Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Ben leS community manager, communiquent, sur les réseaux…
Ils vont pas chercher les gens chez eux…
Le Covid n’aide pas, la fermeture des buvettes non plus…
Peut être dernier du classement, mais les réseaux sont partis de 0 il y’a même pas 2ans.
Depuis le début de saison, les "abonnés" ont doublés.
Ils vont pas chercher les gens chez eux…
Le Covid n’aide pas, la fermeture des buvettes non plus…
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Aurel2568- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Le coup de « Folly » de William Mensah, le basketteur-rappeur du Mulhouse BA
William Mensah a plusieurs cordes à son arc. Notamment un goût prononcé pour la musique au point d’avoir sorti un album de plusieurs titres qu’on trouve sur les plateformes musicales. Le meneur de jeu du MBA raconte la genèse du projet.
Par Christian WEIBEL - 03.03.2022 / L'Alsace
Donner du rythme à son équipe, c’est son job. Monter la balle, l’une de ses qualités. Comme élever le ton quand les circonstances le dictent. Depuis deux ans qu’il porte le maillot du MBA, William Mensah a eu l’occasion de mettre ces aptitudes en avant.
En revanche, le grand public n’imaginait certainement pas que le meneur de jeu mulhousien était aussi capable de marquer le tempo, de monter le son et donner de la voix. C’était son jardin secret, une passion qu’il cultive depuis plus de la moitié de sa vie chez lui, presqu’en catimini. Jusqu’à ce que sa production ne devienne publique.
Depuis une dizaine de jours, un nouvel artiste du nom de Barbossa peut être écouté sur la plupart des plateformes de musique en ligne. Derrière ce pseudonyme se cache… William Mensah. « J’aime bien différencier les deux personnes. Il y a le basketteur et il y a Barbossa. C’est un surnom qu’un ami m’a donné. C’est devenu mon nom d’artiste. Ça sonne bien ».
Comme l’ensemble des huit titres de ce premier album d’une vingtaine de minutes intitulé « Folly » qui est une autre référence à l’auteur puisque c’est tout simplement son deuxième prénom, d’origine togolaise. Son œuvre renvoie d’ailleurs souvent vers son parcours personnel, sa vie, ses amis, sa famille.
Si les parquets ne sont jamais bien loin puisqu’il parle des Mavericks de Dallas dans le morceau d’ouverture, les thèmes sont variés. « Je parle un peu de basket, mais surtout de ma vie d’avant, de souvenirs de jeunesse, de là où j’ai grandi, à Sevran dans le 93. Et puis aussi beaucoup de femmes, d’amour », glisse celui qui a placé des mélodies et des paroles sur des instrumentaux.
Le ton est parfois cru. Ou plutôt cash, authentique, sans scories. « C’est du langage de jeunes. Le rap est encore mal considéré », estime William Mensah. « On voit ça comme une musique vulgaire qui parle le plus souvent de drogue et de trucs pas très catholiques. Ma perception des choses est tout autre. C’est surtout beaucoup d’écriture ».
Passer son enfance allée Apollinaire ne l’a pas fait naître poète. Il a fallu prendre son temps pour bâtir ses œuvres. L’ancien pensionnaire du centre de formation de Nanterre scande du rap depuis son adolescence. « J’ai commencé en rigolant avec mes potes. Et au fur et à mesure, j’ai trouvé ça très intéressant ».
Au point d’arriver à sortir un album à l’aube de ses 27 ans. Et, surtout, avec très peu d’aide extérieure. La seule participation (featuring, dans le langage musical) vient du petit frère Armand, joueur en Pro B à Denain, qu’il a encouragé à rapper avec lui en l’entendant fredonner dans leur cuisine ! En attendant de jouer ensemble, un jour ?
Le résultat est assez flatteur pour un chanteur totalement amateur, mais boosté par une première expérience de… compositeur pour Sheryfa Luna qui a beaucoup aimé ce que William proposait. « Je me suis dit que si des pros peuvent le faire, je pouvais en faire autant ».
