[N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
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[N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
Sujet traditionnel pour parler de la 2, mais aussi de toutes les autres équipes du MPBA!
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Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
La formation, plus que jamais
Bertrand Taczanowski, le président du Mulhouse Pfastatt BA (N3), a toujours donné la priorité aux jeunes. Aujourd’hui, il a la volonté de mettre en place un véritable centre de formation.
Par Sandrine PAYS - 04/06/2020 - L'Alsace
Ce n’est un secret pour personne : la formation des jeunes a toujours constitué le cheval de bataille de Bertrand Taczanowski. Depuis des années, le président du Mulhouse Pfastatt BA met un point d’honneur à ce que ses licenciés bénéficient des meilleures conditions d’entraînement possibles et puissent un jour intégrer l’équipe une. En l’occurrence, à l’heure actuelle, en N3, puisque celle évoluant en N1 vient de prendre son indépendance et de changer de nom pour devenir le Mulhouse Basket Agglomération ( L’Alsace du 22 mai 2020).
« L’effectif sera constitué de joueurs âgés de 17 à 24 ans, à l’exception de Damien Thibedore, qui a 31 ans », résume le dirigeant. Aux départs de Gherick Uneau (en cours de route) et d’Hugo Diehl ont succédé les arrivées d’Ugo Taczanowski et de Valentin Tschamber (SIG, U18), qui pourraient par ailleurs, à l’instar d’Anthony Spinali, intégrer le MBA en fonction des besoins de Jean-Luc Monschau.
De son côté, Mario Porter, 40 ans, pourrait soit s’engager pour une saison supplémentaire, soit rejoindre l’équipe II (Division 1), dont l’objectif est de se hisser en Prénationale d’ici trois saisons. « Il se donne le temps de la réflexion. Il est hors de question de le pousser vers la sortie : il est ici chez lui, c’est à lui de décider s’il veut continuer ou pas. »
« Très talentueux, mais aussi très jeune »
Dans l’immédiat, Bertrand Taczanowski reste prudent lorsqu’il est question du prochain championnat : « Le groupe est très talentueux, mais aussi très jeune. Or les débats s’annoncent relevés, avec des adversaires comme Poligny Jura ou Jura Salins, sans parler des Bas-Rhinois dans leur ensemble, qui ont apparemment recruté à tour de bras. La priorité sera donc de faire du mieux possible et d’assurer le maintien. Il est de toute façon hors de question de mettre la moindre pression sur les joueurs qui, en raison de la pandémie de coronavirus, n’auront pas touché un ballon durant plusieurs mois lorsqu’ils reprendront l’entraînement. Ce sera à la mi-août, si tout se passe comme prévu, le coup d’envoi du championnat devant être donné à la mi-septembre. »
Voilà pour l’avenir immédiat du MPBA. Mais son président voit plus loin. Beaucoup plus loin. Avec des idées et des projets plein la tête. Toujours dans cette même optique de formation, il compte monter une nouvelle équipe de U18 France, celle engagée en 2018-2019 n’ayant pu être reconduite, la FFBB n’ayant attribué que deux places au Grand Est dans cette compétition, à la SIG et à Gries.
