[CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
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[CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Soyons optimistes!
Cette intersaison va être interminable, mais restons optimiste : la saison 2020/21 sera normale!
Même si nous sommes - comme tous - dans le gramd flou!
Cette intersaison va être interminable, mais restons optimiste : la saison 2020/21 sera normale!
Même si nous sommes - comme tous - dans le gramd flou!
Dernière édition par Al One le Jeu 29 Oct - 8:20, édité 1 fois
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
« Nous sommes dans une impasse »
Le 04.04.2020 - Propos recueillis par Sandrine PAYS - L'Alsace
Commes tous les joueurs évoluant en championnat de France (à l’exception de l’Élite et de la Pro B), ceux du Mulhouse Pfastatt BA (N1) ont vu leur saison se terminer plus tôt que prévu, la FFBB ayant décidé de stopper toutes ses compétitions en raison de la crise sanitaire liée au coronavirus. Ils ont donc disputé leur dernier match le samedi 29 février, à La Charité-sur-Loire (79-84). Antoine Linarès, président délégué en charge de l’équipe fanion du club, fait le point.
Antoine, quelle a été votre réaction lorsque vous avez appris que la Fédération française arrêtait l’ensemble de ses compétitions ?
Je me suis dit qu’elle avait pris la bonne décision, même si elle a un peu tardé à le faire. Avec tout ce qu’il se passe actuellement, il était impossible de continuer à jouer. Elle n’a pas eu le choix.
Si tout s’était passé comme prévu, l’équipe aurait encore dû disputer dix matches. Leur annulation vous porte-t-elle préjudice ?
Nous avons géré le club en bon père de famille et j’espère que nous terminerons cet exercice 2019-2020 à l’équilibre. Nous n’allons pas avoir les rentrées d’argent que nous espérions - 60 000 à 80 000 euros entre les sponsors et la billetterie. D’un autre côté, nous allons faire des économies. D’une part parce que nous évitons des frais de déplacements et des frais d’arbitrage. D’autre part parce que les joueurs, dont les contrats courent jusqu’au dernier match (Ndlr : qui aurait dû avoir lieu le 2 mai au Palais des sports face à Tarbes), sont au chômage partiel depuis le 23 mars et que l’État a promis de verser des allocations correspondant aux heures dites chômées. En fait, ce n’est pas tant la fin de cette saison qui m’inquiète, mais le début de la prochaine !
« Nous avons tout laissé tomber »
Pourquoi ?
Tout simplement - et je suis loin d’être le seul - parce que je n’ai aucune visibilité sur les prochains mois. La crise sanitaire que nous traversons va avoir d’énormes répercussions. À tous les niveaux. Quelle sera la priorité de nos partenaires, dont certains seront sans doute confrontés à de grosses difficultés financières ? Je me vois mal aller les voir en leur demandant ce qu’il en est : je pense qu’ils ont d’autres chats à fouetter ! Par ailleurs, avec quelle municipalité allons-nous travailler, et quel sera le montant de notre subvention (Ndlr : 250 000 euros cette saison pour un budget de 650 000 euros) ? Bref, sur quel budget pourrons-nous tabler ? Une fois encore, je n’en ai pas la moindre idée. Nous nous retrouvons dans le flou le plus complet.
Vous n’avez encore entrepris aucune démarche par rapport à 2020-2021 ?
Nous avions commencé à plancher sur le sujet. Mais pour le moment, nous avons tout laissé tomber, par la force des choses. Je suis le premier à le regretter, d’autant que nous voulions franchir une étape. En montant une équipe un peu plus forte, avec des joueurs plus expérimentés. Nous allons sans doute être contraints de revoir nos ambitions à la baisse.
L’heure n’est donc pas aux négociations avec les joueurs ?
Ce n’est effectivement pas d’actualité. Ils sont tous en fin de contrat, sauf Arthur Ekani. Aujourd’hui, qu’est-ce que je peux leur dire ? Qu’est-ce que je peux leur proposer ? Rien. Pour le moment, nous sommes dans une impasse. Or, le temps passe vite. Sauf imprévu, l’entraînement reprendra début août. Dans à peine quatre mois.