« Je pars d’une esquisse qui va me guider »
Il lui aura fallu près de six mois pour concrétiser son projet. La conviction, la passion et le talent ont fait le reste. « J’ai adoré faire cet album, en partant de presque rien. C’est comme un dessin. Je pars d’une esquisse, une phrase ou deux par exemple, qui va me guider pour la suite », explique cet expert en rap, amateur de styles divers et de chanson française, « de Joe Dassin jusqu’à Brassens ».
Sans jouer d’un instrument ni avoir de musicien, comment fait-on un album de rap ? Pour cela, on peut faire appel à des « beatmakers ». William nous apprend qu’il y en a plein sur Youtube. Vous voulez une ligne de guitare, un trait de piano ou un gros beat de rythmique ? Il suffit de demander.
Puis savoir poser sa voix. Celle de Barbossa s’y glisse sans fausse note et caresse agréablement l’oreille de l’auditeur. « Dans mes musiques, il y a de l’Auto-Tune. Ça aide », avoue humblement le vocaliste. « Mais il faut quand même chanter sur la bonne note et trouver les mélodies ».
« Au niveau du son, c’est du lourd »
Les siennes sont plutôt douces comme sur « Alohomora », enveloppé d’une arabesque de guitare. « Dès que je l’ai entendue, je savais la direction mélancolique que j’allais prendre et le thème que j’aborderai », souffle celui qui aimerait rendre son travail accessible au plus grand nombre.
Quelques coéquipiers étaient dans le secret. « Pour eux, au niveau du son, c’est du lourd. Ça m’a donné encore plus confiance », se réjouit leur partenaire qui avoue avoir beaucoup modifié les morceaux et être plusieurs fois reparti de zéro. « Quand tu crées quelque chose et que tu n’es pas satisfait, tu ne peux pas le sortir ».
Depuis que l’œuvre est en ligne, William n’a eu que des retours positifs. L’expérience en valait la peine. « Ça fait plaisir parce que c’était énormément de travail ». Qu’il a désormais mis en veille pour se lancer dans la suite de la saison de son équipe, qui abordera la deuxième phase du championnat dès la semaine prochaine.
William Mensah a plusieurs cordes à son arc. Notamment un goût prononcé pour la musique au point d’avoir sorti un album de plusieurs titres qu’on trouve sur les plateformes musicales. Le meneur de jeu du MBA raconte la genèse du projet.
Par Christian WEIBEL - 03.03.2022 / L'Alsace
Donner du rythme à son équipe, c’est son job. Monter la balle, l’une de ses qualités. Comme élever le ton quand les circonstances le dictent. Depuis deux ans qu’il porte le maillot du MBA, William Mensah a eu l’occasion de mettre ces aptitudes en avant.
En revanche, le grand public n’imaginait certainement pas que le meneur de jeu mulhousien était aussi capable de marquer le tempo, de monter le son et donner de la voix. C’était son jardin secret, une passion qu’il cultive depuis plus de la moitié de sa vie chez lui, presqu’en catimini. Jusqu’à ce que sa production ne devienne publique.
Depuis une dizaine de jours, un nouvel artiste du nom de Barbossa peut être écouté sur la plupart des plateformes de musique en ligne. Derrière ce pseudonyme se cache… William Mensah. « J’aime bien différencier les deux personnes. Il y a le basketteur et il y a Barbossa. C’est un surnom qu’un ami m’a donné. C’est devenu mon nom d’artiste. Ça sonne bien ».
Comme l’ensemble des huit titres de ce premier album d’une vingtaine de minutes intitulé « Folly » qui est une autre référence à l’auteur puisque c’est tout simplement son deuxième prénom, d’origine togolaise. Son œuvre renvoie d’ailleurs souvent vers son parcours personnel, sa vie, ses amis, sa famille.
Si les parquets ne sont jamais bien loin puisqu’il parle des Mavericks de Dallas dans le morceau d’ouverture, les thèmes sont variés. « Je parle un peu de basket, mais surtout de ma vie d’avant, de souvenirs de jeunesse, de là où j’ai grandi, à Sevran dans le 93. Et puis aussi beaucoup de femmes, d’amour », glisse celui qui a placé des mélodies et des paroles sur des instrumentaux.