« Nous poserons notre candidature auprès de la FFBB dès que possible, lorsque nous pourrons à nouveau proposer aux volontaires des conditions de travail optimales », martèle Bertrand Taczanowski. Et d’évoquer un autre sujet qui lui est cher : la poursuite des études en parallèle du sport. « Les jeunes doivent pouvoir être scolarisés au lycée Schweitzer, tout en s’entraînant au centre sportif régional de Mulhouse. Cela nécessite un partenariat avec M2A, que nous allons contacter rapidement. »
« Avec des joueurs du cru »
« Le but du jeu est de mettre en place un véritable centre de formation, comme le font les clubs d’Élite et de Pro B », poursuit le dirigeant avec enthousiasme. « Avant tout avec des joueurs du cru, grâce à une collaboration, aujourd’hui plus que jamais indispensable, avec les autres clubs formateurs du coin, comme par exemple Riedisheim ou Illfurth. Mais aussi avec des joueurs venant de l’étranger et plus particulièrement de Bulgarie, de Roumanie, du Cameroun et de la Centrafrique. »
Ces quatre pays n’ont bien sûr pas été choisis au hasard. « Les basketteurs des deux premiers ont en général du potentiel et gagnent à être connus. Et ceux des deux suivants peuvent être encouragés à venir chez nous par leur compatriote Arthur Ekani et Johan Grebongo (Ndlr : joueurs du MBA, nés respectivement à Yaoundé et à Bangui) », précise le Haut-Rhinois. « Une telle démarche pourrait se faire avec l’aide des fédérations concernées. Tout le monde serait gagnant : les joueurs, mais aussi le club, puisque lesdits joueurs bénéficieraient ensuite du statut de JFL (Ndlr : Joueur formé localement). »
Bertrand Taczanowski n’en reste pas là. « Nous allons également nous rapprocher des écoles élémentaires de Pfastatt et Mulhouse et organiser des tournois afin d’inciter les enfants à se tourner vers le basket. Comme l’a fait Marcel Tschanz, l’un des fers de lance de la formation au MBC avec Bernard Kuhn, dans les années 80, lorsqu’il regroupait des jeunes au Haut Poirier et au Montaigne », note le président du MPBA en assurant avoir le soutien « plein et entier » des municipalités concernées. « Nous voulons développer notre école de basket et décrocher le label fédéral, préambule nécessaire à l’obtention du label centre de formation, d’ici la fin de la saison. »
« Et pour mener à bien tous ces projets, nous avons besoin d’encadrants dûment formés. Nous y travaillons aussi ! », lance-t-il en guise de conclusion. « Nous envisageons de recruter un directeur sportif et un directeur technique, au plus tard la saison prochaine. »
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MPBA : M. Bertrand (21 ans), M. Chichoki (18), R. Diebold (22), F. Kiowanis (18), T. Nesci (18), I. Soussi (24), A. Spinali (23), M. Taczanowski (22), U. Taczanowski (17), D. Thibedore (31), V. Tschamber (18), M. Porter (40) ?.
Bertrand Taczanowski, le président du Mulhouse Pfastatt BA (N3), a toujours donné la priorité aux jeunes. Aujourd’hui, il a la volonté de mettre en place un véritable centre de formation.
Par Sandrine PAYS - 04/06/2020 - L'Alsace
Ce n’est un secret pour personne : la formation des jeunes a toujours constitué le cheval de bataille de Bertrand Taczanowski. Depuis des années, le président du Mulhouse Pfastatt BA met un point d’honneur à ce que ses licenciés bénéficient des meilleures conditions d’entraînement possibles et puissent un jour intégrer l’équipe une. En l’occurrence, à l’heure actuelle, en N3, puisque celle évoluant en N1 vient de prendre son indépendance et de changer de nom pour devenir le Mulhouse Basket Agglomération ( L’Alsace du 22 mai 2020).
« L’effectif sera constitué de joueurs âgés de 17 à 24 ans, à l’exception de Damien Thibedore, qui a 31 ans », résume le dirigeant. Aux départs de Gherick Uneau (en cours de route) et d’Hugo Diehl ont succédé les arrivées d’Ugo Taczanowski et de Valentin Tschamber (SIG, U18), qui pourraient par ailleurs, à l’instar d’Anthony Spinali, intégrer le MBA en fonction des besoins de Jean-Luc Monschau.