Le 04.04.2020 - Propos recueillis par Sandrine PAYS - L'Alsace
Commes tous les joueurs évoluant en championnat de France (à l’exception de l’Élite et de la Pro B), ceux du Mulhouse Pfastatt BA (N1) ont vu leur saison se terminer plus tôt que prévu, la FFBB ayant décidé de stopper toutes ses compétitions en raison de la crise sanitaire liée au coronavirus. Ils ont donc disputé leur dernier match le samedi 29 février, à La Charité-sur-Loire (79-84). Antoine Linarès, président délégué en charge de l’équipe fanion du club, fait le point.
Antoine, quelle a été votre réaction lorsque vous avez appris que la Fédération française arrêtait l’ensemble de ses compétitions ?
Je me suis dit qu’elle avait pris la bonne décision, même si elle a un peu tardé à le faire. Avec tout ce qu’il se passe actuellement, il était impossible de continuer à jouer. Elle n’a pas eu le choix.
Si tout s’était passé comme prévu, l’équipe aurait encore dû disputer dix matches. Leur annulation vous porte-t-elle préjudice ?
Nous avons géré le club en bon père de famille et j’espère que nous terminerons cet exercice 2019-2020 à l’équilibre. Nous n’allons pas avoir les rentrées d’argent que nous espérions - 60 000 à 80 000 euros entre les sponsors et la billetterie. D’un autre côté, nous allons faire des économies. D’une part parce que nous évitons des frais de déplacements et des frais d’arbitrage. D’autre part parce que les joueurs, dont les contrats courent jusqu’au dernier match (Ndlr : qui aurait dû avoir lieu le 2 mai au Palais des sports face à Tarbes), sont au chômage partiel depuis le 23 mars et que l’État a promis de verser des allocations correspondant aux heures dites chômées. En fait, ce n’est pas tant la fin de cette saison qui m’inquiète, mais le début de la prochaine !
« Nous avons tout laissé tomber »
Pourquoi ?
Tout simplement - et je suis loin d’être le seul - parce que je n’ai aucune visibilité sur les prochains mois. La crise sanitaire que nous traversons va avoir d’énormes répercussions. À tous les niveaux. Quelle sera la priorité de nos partenaires, dont certains seront sans doute confrontés à de grosses difficultés financières ? Je me vois mal aller les voir en leur demandant ce qu’il en est : je pense qu’ils ont d’autres chats à fouetter ! Par ailleurs, avec quelle municipalité allons-nous travailler, et quel sera le montant de notre subvention (Ndlr : 250 000 euros cette saison pour un budget de 650 000 euros) ? Bref, sur quel budget pourrons-nous tabler ? Une fois encore, je n’en ai pas la moindre idée. Nous nous retrouvons dans le flou le plus complet.
Vous n’avez encore entrepris aucune démarche par rapport à 2020-2021 ?
Nous avions commencé à plancher sur le sujet. Mais pour le moment, nous avons tout laissé tomber, par la force des choses. Je suis le premier à le regretter, d’autant que nous voulions franchir une étape. En montant une équipe un peu plus forte, avec des joueurs plus expérimentés. Nous allons sans doute être contraints de revoir nos ambitions à la baisse.
L’heure n’est donc pas aux négociations avec les joueurs ?
Ce n’est effectivement pas d’actualité. Ils sont tous en fin de contrat, sauf Arthur Ekani. Aujourd’hui, qu’est-ce que je peux leur dire ? Qu’est-ce que je peux leur proposer ? Rien. Pour le moment, nous sommes dans une impasse. Or, le temps passe vite. Sauf imprévu, l’entraînement reprendra début août. Dans à peine quatre mois.
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
FOOTBALL | Clubs amateurs
Un cauchemar budgétaire
La crise du coronavirus touche de plein fouet les clubs de football amateur. S’ils auront bien du mal à boucler leur budget de la saison en cours, les craintes sont encore plus fortes à l’horizon de la saison prochaine.
Le 04/04/2020 - L'Alsace
Dans l’ombre des géants de Ligue 1, des clubs amateurs ou semi-professionnels de football cauchemardent face à la crise du coronavirus. Bâtir le futur budget procure des sueurs froides à ces institutions locales, dépendantes des collectivités, des sponsors et de la Fédération.
« Ce qui m’inquiète le plus, ce n’est pas la fin de saison, mais le début de la prochaine ». En peu de mots, l’entraîneur Sébastien Meyer résume un sentiment répandu bien au-delà du Sarreguemines FC, dernier de son groupe avant l’arrêt du championnat de National 3 (5e division).