Le ton est parfois cru. Ou plutôt cash, authentique, sans scories. « C’est du langage de jeunes. Le rap est encore mal considéré », estime William Mensah. « On voit ça comme une musique vulgaire qui parle le plus souvent de drogue et de trucs pas très catholiques. Ma perception des choses est tout autre. C’est surtout beaucoup d’écriture ».
Passer son enfance allée Apollinaire ne l’a pas fait naître poète. Il a fallu prendre son temps pour bâtir ses œuvres. L’ancien pensionnaire du centre de formation de Nanterre scande du rap depuis son adolescence. « J’ai commencé en rigolant avec mes potes. Et au fur et à mesure, j’ai trouvé ça très intéressant ».
Au point d’arriver à sortir un album à l’aube de ses 27 ans. Et, surtout, avec très peu d’aide extérieure. La seule participation (featuring, dans le langage musical) vient du petit frère Armand, joueur en Pro B à Denain, qu’il a encouragé à rapper avec lui en l’entendant fredonner dans leur cuisine ! En attendant de jouer ensemble, un jour ?
Le résultat est assez flatteur pour un chanteur totalement amateur, mais boosté par une première expérience de… compositeur pour Sheryfa Luna qui a beaucoup aimé ce que William proposait. « Je me suis dit que si des pros peuvent le faire, je pouvais en faire autant ».
« Je pars d’une esquisse qui va me guider »
Il lui aura fallu près de six mois pour concrétiser son projet. La conviction, la passion et le talent ont fait le reste. « J’ai adoré faire cet album, en partant de presque rien. C’est comme un dessin. Je pars d’une esquisse, une phrase ou deux par exemple, qui va me guider pour la suite », explique cet expert en rap, amateur de styles divers et de chanson française, « de Joe Dassin jusqu’à Brassens ».
Sans jouer d’un instrument ni avoir de musicien, comment fait-on un album de rap ? Pour cela, on peut faire appel à des « beatmakers ». William nous apprend qu’il y en a plein sur Youtube. Vous voulez une ligne de guitare, un trait de piano ou un gros beat de rythmique ? Il suffit de demander.
Puis savoir poser sa voix. Celle de Barbossa s’y glisse sans fausse note et caresse agréablement l’oreille de l’auditeur. « Dans mes musiques, il y a de l’Auto-Tune. Ça aide », avoue humblement le vocaliste. « Mais il faut quand même chanter sur la bonne note et trouver les mélodies ».
« Au niveau du son, c’est du lourd »
Les siennes sont plutôt douces comme sur « Alohomora », enveloppé d’une arabesque de guitare. « Dès que je l’ai entendue, je savais la direction mélancolique que j’allais prendre et le thème que j’aborderai », souffle celui qui aimerait rendre son travail accessible au plus grand nombre.
Quelques coéquipiers étaient dans le secret. « Pour eux, au niveau du son, c’est du lourd. Ça m’a donné encore plus confiance », se réjouit leur partenaire qui avoue avoir beaucoup modifié les morceaux et être plusieurs fois reparti de zéro. « Quand tu crées quelque chose et que tu n’es pas satisfait, tu ne peux pas le sortir ».
Depuis que l’œuvre est en ligne, William n’a eu que des retours positifs. L’expérience en valait la peine. « Ça fait plaisir parce que c’était énormément de travail ». Qu’il a désormais mis en veille pour se lancer dans la suite de la saison de son équipe, qui abordera la deuxième phase du championnat dès la semaine prochaine.
Aurel2568- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
beaucoup de poésie dans ses paroles...
Esclave- Franchise Player
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Occupation : chasse le sanglier...et la belette à l'occasion !
Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Le Mulhousien Jérémie Cozzi se lie aux Bleus
À l’occasion du dernier match entre la France et le Portugal, le jeudi 24 février à Dijon, la Fédération française de basket-ball a signé une convention avec le Kop France Basket, le club des supporters des équipes de France dont le Mulhousien Jérémie Cozzi est le président.