De son côté, Mario Porter, 40 ans, pourrait soit s’engager pour une saison supplémentaire, soit rejoindre l’équipe II (Division 1), dont l’objectif est de se hisser en Prénationale d’ici trois saisons. « Il se donne le temps de la réflexion. Il est hors de question de le pousser vers la sortie : il est ici chez lui, c’est à lui de décider s’il veut continuer ou pas. »
« Très talentueux, mais aussi très jeune »
Dans l’immédiat, Bertrand Taczanowski reste prudent lorsqu’il est question du prochain championnat : « Le groupe est très talentueux, mais aussi très jeune. Or les débats s’annoncent relevés, avec des adversaires comme Poligny Jura ou Jura Salins, sans parler des Bas-Rhinois dans leur ensemble, qui ont apparemment recruté à tour de bras. La priorité sera donc de faire du mieux possible et d’assurer le maintien. Il est de toute façon hors de question de mettre la moindre pression sur les joueurs qui, en raison de la pandémie de coronavirus, n’auront pas touché un ballon durant plusieurs mois lorsqu’ils reprendront l’entraînement. Ce sera à la mi-août, si tout se passe comme prévu, le coup d’envoi du championnat devant être donné à la mi-septembre. »
Voilà pour l’avenir immédiat du MPBA. Mais son président voit plus loin. Beaucoup plus loin. Avec des idées et des projets plein la tête. Toujours dans cette même optique de formation, il compte monter une nouvelle équipe de U18 France, celle engagée en 2018-2019 n’ayant pu être reconduite, la FFBB n’ayant attribué que deux places au Grand Est dans cette compétition, à la SIG et à Gries.
« Nous poserons notre candidature auprès de la FFBB dès que possible, lorsque nous pourrons à nouveau proposer aux volontaires des conditions de travail optimales », martèle Bertrand Taczanowski. Et d’évoquer un autre sujet qui lui est cher : la poursuite des études en parallèle du sport. « Les jeunes doivent pouvoir être scolarisés au lycée Schweitzer, tout en s’entraînant au centre sportif régional de Mulhouse. Cela nécessite un partenariat avec M2A, que nous allons contacter rapidement. »
« Avec des joueurs du cru »
« Le but du jeu est de mettre en place un véritable centre de formation, comme le font les clubs d’Élite et de Pro B », poursuit le dirigeant avec enthousiasme. « Avant tout avec des joueurs du cru, grâce à une collaboration, aujourd’hui plus que jamais indispensable, avec les autres clubs formateurs du coin, comme par exemple Riedisheim ou Illfurth. Mais aussi avec des joueurs venant de l’étranger et plus particulièrement de Bulgarie, de Roumanie, du Cameroun et de la Centrafrique. »
Ces quatre pays n’ont bien sûr pas été choisis au hasard. « Les basketteurs des deux premiers ont en général du potentiel et gagnent à être connus. Et ceux des deux suivants peuvent être encouragés à venir chez nous par leur compatriote Arthur Ekani et Johan Grebongo (Ndlr : joueurs du MBA, nés respectivement à Yaoundé et à Bangui) », précise le Haut-Rhinois. « Une telle démarche pourrait se faire avec l’aide des fédérations concernées. Tout le monde serait gagnant : les joueurs, mais aussi le club, puisque lesdits joueurs bénéficieraient ensuite du statut de JFL (Ndlr : Joueur formé localement). »
Bertrand Taczanowski n’en reste pas là. « Nous allons également nous rapprocher des écoles élémentaires de Pfastatt et Mulhouse et organiser des tournois afin d’inciter les enfants à se tourner vers le basket. Comme l’a fait Marcel Tschanz, l’un des fers de lance de la formation au MBC avec Bernard Kuhn, dans les années 80, lorsqu’il regroupait des jeunes au Haut Poirier et au Montaigne », note le président du MPBA en assurant avoir le soutien « plein et entier » des municipalités concernées. « Nous voulons développer notre école de basket et décrocher le label fédéral, préambule nécessaire à l’obtention du label centre de formation, d’ici la fin de la saison. »
« Et pour mener à bien tous ces projets, nous avons besoin d’encadrants dûment formés. Nous y travaillons aussi ! », lance-t-il en guise de conclusion. « Nous envisageons de recruter un directeur sportif et un directeur technique, au plus tard la saison prochaine. »
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MPBA : M. Bertrand (21 ans), M. Chichoki (18), R. Diebold (22), F. Kiowanis (18), T. Nesci (18), I. Soussi (24), A. Spinali (23), M. Taczanowski (22), U. Taczanowski (17), D. Thibedore (31), V. Tschamber (18), M. Porter (40) ?.