À l’Est, à l’Ouest, au Nord et au Sud, tous les clubs interrogés par l’Agence France Presse disent leurs craintes pour boucler le budget de l’exercice suivant, incapables de mesurer les conséquences précises de la crise actuelle.
« La première rentrée d’argent, pour un club amateur comme le nôtre, c’est la subvention municipale. Or, à l’heure actuelle, les municipalités sont toutes à l’arrêt […] et on ne sait pas comment elles vont s’en sortir », relève Meyer. Le club pourra toujours compter sur les cotisations des licenciés, peut-être moins sur les partenariats privés. « Généralement, quand une entreprise est en difficulté, la première ligne de trésorerie qu’elle efface, c’est celle des dons aux associations », s’inquiète l’entraîneur mosellan.
À Bourg-Péronnas, dans l’Ain, l’inquiétude est aussi forte pour le 5e de National (3e div.), relégué de L2 en 2018 et qui se bat pour conserver son statut pro. Durant la crise, les sponsors habituels aussi « vont morfler » et pourraient « reporter le manque à gagner sur la saison prochaine », souffle le manager général Vincent Poupon. Dans ce cas, « on recule pour mieux sauter ».
« Proximité et compréhension »
Le dirigeant mise néanmoins sur le « capital sympathie » qui entoure le club bleu et blanc, dont le budget de 3,5 millions d’euros repose quasiment pour un tiers sur les partenaires. « Les entreprises comprennent notre situation. Il y a une proximité et une compréhension dans l’écosystème du club », estime-t-il.
Si tous espèrent que le tissu local permettra d’adoucir la crise, celle-ci n’en reste pas moins brutale actuellement pour le monde amateur. La Ligue Méditerranée, qui s’étend de Nice à Marseille, a ainsi mené une enquête auprès de 169 de ses clubs amateurs la semaine dernière pour mesurer la profondeur du gouffre financier.
L’annulation des tournois de Pâques notamment va coûter cher, alors que les clubs ont déjà engagé quelque 300 000 euros de dépenses pour ces rendez-vous traditionnels qui avaient rapporté plus d’1,3 million d’euros à la même époque l’année dernière.
La situation a poussé le président de l’AS Saint-Priest, club emblématique du foot amateur lyonnais où sont passés Youri Djorkaeff et Nabil Fekir notamment, à interpeller directement la Fédération française de football (FFF).
Sans aide, les clubs pourraient « licencier des salariés, perdre des sponsors, ne pas être en mesure de boucler le budget de la saison », voire « déposer le bilan », s’est alarmé Patrick Gonzalez dans une tribune publiée le 27 mars.
Le président de la FFF Noël Le Graët s’est voulu rassurant. « Pour la Fédération, le foot amateur est la priorité », comme en témoignent les « 90 millions d’euros » alloués cette saison (le budget exact est de 86,2 M€ en 2019-2020). Un fonds de solidarité sera aussi débloqué prochainement. Suffisant pour la survie des clubs amateurs ?
Un cauchemar budgétaire
La crise du coronavirus touche de plein fouet les clubs de football amateur. S’ils auront bien du mal à boucler leur budget de la saison en cours, les craintes sont encore plus fortes à l’horizon de la saison prochaine.
Le 04/04/2020 - L'Alsace
Dans l’ombre des géants de Ligue 1, des clubs amateurs ou semi-professionnels de football cauchemardent face à la crise du coronavirus. Bâtir le futur budget procure des sueurs froides à ces institutions locales, dépendantes des collectivités, des sponsors et de la Fédération.
« Ce qui m’inquiète le plus, ce n’est pas la fin de saison, mais le début de la prochaine ». En peu de mots, l’entraîneur Sébastien Meyer résume un sentiment répandu bien au-delà du Sarreguemines FC, dernier de son groupe avant l’arrêt du championnat de National 3 (5e division).
À l’Est, à l’Ouest, au Nord et au Sud, tous les clubs interrogés par l’Agence France Presse disent leurs craintes pour boucler le budget de l’exercice suivant, incapables de mesurer les conséquences précises de la crise actuelle.
« La première rentrée d’argent, pour un club amateur comme le nôtre, c’est la subvention municipale. Or, à l’heure actuelle, les municipalités sont toutes à l’arrêt […] et on ne sait pas comment elles vont s’en sortir », relève Meyer. Le club pourra toujours compter sur les cotisations des licenciés, peut-être moins sur les partenariats privés. « Généralement, quand une entreprise est en difficulté, la première ligne de trésorerie qu’elle efface, c’est celle des dons aux associations », s’inquiète l’entraîneur mosellan.
