Re: [J.03] MPBA (11ème) - GET Vosges (8ème) : 98 - 86

par soeurette Sam 28 Sep - 23:12

Belle victoire hier soir !!

on reprend les bonnes habitudes en fin de match avec le chant pour Jean-Luc et celui avec les joueurs !
Geste sympa de leur part, ils sont ressortis des vestiaires pour partager ce moment avec nous !

autre geste sympa : le clin d'oeil au KOP sur les panneaux lumineux au bord du terrain !
merci !!
(et merci jls pour les photos !)

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par soeurette Sam 28 Sep - 23:14

par ganesh Dim 29 Sep - 3:03

En nm1 le moindre relâchement on le paye cash.Faut faire attention.
Commencer tambour battant le premier Q1 me semble primordial pour la victoire.

par Gogol Dim 29 Sep - 9:00

Grebongo a montré la voie
Le Mulhouse Pfastatt BA a dominé GET Vosges, vendredi soir au Palais des sports (98-86), grâce à une entame de match exceptionnelle dont l’ailier fort Johan Grebongo a été le principal artisan.
Le 29/09/2019 par Sandrine PAYS - L'Alsace

On peut en faire, des choses, en cinq minutes. Johan Grebongo l’a prouvé vendredi soir au Palais des sports, où le Mulhouse Pfastatt BA a décroché son premier succès en N1 en dominant GET Vosges de la tête et des épaules (98-86) grâce à une entame de match exceptionnelle, à laquelle l’ailier fort n’est pas étranger.

Celui-ci n’a pourtant passé « que » la moitié du premier quart-temps sur le terrain, mais il a abattu un boulot énorme et mis l’équipe sur de bons rails quasiment à lui tout seul (10 points, 4 rebonds, 1 passe décisive). « Il a été énorme », souligne d’ailleurs Jean-Luc Monschau, son entraîneur, ravi de ce démarrage « idéal », qui fera « référence » à l’avenir.

« Me sacrifier pour l’équipe »
« J’ai fait un petit signe discret au coach pour lui demander de me laisser souffler un peu, sourit l’intéressé, pas mécontent d’avoir joué un rôle important dans cette victoire. Je me suis dit que j’allais me sacrifier pour l’équipe. Il fallait tout de suite sauter à la gorge de nos adversaires et ne plus les lâcher, ne pas leur laisser le moindre espoir. J’ai décidé de montrer l’exemple. En défense notamment. »

Johan Grebongo n’a donc pas ménagé ses efforts et tout s’est ensuite parfaitement enchaîné pour une formation alsacienne sûre d’elle, qui a tout de suite mis « l’intensité nécessaire » pour tenir à distance des Spinaliens qui avaient eux-mêmes fait vivre pareille mésaventure aux Bisontins quelques jours plus tôt (93-57).

« Je n’étais pas du tout stressé avant le match parce que je savais que tout le monde serait fidèle au poste », souligne le Centrafricain, resté sur sa faim après les deux défaites initiales du Mulhouse Pfastatt BA, face à Andrézieux (101-104 après trois prolongations) et à Rueil (98-76). « À chaque fois, j’ai eu l’impression que nous avions peur. De quoi ? Je ne sais pas. Toujours est-il que nous nous sommes fait bouffer par l’agressivité de nos vis-à-vis. Nous avons tout de suite été à la traîne et nous avons passé notre temps à courir après le score. Ce qui demande beaucoup d’efforts. Et n’est pas toujours couronné de succès - la preuve ! Je suis convaincu que si nous avions démarré pied au plancher comme nous l’avons fait face à GET Vosges, nous aurions battu Andrézieux et peut-être même Rueil. Du coup, j’ai des regrets, forcément… »

« Il était temps de gagner »
Cette fois, les Alsaciens n’ont pas grand-chose à se reprocher, si ce n’est une fin de match brouillonne, durant laquelle ils ont quelque peu baissé la garde et manqué de vigilance, laissant ainsi les Spinaliens revenir au score. Eux qui avaient 17 points d’avance à l’issue du premier quart-temps (33-14) en ont compté jusqu’à 25 (84-59 à la 33e ) pour finalement s’imposer de 12 (98-86), gérant leur acquis sans pour autant soigner leur panier average. « Les Vosgiens ne s’attendaient sans doute pas à ce que nous soyons aussi combatifs d’entrée de jeu, reprend Johan Grebongo. Lorsqu’ils se sont réveillés, il était trop tard, nous avions le match bien en main et nous étions déjà loin ! »

Ce résultat tombe à point nommé pour reprendre confiance avant un déplacement au Centre Fédéral, où le MPBA devrait en toute logique décrocher une deuxième victoire, vendredi à Paris. « Il était temps de gagner, souffle le joueur, visiblement soulagé. Ce match lance véritablement notre saison. Nous avons montré notre vrai visage dès le coup d’envoi. Nous pouvons être fiers. Et sereins. Parce que nous sommes capables de le refaire, j’en suis convaincu ! »