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There ain't no grave can hold my body down
Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
@Prez : faudra qu'on soit attentif pour ne pas rater le dernier match de Super Mario!
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Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
Gogol a écrit:@Prez : faudra qu'on soit attentif pour ne pas rater le dernier match de Super Mario!
Oh oui !!
Le Cerbere- 5 majeur
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Localisation : Olympique Mulhouse Basket Club !!
Occupation : Gardiennage
Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
Deux (grands) frères au Mulhouse Pfastatt BA
Les frères Kyle et Kyran Rawson, respectivement 2,05 et 2,10 m, font désormais partie de l’effectif du Mulhouse Pfastatt BA (N3). En attendant, peut-être, de rejoindre celui du Mulhouse Basket Agglomération en Nationale 1.
Par Sandrine PAYS - 9/07/2020 - L'Alsace
La saison prochaine, l’effectif du Mulhouse Pfastatt BA (N3) comptera finalement deux joueurs supplémentaires : Kyle et Kyran Rawson, grands gaillards de respectivement 2,05 et 2,10 m, ont officiellement rejoint le club fin juin. Le premier, 21 ans, peut évoluer aux postes 2, 3 et 4. Le second, 20 ans, aux postes 4 et 5. Ils sont nés d’une mère néerlandaise et d’un père britannique.
« Notre papa, qui a dirigé durant plusieurs années une académie de basket aux États-Unis, en Caroline du Sud, a contacté les dirigeants du MPBA, dont il avait entendu parler », expliquent les deux joueurs, dans un français quasi impeccable, tout juste teinté d’un très léger accent.
Rien d’étonnant à ce qu’ils parlent aussi bien la langue de Molière (ils maîtrisent également le néerlandais et l’anglais, et ont par ailleurs des notions d’espagnol) : lorsqu’ils étaient plus jeunes, ils ont vécu quelque temps en France, où ils ont d’ailleurs fait leurs premières armes balle en main, au Prayssac BC, dans le Lot. « Nos parents nous ont dit que nous devions sortir de la maison et faire du sport », s’amusent-ils. « Du coup, nous en avons fait beaucoup ! De la natation, du tennis, du golf, du rugby… Jusqu’à ce que nous découvrions le basket, que nous avons tout de suite adoré. »
Très proches, les deux frères ont toujours joué ensemble. « Comme nous nous entendons très bien, nous espérons continuer à jouer ensemble pendant un petit moment encore. En fait, tant qu’un club accepte de nous faire confiance et de nous donner notre chance, comme vient de le faire le MPBA. Nous avons des styles de jeu très différents, nous sommes complémentaires. Nous formons un bon duo. »
« Là pour apprendre, pour progresser »
Kyle et Kyran Rawson se sont installés à Mulhouse il y a quelques jours à peine. Ils s’y sentent bien et comptent y rester un moment. « Nous avons déménagé un nombre incalculable de fois. Aujourd’hui, nous avons envie de nous poser », résument les deux garçons, qui ont effectivement beaucoup bourlingué dès leur naissance, à Abu Dhabi pour Kyle, à Dubaï pour Kyran. « Nous avons vécu en Espagne, en France, aux Pays-Bas, aux États-Unis, puis à nouveau en Espagne et en France », énumèrent ces titulaires d’un passeport néerlandais. « Nous n’avons pas l’intention de refaire nos valises avant longtemps ! Surtout que le club nous a accueillis à bras ouverts. »
Les frangins, qui se verraient bien faire carrière dans l’Hexagone, mais n’en négligent pas leurs études pour autant, devraient porter le maillot du MPBA durant les deux prochaines saisons, à moins qu’ils ne le troquent contre celui du Mulhouse Basket Agglomération (N1). « Cela nous plairait, bien sûr, mais nous n’en sommes pas encore là. Pour le moment, nous n’avons pas le niveau requis pour évoluer en N1. Nous sommes là avant tout pour apprendre, pour progresser. »