Par L'Alsace - 08.02.2022
Dans le cadre de son plan « Société et Mixités 2024 », la Fédération française de basket-ball (FFBB), représentée par son président Jean-Pierre Siutat, a signé officiellement une convention historique avec le Kop France Basket (KFB), représenté par son président alsacien Jérémie Cozzi.
Émanation directe de l’Union nationale des supporters de basket (UNSB), le Kop France Basket collaborera étroitement avec la FFBB afin d’être un réel acteur de soutien et d’animation en tribune lors des matches des équipes de France. L’objectif est de donner une belle image des supporters français et de la bonne tenue en tribune, à travers le respect de la charte du fair-play de l’Union nationale des supporters de basket.
Les deux parties souhaitent valoriser l’image du supporter, conserver une tribune familiale avec une mixité sociale et un mélange des générations, mais aussi participer aux actions sur le supportérisme.
Président du KF B depuis le mois de janvier 2019, Jérémie Cozzi est également un personnage incontournable du sport mulhousien. Le Haut-Rhinois a été durant plusieurs années le président du « Kop2001 », qu’il a lui-même fondé, et a suivi dans tout l’Hexagone l’équipe mulhousienne en Nationale 1. Surnommé « le clown » du Palais des sports, Jérémie Cozzi veut désormais voir la vie en Bleu.
À l’occasion du dernier match entre la France et le Portugal, le jeudi 24 février à Dijon, la Fédération française de basket-ball a signé une convention avec le Kop France Basket, le club des supporters des équipes de France dont le Mulhousien Jérémie Cozzi est le président.
Par L'Alsace - 08.02.2022
Dans le cadre de son plan « Société et Mixités 2024 », la Fédération française de basket-ball (FFBB), représentée par son président Jean-Pierre Siutat, a signé officiellement une convention historique avec le Kop France Basket (KFB), représenté par son président alsacien Jérémie Cozzi.
Émanation directe de l’Union nationale des supporters de basket (UNSB), le Kop France Basket collaborera étroitement avec la FFBB afin d’être un réel acteur de soutien et d’animation en tribune lors des matches des équipes de France. L’objectif est de donner une belle image des supporters français et de la bonne tenue en tribune, à travers le respect de la charte du fair-play de l’Union nationale des supporters de basket.
Les deux parties souhaitent valoriser l’image du supporter, conserver une tribune familiale avec une mixité sociale et un mélange des générations, mais aussi participer aux actions sur le supportérisme.
Président du KF B depuis le mois de janvier 2019, Jérémie Cozzi est également un personnage incontournable du sport mulhousien. Le Haut-Rhinois a été durant plusieurs années le président du « Kop2001 », qu’il a lui-même fondé, et a suivi dans tout l’Hexagone l’équipe mulhousienne en Nationale 1. Surnommé « le clown » du Palais des sports, Jérémie Cozzi veut désormais voir la vie en Bleu.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Lauriane Dolt, coach et jeune maman : «J'espère avoir prouvé que c'est possible»
Lauriane Dolt a été longtemps l'adjointe de Vincent Collet à Strasbourg avant de prendre en charge Mulhouse cette saison en tant que numéro un. (Mulhouse BA)
Yann Hildwein - 18 mars 2022 / L'Equipe
Ambassadrice de la plate-forme de la FEP pour la féminisation des encadrements sportifs, Lauriane Dolt (39 ans) est l'une des très rares femmes à entraîner une équipe masculine à haut niveau, le Mulhouse Basket Agglomération, en Nationale 1 masculine (3e division). Après avoir donné le biberon à son petit Léno, né il y a deux semaines, l'ancienne adjointe de Vincent Collet à Strasbourg s'est confiée au téléphone sur sa vie de maman et de coach.