À Bourg-Péronnas, dans l’Ain, l’inquiétude est aussi forte pour le 5e de National (3e div.), relégué de L2 en 2018 et qui se bat pour conserver son statut pro. Durant la crise, les sponsors habituels aussi « vont morfler » et pourraient « reporter le manque à gagner sur la saison prochaine », souffle le manager général Vincent Poupon. Dans ce cas, « on recule pour mieux sauter ».
« Proximité et compréhension »
Le dirigeant mise néanmoins sur le « capital sympathie » qui entoure le club bleu et blanc, dont le budget de 3,5 millions d’euros repose quasiment pour un tiers sur les partenaires. « Les entreprises comprennent notre situation. Il y a une proximité et une compréhension dans l’écosystème du club », estime-t-il.
Si tous espèrent que le tissu local permettra d’adoucir la crise, celle-ci n’en reste pas moins brutale actuellement pour le monde amateur. La Ligue Méditerranée, qui s’étend de Nice à Marseille, a ainsi mené une enquête auprès de 169 de ses clubs amateurs la semaine dernière pour mesurer la profondeur du gouffre financier.
L’annulation des tournois de Pâques notamment va coûter cher, alors que les clubs ont déjà engagé quelque 300 000 euros de dépenses pour ces rendez-vous traditionnels qui avaient rapporté plus d’1,3 million d’euros à la même époque l’année dernière.
La situation a poussé le président de l’AS Saint-Priest, club emblématique du foot amateur lyonnais où sont passés Youri Djorkaeff et Nabil Fekir notamment, à interpeller directement la Fédération française de football (FFF).
Sans aide, les clubs pourraient « licencier des salariés, perdre des sponsors, ne pas être en mesure de boucler le budget de la saison », voire « déposer le bilan », s’est alarmé Patrick Gonzalez dans une tribune publiée le 27 mars.
Le président de la FFF Noël Le Graët s’est voulu rassurant. « Pour la Fédération, le foot amateur est la priorité », comme en témoignent les « 90 millions d’euros » alloués cette saison (le budget exact est de 86,2 M€ en 2019-2020). Un fonds de solidarité sera aussi débloqué prochainement. Suffisant pour la survie des clubs amateurs ?
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Ce constat pour le foot peut s'appliquer très largement au basket et confirme l'impasse dans laquelle A. Linares dit se trouver....
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Michel Mimran, directeur général de la LNB, prépare toutes les hypothèses face au coronavirus : « Tout est sur la table »
Le directeur général de la Ligue nationale explique que l'instance se prépare à toutes les hypothèses d'annulation de la saison ou de reprise, en fonction du calendrier de sortie de la crise sanitaire.
Le 08/04/2020 - L'Equipe.fr
Comme ses homologues du football, du rugby, du hand et du volley, la Ligue de basket (LNB) n'a pas prononcé la fin de la saison sportive malgré la crise sanitaire qui paralyse la planète. Ses Championnats, Jeep Élite et Pro B, sont suspendus « jusqu'à nouvel ordre ». Les jours passant, les probabilités de reprise pour terminer fin juin voire mi-juillet semblent pourtant de plus en plus minces. Hier, les premiers groupes de travail mis en place par la LNB pour étudier les hypothèses d'annulation ou de reprise de la saison, les conséquences sportives et économiques et les perspectives de cette crise à moyen et long terme ont commencé à phosphorer. Ils présenteront leurs conclusions autour du 22 ou 23 avril. Le directeur général de la Ligue nationale, Michel Mimran, répond aux interrogations.
Encore un mince espoir de reprise
Prononcer l'annulation pure et simple de la saison 2019-2020, ainsi que l'ont suggéré quelques dirigeants comme Tony Parker (Asvel) ou Alain Weisz (Boulogne-Levallois), ne permettrait pas forcément d'y voir plus clair alors qu'un très mince espoir de reprise subsiste. La Ligue a donc choisi de prendre le temps de mûrir ses décisions car, cette saison, les enjeux sportifs sont centraux avec la réduction de l'élite de 18 à 16 clubs et la perspective de trois descentes en Pro B que beaucoup de clubs ont du mal à digérer. Des recours juridiques de tout ordre ne sont pas à exclure en fonction des conséquences d'un arrêt définitif.