Si Kyle a joué les deux dernières saisons, au BC des Portes de l’Isère (Bourgoin-Jallieu), en Prénationale, Kyran, lui, n’a pas eu cette chance : il s’est fait opérer pour la troisième fois du genou droit en février dernier et attend que son cartilage se reconstruise. « Avec le BCPI, nous aurions dû monter en N3. Nous étions invaincus à l’issue de la première partie du championnat. Puis le club a eu des soucis financiers, Azzedine Labouize, l’entraîneur, s’est fait virer, et tout est parti en vrille avant que le coronavirus ne s’en mêle… Il était temps de passer à autre chose », explique Kyle, ravi d’avoir tourné la page. « Kyran et moi sommes très contents de nous retrouver dans la même équipe. C’était notre priorité. Dans l’immédiat, nous faisons le nécessaire pour nous remettre en forme et retrouver toutes nos forces après la période de confinement. Ensuite, nous ferons de notre mieux pour aider l’équipe. »[/b]
Les frères Kyle et Kyran Rawson, respectivement 2,05 et 2,10 m, font désormais partie de l’effectif du Mulhouse Pfastatt BA (N3). En attendant, peut-être, de rejoindre celui du Mulhouse Basket Agglomération en Nationale 1.
Par Sandrine PAYS - 9/07/2020 - L'Alsace
La saison prochaine, l’effectif du Mulhouse Pfastatt BA (N3) comptera finalement deux joueurs supplémentaires : Kyle et Kyran Rawson, grands gaillards de respectivement 2,05 et 2,10 m, ont officiellement rejoint le club fin juin. Le premier, 21 ans, peut évoluer aux postes 2, 3 et 4. Le second, 20 ans, aux postes 4 et 5. Ils sont nés d’une mère néerlandaise et d’un père britannique.
« Notre papa, qui a dirigé durant plusieurs années une académie de basket aux États-Unis, en Caroline du Sud, a contacté les dirigeants du MPBA, dont il avait entendu parler », expliquent les deux joueurs, dans un français quasi impeccable, tout juste teinté d’un très léger accent.
Rien d’étonnant à ce qu’ils parlent aussi bien la langue de Molière (ils maîtrisent également le néerlandais et l’anglais, et ont par ailleurs des notions d’espagnol) : lorsqu’ils étaient plus jeunes, ils ont vécu quelque temps en France, où ils ont d’ailleurs fait leurs premières armes balle en main, au Prayssac BC, dans le Lot. « Nos parents nous ont dit que nous devions sortir de la maison et faire du sport », s’amusent-ils. « Du coup, nous en avons fait beaucoup ! De la natation, du tennis, du golf, du rugby… Jusqu’à ce que nous découvrions le basket, que nous avons tout de suite adoré. »
Très proches, les deux frères ont toujours joué ensemble. « Comme nous nous entendons très bien, nous espérons continuer à jouer ensemble pendant un petit moment encore. En fait, tant qu’un club accepte de nous faire confiance et de nous donner notre chance, comme vient de le faire le MPBA. Nous avons des styles de jeu très différents, nous sommes complémentaires. Nous formons un bon duo. »
« Là pour apprendre, pour progresser »
Kyle et Kyran Rawson se sont installés à Mulhouse il y a quelques jours à peine. Ils s’y sentent bien et comptent y rester un moment. « Nous avons déménagé un nombre incalculable de fois. Aujourd’hui, nous avons envie de nous poser », résument les deux garçons, qui ont effectivement beaucoup bourlingué dès leur naissance, à Abu Dhabi pour Kyle, à Dubaï pour Kyran. « Nous avons vécu en Espagne, en France, aux Pays-Bas, aux États-Unis, puis à nouveau en Espagne et en France », énumèrent ces titulaires d’un passeport néerlandais. « Nous n’avons pas l’intention de refaire nos valises avant longtemps ! Surtout que le club nous a accueillis à bras ouverts. »
Les frangins, qui se verraient bien faire carrière dans l’Hexagone, mais n’en négligent pas leurs études pour autant, devraient porter le maillot du MPBA durant les deux prochaines saisons, à moins qu’ils ne le troquent contre celui du Mulhouse Basket Agglomération (N1). « Cela nous plairait, bien sûr, mais nous n’en sommes pas encore là. Pour le moment, nous n’avons pas le niveau requis pour évoluer en N1. Nous sommes là avant tout pour apprendre, pour progresser. »