« Concilier mon métier de coach et un enfant, c'était mon rêve depuis longtemps. Mais j'ai eu un peu de mal à tomber enceinte naturellement, ce n'était pas quelque chose qu'on avait programmé à ce moment-là. Après coup, je me dis que c'était mon destin. Quand c'est arrivé, début juillet, je n'ai pas eu cette joie extrême à laquelle je m'attendais depuis toujours : on venait de me donner ma chance à Mulhouse comme entraîneur numéro un, comment est-ce que cela allait être pris ? Mais j'avais tort d'avoir peur, tout le monde était ravi pour moi et m'a accompagnée.
Coacher enceinte, je ne m'en rendais pas forcément compte, c'était plus le regard des autres qui me le rappelait. Je me mettais par moments en colère ou je faisais mes petites cabrioles, comme d'habitude. J'avais un peu de fatigue, mais j'ai eu une grossesse idyllique, jamais malade, j'ai été chanceuse.
« J'avais un peu le sentiment d'abandonner le navire »
Le plus dur, c'était le moment de quitter l'équipe, fin janvier. Physiquement, il le fallait, j'avais mal au dos, c'était compliqué de rester debout ou assise, et même de faire les déplacements. Mais, même si c'était pour un heureux événement, j'avais un peu le sentiment d'abandonner le navire : OK, les gars, finissez le taf sans moi...
Finalement, ça s'est super bien passé. J'envoie de temps en temps un message aux joueurs sur notre groupe WhatsApp, mais je suis surtout en contact quotidiennement avec le staff. Je continue à faire le travail vidéo avec Terrick (Nerome, son assistant), qui a pris la suite. Le club a mis en place tout un dispositif pour que je suive les matches en ligne, je peux m'énerver sur mon canapé comme je veux !
«Dans certains pays, j'ai même senti que je n'étais pas la bienvenue»
J'espère revenir début avril, si physiquement j'ai entièrement repris. Ca ne me fait pas trop peur de concilier les deux. C'est aussi une organisation familiale avec mon conjoint. Si j'écoute les vieux sages, je me dis que quand un match ne se passera pas forcément comme je veux, au lieu de me prendre la tête comme j'en ai l'habitude, je vais avoir ce bonheur de rentrer à la maison, de lâcher prise et de revenir plus fraîche, plus sereine le lendemain.
J'espère avoir prouvé que c'est possible. Ce n'est pas parce que le coach en titre n'est pas là que ça part dans tous les sens et que tout s'écroule. Ce qui a fait qu'on a réussi, au club, c'est qu'on l'a su suffisamment tôt, dirigeants, staff, joueurs. On s'est tous mobilisés et on a construit par rapport à ça.
J'en ai vu du pays, en Euroligue, en Eurocoupe, et il n'y a que cette saison, à Ostende, où j'ai vu une autre femme assistant coach, qui d'ailleurs s'est retrouvée à coacher car l'entraîneur principal avait pris deux fautes techniques. Mais on n'en voit pas. Dans certains pays, j'ai même senti que je n'étais pas la bienvenue. Mais ce n'est pas quelque chose que je revendique. J'espère juste que ça va faire bouger les choses, briser ces barrières. Que celles qui ont envie de se lancer vont le faire, que les dirigeants aussi vont se lancer. »
Lauriane Dolt a été longtemps l'adjointe de Vincent Collet à Strasbourg avant de prendre en charge Mulhouse cette saison en tant que numéro un. (Mulhouse BA)
Yann Hildwein - 18 mars 2022 / L'Equipe
Ambassadrice de la plate-forme de la FEP pour la féminisation des encadrements sportifs, Lauriane Dolt (39 ans) est l'une des très rares femmes à entraîner une équipe masculine à haut niveau, le Mulhouse Basket Agglomération, en Nationale 1 masculine (3e division). Après avoir donné le biberon à son petit Léno, né il y a deux semaines, l'ancienne adjointe de Vincent Collet à Strasbourg s'est confiée au téléphone sur sa vie de maman et de coach.