« Toutes les Ligues réfléchissent aux différents scénarios de reprise, même tardive, explique le directeur général de la LNB Michel Mimran, en poste depuis décembre 2019. Lorsque le déconfinement interviendra, il faudra être prêts, même si on ne peut pas déborder beaucoup sur juillet pour différentes raisons. Il est hors de question de terminer à la rentrée, en tout cas ». Les conséquences économiques d'une annulation n'ont pas été chiffrées précisément mais elles seraient de l'ordre de « dizaines de millions d'euros », selon l'ancien directeur marketing du Paris-SG (2009-2018), « entre les pertes de recettes publiques, marketing et les droits télé. »
La question des droits télé indispose aussi les instances. Le diffuseur (RMC Sport) doit encore verser cinq des dix millions du contrat annuel qui arrive à terme au 30 juin. Et il a informé la Ligue la semaine dernière qu'il suspendait le paiement. Or, plus de la moitié du budget de la LNB dépend de ce contrat. « Cela nous plonge dans une extrême difficulté. J'attends plus d'explications de la part de RMC Sport pour qu'on en discute, pas seulement un simple courrier, car pas mal de matches (liés à l'échéance de la fin mars) ont déjà été diffusés », s'agace Michel Mimran.
Une annulation qui semble inéluctable
Personne n'est dupe. Disputer les 112 derniers matches de Jeep Élite programmés (115 de Pro B) semble aujourd'hui quasi impossible, même en réaménageant la compétition, en raccourcissant les play-offs ou en imaginant des play-downs pour le maintien. Plus les jours passent, plus les obstacles s'accumulent. Sanitaires d'abord et avant tout puisque aucune échéance de sortie de crise nationale n'est en vue. En cas de déconfinement général courant mai, d'autres conditions viendraient se greffer. Une période incompressible de réathlétisation des joueurs après deux mois d'arrêt et le retour massif en France des étrangers qui composent la moitié des effectifs de Jeep Élite seraient nécessaires, tout comme la capacité à assurer un contexte sanitaire maximal pour tous, acteurs et public. « Quelles seront les directives dans ce cas ? », interroge le directeur général de la LNB. « Sans spectateurs, ce sera compliqué », ajoute-t-il.
Des réponses sans doute fin avril
La question ne sera pas tranchée avant deux semaines, sauf annonce gouvernementale majeure. Les groupes de travail mis en route cette semaine pour plancher sur toutes les hypothèses et conséquences doivent livrer leurs conclusions pour le « 22 ou 23 avril », glisse Michel Mimran. Ces travaux incluent des présidents de club, des joueurs, des entraîneurs, des personnalités dites qualifiées, des représentants de la LNB. « Ils produiront une synthèse, présentée au comité directeur, qui tranchera. Si des aménagements aux règlements sont nécessaires, on convoquera une assemblée générale », précise-t-il.
La décision actée du passage à seize clubs en Jeep Élite dès la fin de cette saison, portée par le président de la Ligue Alain Béral, est probablement l'un des sujets les plus épineux. La réponse aux dégâts économiques et sociaux qui frapperont le secteur sera également très attendue. « La question du plan stratégique mis en route par la LNB (en 2018) est susceptible aussi d'être revue. Tout est sur la table. Il n'y a pas d'aveuglement, même s'il y a une volonté d'appliquer les réformes dans l'hypothèse où la saison serait menée à terme », indique Michel Mimran. « On va travailler sur le long terme également, sur ce que cette crise va changer pour le basket pro et la Ligue », conclut-il.
Le directeur général de la Ligue nationale explique que l'instance se prépare à toutes les hypothèses d'annulation de la saison ou de reprise, en fonction du calendrier de sortie de la crise sanitaire.
Le 08/04/2020 - L'Equipe.fr
Comme ses homologues du football, du rugby, du hand et du volley, la Ligue de basket (LNB) n'a pas prononcé la fin de la saison sportive malgré la crise sanitaire qui paralyse la planète. Ses Championnats, Jeep Élite et Pro B, sont suspendus « jusqu'à nouvel ordre ». Les jours passant, les probabilités de reprise pour terminer fin juin voire mi-juillet semblent pourtant de plus en plus minces. Hier, les premiers groupes de travail mis en place par la LNB pour étudier les hypothèses d'annulation ou de reprise de la saison, les conséquences sportives et économiques et les perspectives de cette crise à moyen et long terme ont commencé à phosphorer. Ils présenteront leurs conclusions autour du 22 ou 23 avril. Le directeur général de la Ligue nationale, Michel Mimran, répond aux interrogations.