Si Kyle a joué les deux dernières saisons, au BC des Portes de l’Isère (Bourgoin-Jallieu), en Prénationale, Kyran, lui, n’a pas eu cette chance : il s’est fait opérer pour la troisième fois du genou droit en février dernier et attend que son cartilage se reconstruise. « Avec le BCPI, nous aurions dû monter en N3. Nous étions invaincus à l’issue de la première partie du championnat. Puis le club a eu des soucis financiers, Azzedine Labouize, l’entraîneur, s’est fait virer, et tout est parti en vrille avant que le coronavirus ne s’en mêle… Il était temps de passer à autre chose », explique Kyle, ravi d’avoir tourné la page. « Kyran et moi sommes très contents de nous retrouver dans la même équipe. C’était notre priorité. Dans l’immédiat, nous faisons le nécessaire pour nous remettre en forme et retrouver toutes nos forces après la période de confinement. Ensuite, nous ferons de notre mieux pour aider l’équipe. »[/b]
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Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
J'aime bcp le nouveau logo...
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ganesh et the voice aiment ce message
Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
MagnifiqueGogol a écrit:J'aime bcp le nouveau logo...
Et c'est par rapport aux écuries de Pfasttat qui ont existées au 18eme siècles(ou 17eme je sais plus)
D'ailleurs le centre équestre existe toujours encore
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Celui qui ne progresse pas chaque jour régresse chaque jour!
ganesh- All Star
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Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
Bien vu...
D’où le mors sur les armoiries de la ville...
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Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
moi je pensais que c'était en rapport avec Al One !!ganesh a écrit:MagnifiqueGogol a écrit:J'aime bcp le nouveau logo...
Et c'est par rapport aux écuries de Pfasttat qui ont existées au 18eme siècles(ou 17eme je sais plus)
D'ailleurs le centre équestre existe toujours encore
68bass- 6ème Homme
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Re: [N3] Equipe 2 (et toutes les autres équipes du MPBA)
Malgré la crise sanitaire, le Mulhouse Pfastatt basket association « tient bon »
Par Céline TEKIN, Matteo PETRUCELLI, Rania SOUKRI, Nina TOUGHI et Enzo MUMBACH Lycée Lambert de Mulhouse / 28.11.2020 - L'Alsace
Bertrand Taczanowski, le président du Mulhouse Pfastatt basket association (MPBA), évoquait la gestion de la crise sanitaire liée au Covid-19 quelques jours avant le début du deuxième confinement, fin octobre.
Comment gérez-vous la crise sanitaire au sein du club ?
La gestion de la crise est assez rocambolesque. En effet, à chaque jour suffit sa peine, comme dit l’expression. En d’autres termes, dès que je reçois une information, je la répercute en prenant les décisions qui s’imposent auprès de nos membres. Il faut toujours mesurer ce que l’on décide puisque les conséquences sont importantes. C’est la raison pour laquelle, lors du premier confinement, j’avais pris très tôt la décision de cesser toute forme d’entraînement et j’avais prôné l’arrêt de toute forme de compétition sportive, après avoir parfaitement saisi la dangerosité de ce virus.
La principale problématique réside dans la gestion des finances. Nous ne vivons qu’à travers les fruits tirés de nos manifestations, les licences pour une toute petite partie et les subventions. Mais nous tenons bon.
Y a-t-il autant de spectateurs lors des matchs depuis le déconfinement ?
Je suis assez surpris par le niveau de fréquentation de la salle. Je pense que les gens ont été privés pendant un long moment de sport et de basket en particulier, de sorte qu’ils viennent plus volontiers actuellement, à peu près à toutes nos rencontres. C’est une grande satisfaction et cela nous permet de poursuivre notre politique sportive avec beaucoup d’enthousiasme.