« Concilier mon métier de coach et un enfant, c'était mon rêve depuis longtemps. Mais j'ai eu un peu de mal à tomber enceinte naturellement, ce n'était pas quelque chose qu'on avait programmé à ce moment-là. Après coup, je me dis que c'était mon destin. Quand c'est arrivé, début juillet, je n'ai pas eu cette joie extrême à laquelle je m'attendais depuis toujours : on venait de me donner ma chance à Mulhouse comme entraîneur numéro un, comment est-ce que cela allait être pris ? Mais j'avais tort d'avoir peur, tout le monde était ravi pour moi et m'a accompagnée.
Coacher enceinte, je ne m'en rendais pas forcément compte, c'était plus le regard des autres qui me le rappelait. Je me mettais par moments en colère ou je faisais mes petites cabrioles, comme d'habitude. J'avais un peu de fatigue, mais j'ai eu une grossesse idyllique, jamais malade, j'ai été chanceuse.
« J'avais un peu le sentiment d'abandonner le navire »
Le plus dur, c'était le moment de quitter l'équipe, fin janvier. Physiquement, il le fallait, j'avais mal au dos, c'était compliqué de rester debout ou assise, et même de faire les déplacements. Mais, même si c'était pour un heureux événement, j'avais un peu le sentiment d'abandonner le navire : OK, les gars, finissez le taf sans moi...
Finalement, ça s'est super bien passé. J'envoie de temps en temps un message aux joueurs sur notre groupe WhatsApp, mais je suis surtout en contact quotidiennement avec le staff. Je continue à faire le travail vidéo avec Terrick (Nerome, son assistant), qui a pris la suite. Le club a mis en place tout un dispositif pour que je suive les matches en ligne, je peux m'énerver sur mon canapé comme je veux !
«Dans certains pays, j'ai même senti que je n'étais pas la bienvenue»
J'espère revenir début avril, si physiquement j'ai entièrement repris. Ca ne me fait pas trop peur de concilier les deux. C'est aussi une organisation familiale avec mon conjoint. Si j'écoute les vieux sages, je me dis que quand un match ne se passera pas forcément comme je veux, au lieu de me prendre la tête comme j'en ai l'habitude, je vais avoir ce bonheur de rentrer à la maison, de lâcher prise et de revenir plus fraîche, plus sereine le lendemain.
J'espère avoir prouvé que c'est possible. Ce n'est pas parce que le coach en titre n'est pas là que ça part dans tous les sens et que tout s'écroule. Ce qui a fait qu'on a réussi, au club, c'est qu'on l'a su suffisamment tôt, dirigeants, staff, joueurs. On s'est tous mobilisés et on a construit par rapport à ça.
J'en ai vu du pays, en Euroligue, en Eurocoupe, et il n'y a que cette saison, à Ostende, où j'ai vu une autre femme assistant coach, qui d'ailleurs s'est retrouvée à coacher car l'entraîneur principal avait pris deux fautes techniques. Mais on n'en voit pas. Dans certains pays, j'ai même senti que je n'étais pas la bienvenue. Mais ce n'est pas quelque chose que je revendique. J'espère juste que ça va faire bouger les choses, briser ces barrières. Que celles qui ont envie de se lancer vont le faire, que les dirigeants aussi vont se lancer. »
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
oui, bien vu, c'est long mais c'est une très belle itw. Avec une surprise vers les 1 heure 20 !
Quand on entend comment on est perçu , il faut tout faire pour maintenir l'unité de notre petit groupe et être fiers de nos actions , petites ou grandes.
Quand on entend comment on est perçu , il faut tout faire pour maintenir l'unité de notre petit groupe et être fiers de nos actions , petites ou grandes.
68bass- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
68bass a écrit:oui, bien vu, c'est long mais c'est une très belle itw. Avec une surprise vers les 1 heure 20 !
Quand on entend comment on est perçu , il faut tout faire pour maintenir l'unité de notre petit groupe et être fiers de nos actions , petites ou grandes.
donc commence par mettre de l'eau dans ton schnaps
Esclave- Franchise Player
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
tu n'es peut être pas le mieux placé pour donner des conseils mon cher esclave !Esclave a écrit:68bass a écrit:oui, bien vu, c'est long mais c'est une très belle itw. Avec une surprise vers les 1 heure 20 !
