

Aladin Amdouni a toujours aimé entraîner. « J’ai coaché toutes les catégories, de mini-poussins à seniors, et à tous les niveaux, départemental, régional et national », résume l’intéressé, qui est intervenu dans trois clubs, le Levallois SC, le FC Mulhouse et le Mulhouse Pfastatt BA, où il s’occupait encore des U15 France la saison passée.

Ce Parisien d’origine, installé dans le Haut-Rhin depuis une dizaine d’années, aurait sans doute poursuivi dans cette voie s’il ne s’était lancé dans un vaste projet : celui de créer une salle de basket indoor.

Un ancien entrepôt de 3000m2
« J’y pense depuis un moment. Parce qu’il y a de la demande ! Aussi bien au niveau des clubs que des particuliers. Les premiers ont souvent besoin d’un lieu supplémentaire où s’entraîner, parce qu’ils ne disposent pas de suffisamment de créneaux horaires dans leurs salles habituelles ou parce que celles-ci sont fermées durant les vacances scolaires, en particulier l’été. Les seconds n’ont pas toujours de play-grounds à côté de chez eux ou ne peuvent pas y aller n’importe quand, notamment en hiver, lorsque les conditions climatiques ne le permettent pas », explique le jeune homme de 30 ans.

Celui-ci a trouvé son bonheur il y a quelques semaines, via une agence immobilière : un ancien entrepôt de 3000m2 à Kingersheim. « J’ai mis du temps - deux ans - à mettre la main sur l’endroit dont je rêvais, mais j’y suis arrivé et je ne regrette pas d’avoir dû attendre un peu. Ici, c’est parfait. Le bâtiment est en très bon état et fonctionnel, il est aussi déjà équipé de vestiaires et de bureaux. Il est immense et bénéficie d’une belle hauteur sous plafond - près de 10 mètres. Il est par ailleurs facile d’accès et dispose d’un grand parking… Que demander de plus ? », se réjouit l’Alsacien d’adoption.


Pressé d’investir les lieux, Aladin Amdouni entamera les travaux d’électricité, de peinture et de décoration, et dans la foulée l’installation des terrains, dès la semaine prochaine - si tout se passe comme prévu, ils devraient durer trois mois.

Et il a vu grand, puisqu’il a prévu la mise en place de deux terrains 5x5 et de quatre terrains 3x3. Mais ce n’est pas tout. « Il y aura aussi une salle de musculation, un restaurant, spécialisé dans les burgers, et un bar à sport, où on pourra regarder des matches, une boutique spécialisée… Je souhaite que cet endroit devienne un vrai lieu de vie », explique l’ancien joueur, qui espère ouvrir les portes de « Basket Home » dès le mois de septembre, « au plus tard d’ici la fin de l’année », du lundi au vendredi de 10 h à 22 h, le week-end de 10 h à 23 h 30.

« Une vraie liberté de pratique »
Le futur chef d’entreprise, qui compte embaucher quatre salariés à temps plein et deux apprentis, voit cependant déjà beaucoup plus loin : « A plus long terme, à la rentrée 2021, j’ai prévu d’installer des chambres afin d’accueillir les jeunes qui participeront aux camps que j’organise durant les vacances scolaires, depuis maintenant deux ans, à la salle polyvalente de Pfastatt, où nous commençons à être un peu à l’étroit. Ils pourront ainsi s’entraîner, manger et dormir sur place. »

Aladin Amdouni est confiant en l’avenir de son projet. « Je suis déjà en contact avec certains clubs, qui sont intéressés par le concept. Ceux du MPBA et de Kalibasket, via leur président respectif, Bertrand Taczanowski et Azedine Nessaibia. Je ne suis pas là pour enlever des licenciés aux clubs, bien au contraire. Je suis là pour répondre aux attentes de toute une population qui cherche une vraie liberté de pratique. »

[Gogol]

Waouh! Ambitieux!
On souhaite bonne chance au projet et bon courage à son initiateur!

[floofy_68]

Ça devrait faire un carton. Ca manquait chez nous.

[68bass]

ça sera difficile à Mulhouse de faire payer l'heure de playground mais pourquoi pas , l'idée est intéressante , attention au business plan , vous êtes prêt à payer combien pour 1 heure de playground ?

[floofy_68]

ça  sera difficile à Mulhouse de faire payer l'heure de playground mais pourquoi pas , l'idée est intéressante , attention au business plan , vous êtes prêt à payer combien pour 1 heure de playground ?

.

C'est vrai que ça peut être un souci. Un terrain de foot indoor c'est environ 60€ l'heure. Quand tu fais un 5 contre 5 ce revient à 6€/pers. Moins tu es, plus ça te coûtera. Il faudra que ça soit abordable pour les ''plus jeunes''.

[the voice]

Beau projet bonne chance à lui je lui souhaite la réussite.

[Gogol]

ça  sera difficile à Mulhouse de faire payer l'heure de playground mais pourquoi pas , l'idée est intéressante , attention au business plan , vous êtes prêt à payer combien pour 1 heure de playground ?

.

C'est vrai que ça peut être un souci. Un terrain de foot indoor c'est environ 60€ l'heure. Quand tu fais un 5 contre 5 ce revient à 6€/pers. Moins tu es, plus ça te coûtera. Il faudra que ça soit abordable pour les ''plus jeunes''.

J'espère qu'il ne va pas que mettre des terrains de basket classique... mais aussi des trucs pour le 3x3...
Pourquoi pas, un truc avec trampoline et tapis pour dunker comme un fou!
Ou l'espèce de mini-terrain, qu'on voyait dans une pub, si peu large, qu'on joue aussi avec les murs!

[the voice]

Une sortie possible pour le KOP et on fini au resto.

[Le Cerbere]

Une sortie possible pour le KOP et on fini au resto.

Ehhhh !!!!!

[68bass]

Une sortie possible pour le KOP et on fini au resto.

pas une mauvaise idée ...pour retenter le shoot à 1000 € ?

[the voice]

Je passe à 10000

[Esclave]

ça  sera difficile à Mulhouse de faire payer l'heure de playground mais pourquoi pas , l'idée est intéressante , attention au business plan , vous êtes prêt à payer combien pour 1 heure de playground ?

Je mettrais bien un gros billet pour t'écraser un dunk sur le pif !

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