Encore un mince espoir de reprise
Prononcer l'annulation pure et simple de la saison 2019-2020, ainsi que l'ont suggéré quelques dirigeants comme Tony Parker (Asvel) ou Alain Weisz (Boulogne-Levallois), ne permettrait pas forcément d'y voir plus clair alors qu'un très mince espoir de reprise subsiste. La Ligue a donc choisi de prendre le temps de mûrir ses décisions car, cette saison, les enjeux sportifs sont centraux avec la réduction de l'élite de 18 à 16 clubs et la perspective de trois descentes en Pro B que beaucoup de clubs ont du mal à digérer. Des recours juridiques de tout ordre ne sont pas à exclure en fonction des conséquences d'un arrêt définitif.
« Toutes les Ligues réfléchissent aux différents scénarios de reprise, même tardive, explique le directeur général de la LNB Michel Mimran, en poste depuis décembre 2019. Lorsque le déconfinement interviendra, il faudra être prêts, même si on ne peut pas déborder beaucoup sur juillet pour différentes raisons. Il est hors de question de terminer à la rentrée, en tout cas ». Les conséquences économiques d'une annulation n'ont pas été chiffrées précisément mais elles seraient de l'ordre de « dizaines de millions d'euros », selon l'ancien directeur marketing du Paris-SG (2009-2018), « entre les pertes de recettes publiques, marketing et les droits télé. »
La question des droits télé indispose aussi les instances. Le diffuseur (RMC Sport) doit encore verser cinq des dix millions du contrat annuel qui arrive à terme au 30 juin. Et il a informé la Ligue la semaine dernière qu'il suspendait le paiement. Or, plus de la moitié du budget de la LNB dépend de ce contrat. « Cela nous plonge dans une extrême difficulté. J'attends plus d'explications de la part de RMC Sport pour qu'on en discute, pas seulement un simple courrier, car pas mal de matches (liés à l'échéance de la fin mars) ont déjà été diffusés », s'agace Michel Mimran.
Une annulation qui semble inéluctable
Personne n'est dupe. Disputer les 112 derniers matches de Jeep Élite programmés (115 de Pro B) semble aujourd'hui quasi impossible, même en réaménageant la compétition, en raccourcissant les play-offs ou en imaginant des play-downs pour le maintien. Plus les jours passent, plus les obstacles s'accumulent. Sanitaires d'abord et avant tout puisque aucune échéance de sortie de crise nationale n'est en vue. En cas de déconfinement général courant mai, d'autres conditions viendraient se greffer. Une période incompressible de réathlétisation des joueurs après deux mois d'arrêt et le retour massif en France des étrangers qui composent la moitié des effectifs de Jeep Élite seraient nécessaires, tout comme la capacité à assurer un contexte sanitaire maximal pour tous, acteurs et public. « Quelles seront les directives dans ce cas ? », interroge le directeur général de la LNB. « Sans spectateurs, ce sera compliqué », ajoute-t-il.
Des réponses sans doute fin avril
La question ne sera pas tranchée avant deux semaines, sauf annonce gouvernementale majeure. Les groupes de travail mis en route cette semaine pour plancher sur toutes les hypothèses et conséquences doivent livrer leurs conclusions pour le « 22 ou 23 avril », glisse Michel Mimran. Ces travaux incluent des présidents de club, des joueurs, des entraîneurs, des personnalités dites qualifiées, des représentants de la LNB. « Ils produiront une synthèse, présentée au comité directeur, qui tranchera. Si des aménagements aux règlements sont nécessaires, on convoquera une assemblée générale », précise-t-il.
La décision actée du passage à seize clubs en Jeep Élite dès la fin de cette saison, portée par le président de la Ligue Alain Béral, est probablement l'un des sujets les plus épineux. La réponse aux dégâts économiques et sociaux qui frapperont le secteur sera également très attendue. « La question du plan stratégique mis en route par la LNB (en 2018) est susceptible aussi d'être revue. Tout est sur la table. Il n'y a pas d'aveuglement, même s'il y a une volonté d'appliquer les réformes dans l'hypothèse où la saison serait menée à terme », indique Michel Mimran. « On va travailler sur le long terme également, sur ce que cette crise va changer pour le basket pro et la Ligue », conclut-il.