Quelles sont les règles à respecter pendant les matchs ?
Nos joueurs seniors sont testés chaque semaine, c’est une nécessité. Nous respectons les normes qui ne cessent d’être rappelées depuis le début, à savoir : port obligatoire du masque pour les spectateurs, lavage des mains avec les produits adéquats, indication du nom et du numéro de téléphone de chaque spectateur et respect de la distanciation sociale d’au moins un mètre. C’est cette dernière qui est la plus difficile à faire respecter.
Quelles sont les conséquences financières ?
Lors de la première crise, les dégâts ont pu être limités grâce à une excellente gestion et une prise de décision rapide. Cependant, j’ai beaucoup de craintes pour la période actuelle. La Fédération française de basket-ball ne nous fait aucun cadeau, ce qui est un scandale sans nom eu égard au soutien des autres fédérations pour leur sport. Mais disons que si la commune nous verse la subvention promise depuis des lustres, nous devrions arriver à passer sereinement cette saison. Car nos partenaires privés nous soutiennent convenablement. Ils respectent leurs engagements ce qui, dans la période actuelle, est tout simplement remarquable.
Par Céline TEKIN, Matteo PETRUCELLI, Rania SOUKRI, Nina TOUGHI et Enzo MUMBACH Lycée Lambert de Mulhouse / 28.11.2020 - L'Alsace
Bertrand Taczanowski, le président du Mulhouse Pfastatt basket association (MPBA), évoquait la gestion de la crise sanitaire liée au Covid-19 quelques jours avant le début du deuxième confinement, fin octobre.
Comment gérez-vous la crise sanitaire au sein du club ?
La gestion de la crise est assez rocambolesque. En effet, à chaque jour suffit sa peine, comme dit l’expression. En d’autres termes, dès que je reçois une information, je la répercute en prenant les décisions qui s’imposent auprès de nos membres. Il faut toujours mesurer ce que l’on décide puisque les conséquences sont importantes. C’est la raison pour laquelle, lors du premier confinement, j’avais pris très tôt la décision de cesser toute forme d’entraînement et j’avais prôné l’arrêt de toute forme de compétition sportive, après avoir parfaitement saisi la dangerosité de ce virus.
La principale problématique réside dans la gestion des finances. Nous ne vivons qu’à travers les fruits tirés de nos manifestations, les licences pour une toute petite partie et les subventions. Mais nous tenons bon.
Y a-t-il autant de spectateurs lors des matchs depuis le déconfinement ?
Je suis assez surpris par le niveau de fréquentation de la salle. Je pense que les gens ont été privés pendant un long moment de sport et de basket en particulier, de sorte qu’ils viennent plus volontiers actuellement, à peu près à toutes nos rencontres. C’est une grande satisfaction et cela nous permet de poursuivre notre politique sportive avec beaucoup d’enthousiasme.
Quelles sont les règles à respecter pendant les matchs ?
Nos joueurs seniors sont testés chaque semaine, c’est une nécessité. Nous respectons les normes qui ne cessent d’être rappelées depuis le début, à savoir : port obligatoire du masque pour les spectateurs, lavage des mains avec les produits adéquats, indication du nom et du numéro de téléphone de chaque spectateur et respect de la distanciation sociale d’au moins un mètre. C’est cette dernière qui est la plus difficile à faire respecter.
Quelles sont les conséquences financières ?
Lors de la première crise, les dégâts ont pu être limités grâce à une excellente gestion et une prise de décision rapide. Cependant, j’ai beaucoup de craintes pour la période actuelle. La Fédération française de basket-ball ne nous fait aucun cadeau, ce qui est un scandale sans nom eu égard au soutien des autres fédérations pour leur sport. Mais disons que si la commune nous verse la subvention promise depuis des lustres, nous devrions arriver à passer sereinement cette saison. Car nos partenaires privés nous soutiennent convenablement. Ils respectent leurs engagements ce qui, dans la période actuelle, est tout simplement remarquable.
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