Quand on entend comment on est perçu , il faut tout faire pour maintenir l'unité de notre petit groupe et être fiers de nos actions , petites ou grandes.
donc commence par mettre de l'eau dans ton schnaps
68bass- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
68bass a écrit:tu n'es peut être pas le mieux placé pour donner des conseils mon cher esclave !Esclave a écrit:
donc commence par mettre de l'eau dans ton schnaps
Bien au contraire mon cher 68bass !
Tu as écris "...il faut tout faire pour maintenir l'unité de notre petit groupe..." . Alors que tu ne cesses de critiquer des membres du kop ! Ce n'est pas la bonne méthode il me semble...
Esclave- Franchise Player
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Tu me trouveras des exemples ?
68bass- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
68bass a écrit:Tu me trouveras des exemples ?
Tu déconnes là je pense ?
La dernière en date : ton message précédent !
Critiquer est un art...mais critiquer la critique d'un critique, c'est une maladie...
On ne peut pas toujours avoir raison sur tout...mais un avis, oui !
Esclave- Franchise Player
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
c'est clair comme de l'eau de roche .Esclave a écrit:68bass a écrit:Tu me trouveras des exemples ?
Tu déconnes là je pense ?
La dernière en date : ton message précédent !
Critiquer est un art...mais critiquer la critique d'un critique, c'est une maladie...
On ne peut pas toujours avoir raison sur tout...mais un avis, oui !
68bass- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Le coach du Havre écarté…
Ça parle d’un Monschau pour le remplacer…
Ça parle d’un Monschau pour le remplacer…
Aurel2568- 6ème Homme
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Poil de carotte aime ce message
Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Monschau décline, Courcier arrive.
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Willis conservé à Lyon jusqu'à la fin de la saison, tout comme Sidy au Havre !
soeurette- 5 majeur
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soeurette- 5 majeur
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Gogol, CathD et Poil de carotte aiment ce message
Aurel2568- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Les voilà éliminé de la course au top 5 (sauf appel de leur part)
Poil de carotte- Meilleur Marqueur
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Qu'est-ce que c'est niais !
Tu es pénalisé parce que tu as trop dépensé...donc parce que tu as du fric...
et la sanction est ? du fric ! 2000 euros ! Une misère...
Tu es pénalisé parce que tu as trop dépensé...donc parce que tu as du fric...
et la sanction est ? du fric ! 2000 euros ! Une misère...
Esclave- Franchise Player
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Esclave a écrit:Qu'est-ce que c'est niais !
Tu es pénalisé parce que tu as trop dépensé...donc parce que tu as du fric...
et la sanction est ? du fric ! 2000 euros ! Une misère...
Surtout je ne comprends pas pourquoi c'est le seul club à qui on retire des points alors que les raisons sont les mêmes que les autres.
floofy_68- Espoirs
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Localisation : Quelque part
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
il y a surement une bonne raison. La commission de contrôle de gestion est indispensable, heureusement qu'elle existe !floofy_68 a écrit:Esclave a écrit:Qu'est-ce que c'est niais !
Tu es pénalisé parce que tu as trop dépensé...donc parce que tu as du fric...
et la sanction est ? du fric ! 2000 euros ! Une misère...
Surtout je ne comprends pas pourquoi c'est le seul club à qui on retire des points alors que les raisons sont les mêmes que les autres.
68bass- 6ème Homme
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
Poil de carotte a écrit:Les voilà éliminé de la course au top 5 (sauf appel de leur part)
Ca n'est pas refleté au classement... pour le moment
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Re: Articles/Infos Diverses: Le Kop, ses Membres ou le M(P)BA!
floofy_68 a écrit:Esclave a écrit:Qu'est-ce que c'est niais !
Tu es pénalisé parce que tu as trop dépensé...donc parce que tu as du fric...
et la sanction est ? du fric ! 2000 euros ! Une misère...
Surtout je ne comprends pas pourquoi c'est le seul club à qui on retire des points alors que les raisons sont les mêmes que les autres.
Le président d'Orchies a un pote qui siège à la comm'
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