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
''La Ligue a donc choisi de prendre le temps de mûrir ses décisions car, cette saison, les enjeux sportifs sont centraux avec la réduction de l'élite de 18 à 16 clubs et la perspective de trois descentes en Pro B que beaucoup de clubs ont du mal à digérer.''
C'est sûr que tant que ça ne concerne pas la SIG, l'ASVEL ou Monaco ils font ce qu'ils veulent. Tous des pourris et corrompu à la LNB.
C'est sûr que tant que ça ne concerne pas la SIG, l'ASVEL ou Monaco ils font ce qu'ils veulent. Tous des pourris et corrompu à la LNB.
floofy_68- Espoirs
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
j'ai l'impression de lire l'inverse à la fin de l'itw :« La question du plan stratégique mis en route par la LNB (en 2018) est susceptible aussi d'être revue. Tout est sur la table. Il n'y a pas d'aveuglement, même s'il y a une volonté d'appliquer les réformes dans l'hypothèse où la saison serait menée à terme », indique Michel Mimran. « On va travailler sur le long terme également, sur ce que cette crise va changer pour le basket pro et la Ligue », conclut-il.C'est sûr que tant que ça ne concerne pas la SIG, l'ASVEL ou Monaco ils font ce qu'ils veulent. Tous des pourris et corrompu à la LNB.
68bass- 6ème Homme
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
LFB : la saison terminée sans champion ni relégation
Le bureau fédéral de la FFBB a décidé ce jour l'arrêt définitif de la saison 2019-20.
Liliane Trévisan - 10 avril 2020 / L'Equipe.fr
La date butoir aura donc été la date couperet. La FFBB, qui s'était donnée jusqu'à ce vendredi pour décider de la suite des événements concernant la LFB, a tranché. La saison, suspendue depuis le 13 mars, ne reprendra pas. « La prolongation attendue du confinement et la priorité impérieuse donnée à la santé des joueuses, des staffs et du public ont amené la FFBB à prendre la décision d'arrêter le Championnat de Ligue Féminine de Basket » - confirmait le communiqué officiel.
Il a été également décidé de ne pas attribuer le titre de champion de France, et qu'il n'y aurait pas de relégation. Lyon-ASVEL, qui était en tête au moment de l'arrêt du championnat (14v-2d), ne saura donc jamais si le titre était à sa portée.
Par ailleurs, le match des championnes, prévu en ouverture de la saison prochaine, n'aura pas lieu, et sera remplacé par la finale de la Coupe de France 2020 (Bourges - Lyon-ASVEL) qui n'a pu se tenir, suite à la pandémie actuelle.
Trois clubs en Euroligue
Le communiqué de la FFBB concernant les participations aux Coupes d'Europe fait le point sur les clubs français engagés pour la saison 2020-21. Ainsi, trois équipes seront engagées en Euroligue : Lyon-ASVEL, Bourges et Lattes-Montpellier ; cinq joueront l'Eurocup : Basket Landes, Landerneau, Flammes Carolo, Roche Vendée et Villeneuve d'Ascq.
« De plus, en cas d'organisation d'un Final 8 de l'Euroligue féminine par la FIBA Europe, la FFBB se portera candidate à son organisation en début de saison afin de poursuivre la promotion du basket féminin et les 3 clubs français y participant (Lattes-Montpellier, Bourges et l'Asvel) », détaille le communiqué.
La FFBB a également tenu à confirmer le maintien de son plan LFB 2024, lié au développement de la ligue féminine et mené en collaboration avec ses clubs.
Le bureau fédéral de la FFBB a décidé ce jour l'arrêt définitif de la saison 2019-20.
Liliane Trévisan - 10 avril 2020 / L'Equipe.fr
La date butoir aura donc été la date couperet. La FFBB, qui s'était donnée jusqu'à ce vendredi pour décider de la suite des événements concernant la LFB, a tranché. La saison, suspendue depuis le 13 mars, ne reprendra pas. « La prolongation attendue du confinement et la priorité impérieuse donnée à la santé des joueuses, des staffs et du public ont amené la FFBB à prendre la décision d'arrêter le Championnat de Ligue Féminine de Basket » - confirmait le communiqué officiel.
Il a été également décidé de ne pas attribuer le titre de champion de France, et qu'il n'y aurait pas de relégation. Lyon-ASVEL, qui était en tête au moment de l'arrêt du championnat (14v-2d), ne saura donc jamais si le titre était à sa portée.
Par ailleurs, le match des championnes, prévu en ouverture de la saison prochaine, n'aura pas lieu, et sera remplacé par la finale de la Coupe de France 2020 (Bourges - Lyon-ASVEL) qui n'a pu se tenir, suite à la pandémie actuelle.
Trois clubs en Euroligue
Le communiqué de la FFBB concernant les participations aux Coupes d'Europe fait le point sur les clubs français engagés pour la saison 2020-21. Ainsi, trois équipes seront engagées en Euroligue : Lyon-ASVEL, Bourges et Lattes-Montpellier ; cinq joueront l'Eurocup : Basket Landes, Landerneau, Flammes Carolo, Roche Vendée et Villeneuve d'Ascq.
« De plus, en cas d'organisation d'un Final 8 de l'Euroligue féminine par la FIBA Europe, la FFBB se portera candidate à son organisation en début de saison afin de poursuivre la promotion du basket féminin et les 3 clubs français y participant (Lattes-Montpellier, Bourges et l'Asvel) », détaille le communiqué.
La FFBB a également tenu à confirmer le maintien de son plan LFB 2024, lié au développement de la ligue féminine et mené en collaboration avec ses clubs.
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Et bien, on attend plus que des news pour la Jeep Elite et la Pro B...
Tout le reste, c'est fini... (sans surprise)
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Mathieu Bigotte free agent
Poil de carotte- Meilleur Marqueur
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
en reconversion ..(pour le CEP) ....une nouvelle aventure balle en main( FB de Mathieu) ...Poil de carotte a écrit:Mathieu Bigotte free agent
68bass- 6ème Homme
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Il a quel âge?
C'est pas un peu tôt?
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
le problème n'est peut être pas son age, il est trentenaire bien tassé, mais que la N1, faute de budget va privilégier les jeunes joueurs en fin de formation qui seront moins chers que les cadres français du basket de nationale.Gogol a écrit:Il a quel âge?
C'est pas un peu tôt?
68bass- 6ème Homme
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Peut-être en effet...
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
une décision qui fait honneur à leurs dirigeants, honnêtes et lucides.
68bass- 6ème Homme
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Gogol a écrit:Et bien, on attend plus que des news pour la Jeep Elite et la Pro B...
Tout le reste, c'est fini... (sans surprise)
Avec la reprise mi-juillet des événements publics, c'est fini pour bcp de championnat...
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Et le huis clos ?
Poil de carotte- Meilleur Marqueur
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Apparemment ( info Facebook Besac ) reprise championnat repoussé au 3 octobre. 64ieme coupe de France maintenu au mardi 22 septembre. A suivre
Poil de carotte- Meilleur Marqueur
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
c'est sur qu'avec la fermeture de Schengen aux non européens, les US, les canadiens, ne peuvent pas revenir dans les clubs avant début septembre, ça va être chaud pour débuter la saison !!Poil de carotte a écrit:Apparemment ( info Facebook Besac ) reprise championnat repoussé au 3 octobre. 64ieme coupe de France maintenu au mardi 22 septembre. A suivre
68bass- 6ème Homme
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Et aussi championnats JE et PRO B terminés pour cette saison .
68bass- 6ème Homme
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Pas terminé à priori mais repoussé à septembre où ils décideront comme Al One l'a précisé de la suite
Poil de carotte- Meilleur Marqueur
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
Au faite Jérémie Bichard est aussi free agent
Poil de carotte- Meilleur Marqueur
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
68bass a écrit:c'est sur qu'avec la fermeture de Schengen aux non européens, les US, les canadiens, ne peuvent pas revenir dans les clubs avant début septembre, ça va être chaud pour débuter la saison !!Poil de carotte a écrit:Apparemment ( info Facebook Besac ) reprise championnat repoussé au 3 octobre. 64ieme coupe de France maintenu au mardi 22 septembre. A suivre
C'est une fermeture stricte?
Ou ouverte aux déplacements professionnels? (Je ne pense pas qu'aux sportifs)
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Re: [CoVid] A l'intersaison / Pendant la saison
c'est une fermeture aux transports aériens depuis l'espace non schengen jusqu'au début septembre
68bass- 6ème Homme
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